15351 shaares
1427 liens privés
1427 liens privés
1514 résultats
taggé
bulagri
L’Observatoire technico-économique du Réseau CIVAM, compare chaque année les performances des fermes engagées en agriculture durable, avec celles des exploitations laitières moyennes du Grand Ouest.
Dans cette édition 2024 retrouvez un dossier complémentaire “Moins d’impacts sur l’environnement”.
De nombreux éleveurs et éleveuses installés.es en systèmes pâturants témoignent de leur plaisir au travail et nous racontent pourquoi ils ont choisi de s’installer ainsi : pour être leur propre patron, pour alimenter la population locale, préserver l’environnement, retrouver du sens dans leur travail ou encore avoir du temps libre.
Dans cette édition 2024 retrouvez un dossier complémentaire “Moins d’impacts sur l’environnement”.
De nombreux éleveurs et éleveuses installés.es en systèmes pâturants témoignent de leur plaisir au travail et nous racontent pourquoi ils ont choisi de s’installer ainsi : pour être leur propre patron, pour alimenter la population locale, préserver l’environnement, retrouver du sens dans leur travail ou encore avoir du temps libre.
Les industriels continuent en effet de produire et d'exporter des produits interdits en Europe. Plus de 7000 tonnes l'an dernier.
Or cette pollution nous revient comme un boomerang, nos corbeilles de fruits, nos bouquets de fleurs sont potentiellement traités avec ces pesticides dangereux et utilisés à l'étranger !
Or cette pollution nous revient comme un boomerang, nos corbeilles de fruits, nos bouquets de fleurs sont potentiellement traités avec ces pesticides dangereux et utilisés à l'étranger !
Réseau ARBRE – Mieux intégrer les enjeux de biodiversité dans les exploitations agricoles : intérêt d’un accompagnement à plusieurs voix
le réseau sur la biodiversité dans les fermes
arming Simulator pourrait-il malgré tout se targuer de déclencher les vocations de jeunes éloignés du milieu paysan ? Si le manque d’attractivité de ces métiers est un constat partagé par tous les interlocuteurs, les solutions divisent. Pour Thomas Borell, « la séduction par le progrès technique — dont le jeu est l’archétype —, est une stratégie contre-productive, car l’usage des machines sur des exploitations de plus en plus grandes provoque de la pression foncière. Leur travail, à terme, remplace celui des humains ».
Un article paru dans la revue Innovations agronomiques en septembre 2024 présente les résultats du projet OUTILLAGE, piloté par Terres Inovia, qui vise à apporter des moyens opérationnels aux agriculteurs cherchant à innover et à modifier leurs pratiques dans une démarche de transition agroécologique. Trois types d’outils ont été réalisés pour accompagner les agriculteurs, à chaque étape : des tableaux de bord pour concevoir leur stratégie d’innovation, des arbres de décision pour mettre en œuvre des pratiques adaptées à leur situation, et des méthodes d’observation pour évaluer les résultats obtenus et les ajustements à réaliser pour la prochaine campagne. Plusieurs de ces outils, accessibles en ligne, ont été élaborés au cours des quatre années du projet, sur des cas concrets d’innovation agronomique, tels que « mener sa transition agroécologique », « obtenir un colza robuste » ou « réussir son tournesol en agriculture de conservation ».
Pour peu qu’elle soit suffisamment médiatisée, toute publication mettant en évidence les bénéfices de l’alimentation bio pour la santé se heurte à un tir de barrage de dénigrements et de contrevérités. Avec comme circonstance singulière que ces fausses informations ne circulent pas seulement sur les réseaux sociaux ou dans la presse : ce sont parfois des sociétés savantes ou des institutions scientifiques qui produisent ou relaient ces informations trompeuses. Selon plusieurs chercheurs en nutrition et en santé publique, l’Académie nationale de médecine, l’Académie d’agriculture de France (AAF) et l’Institut national du cancer (INCa) ont ainsi, chacun à leur manière, participé à alimenter la confusion sur le sujet.
EnquêtePlusieurs études montrent des bénéfices de l’alimentation bio, notamment des risques moindres de certains cancers, de surpoids et d’obésité, de malformations congénitales. Les spécialistes insistent sur la cohérence d’ensemble de ces résultats, même si leur nombre reste trop faible pour que les liens de causalité soient incontestablement établis.
Comment l’anthropologue que vous êtes peut-elle aider les populations locales à sortir de ce conflit ?
Avec les communautés locales les plus touchées, il faut prendre le temps du récit et de la remise en perspective. Les aider à relire leur trajectoire avec un regard critique et lui donner du sens. Car l’expérience écologique contemporaine est faite de désordre, d’inquiétude et d’incertitude, de choix d’appartenance et de solidarités.
Avec les communautés locales les plus touchées, il faut prendre le temps du récit et de la remise en perspective. Les aider à relire leur trajectoire avec un regard critique et lui donner du sens. Car l’expérience écologique contemporaine est faite de désordre, d’inquiétude et d’incertitude, de choix d’appartenance et de solidarités.
Il est donc nécessaire de s’attacher à comprendre comment l’opinion publique se structure pour identifier les marges d’acceptabilité et mieux définir comment la communication peut permettre de dépasser les clivages.
Au cours des derniers mois, Parlons Climat a cherché à mieux comprendre la population agricole. La profession étant au cœur des débats et des discussions sur le climat et l’environnement, il était essentiel de s'intéresser à ses réalités pour mieux identifier les mécanismes d’adhésion et de rejet des discours liés à la protection de l’environnement.
Conduite en Agriculture Biologique sur 65 hectares, l’exploitation agricole du Valentin assure des fonctions diverses avec des activités laitières, fruitières et viticoles.
Le projet d’Etudier la Cohabitation de l’élevage Ovin et de l‘aRboriCulturE (ECORCE) fédère différents acteurs de la recherche et du développement autour du sujet de l’intoduction d’ovins dans les vergers.
Cette expérience du projet ECORCE est un exemple du rôle moteur que peut jouer l’exploitation d’un EPL dans l’animation et le développement d’un territoire.
Le projet d’Etudier la Cohabitation de l’élevage Ovin et de l‘aRboriCulturE (ECORCE) fédère différents acteurs de la recherche et du développement autour du sujet de l’intoduction d’ovins dans les vergers.
Cette expérience du projet ECORCE est un exemple du rôle moteur que peut jouer l’exploitation d’un EPL dans l’animation et le développement d’un territoire.
La Coopération Agricole a le plaisir de vous inviter au séminaire de restitution du projet PLAACE (Pour L’amplification des Actions des Agriculteurs en faveur du Climat et des Ecosystèmes), où nous vous proposerons des retours d’expérience, des temps d’échanges pour découvrir les outils et les enseignements du projet PLAACE.
Plusieurs outils ont été testés et seront présentés lors du séminaire :
Des diagnostics à la ferme (diagnostic ACCT-FNAB, diagnostic agriculture paysanne de la FADEAR, MyEasyCarbon)
Des démarches d’accompagnement et parcours de formation (Démarche TRAME, Démarche La Coopération Agricole, Fresque du Sol par l’APAD)
Des outils utilisables par les collectivités (Territoires fertiles par Terre de liens, ClimAgri, Carbolocal, ACT pas à pas…)
Plusieurs outils ont été testés et seront présentés lors du séminaire :
Des diagnostics à la ferme (diagnostic ACCT-FNAB, diagnostic agriculture paysanne de la FADEAR, MyEasyCarbon)
Des démarches d’accompagnement et parcours de formation (Démarche TRAME, Démarche La Coopération Agricole, Fresque du Sol par l’APAD)
Des outils utilisables par les collectivités (Territoires fertiles par Terre de liens, ClimAgri, Carbolocal, ACT pas à pas…)
L’État n’ayant jamais mis en oeuvre une politique d’aide à la transmission des terres, aucune formation ne prépare à la reprise d’une exploitation ni aux lourdeurs administratives qui accompagnent celle-ci.
Les éleveurs et les éleveuses n’ont pas attendu les philosophes de la cause animale pour faire l’expérience de l’intelligence au travail de leurs bêtes ni pour les considérer comme des êtres respectables. Mais ce rapport à l’animal est malmené par le système agroindustriel.
Les femmes ont toujours travaillé sur les fermes, mais ont toujours été maintenues à l’écart des machines. Cette adversité ne les a pas empêchées d’entreprendre. Souvent critiques des méthodes intensives, elles sont motrices pour les pratiques innovantes et respectueuses du vivant.
Dans le domaine de l’agriculture, ils sont notamment identifiés comme outils d’aide à la décision et/ou participant à l’innovation et transformation des systèmes. Alors que de nombreux travaux alertent sur le besoin de transformer les systèmes agricoles et alimentaires (Campbell et al., 2017), les jeux pourraient être un atout majeur pour accompagner ces transformations et travailler sur des systèmes durables. Or, peu de travaux portent sur la mobilisation des jeux dans le domaine de l’agriculture, et moins encore sur leur prise en compte des dimensions associées à la durabilité des systèmes. Ce résumé présente les principaux résultats de la revue de littérature que nous avons conduite sur l’utilisation de jeux sérieux sur l’agriculture et sur la manière dont ces jeux traitent des questions de durabilité des systèmes agricoles.
De nouveaux travaux, publiés jeudi 24 octobre dans la revue Science, suggèrent que l’effet des produits agrochimiques sur ce déclin pourrait être plus important que prévu. Cette étude menée par des chercheurs du Laboratoire européen de biologie moléculaire (EMBL) a démontré que certains pesticides, perçus initialement comme inoffensifs, pourraient en réalité perturber le développement des insectes.
Les ressorts du regroupement syndical agricole - Blog de veille du Centre d'études et de prospective
L’auteur explique que le regroupement syndical résulterait de la conjugaison de deux ressorts. Il s’agirait d’abord de répondre positivement à l’incitation des institutions qui choisissent d’octroyer des droits ou des avantages uniquement aux agriculteurs fédérés. Il s’agirait aussi de défendre des intérêts économiques communs, en cas de déstabilisation des marchés : les exploitants s’organisent pour sauvegarder collectivement des pratiques améliorant leurs revenus ou pour obtenir des soutiens conjoncturels de l’État.