15398 shaares
1427 liens privés
1427 liens privés
En analysant l’articulation de l’action individuelle et des collectifs professionnels, ils
analysent les conditions d’une décision démocratique de nature à renforcer le contrat
social et la confi ance des membres de la communauté éducative en leur capacité
d’agir.
Ces interrogations constituent pour les auteurs des pistes pour l’action. La crise du
recrutement dans l’Éducation nationale comme la persistance des inégalités de destin
scolaire obligent l’institution et les décideurs à tenir compte des nouvelles attentes des
personnels, des parents et des élèves en les associant à la construction de la décision.
analysent les conditions d’une décision démocratique de nature à renforcer le contrat
social et la confi ance des membres de la communauté éducative en leur capacité
d’agir.
Ces interrogations constituent pour les auteurs des pistes pour l’action. La crise du
recrutement dans l’Éducation nationale comme la persistance des inégalités de destin
scolaire obligent l’institution et les décideurs à tenir compte des nouvelles attentes des
personnels, des parents et des élèves en les associant à la construction de la décision.
Il s’agit ici de prendre en compte le problème du genre en didactique afin de produire la déconstruction de l’ordre genré qui prévaut trop souvent dans le système scolaire. Pour ce faire, l’ouvrage analyse la fabrication des inégalités scolaires selon le sexe et pointe la nécessité d’une problématisation didactique de cette question. Il présente les résultats de recherches portant sur diverses activités scolaires à plusieurs niveaux du système éducatif. Conduite selon une démarche collaborative articulant visées heuristique et pratique, l’enquête repère les leviers de transformation des pratiques d’enseignement et d’étude. Elle souligne en quoi une approche comparatiste renouvelle la compréhension des processus à l’origine de la fabrication des inégalités de sexe à l’École.
L’ouvrage plaide ainsi pour que les sciences didactiques se saisissent davantage des problématiques de genre afin de participer aux nécessaires transformations de l’École – auxquelles enseignantes et enseignants eux-mêmes souhaitent contribuer – pour une égalité sans condition de genre encore à conquérir dans toutes les sphères de la société.
L’ouvrage plaide ainsi pour que les sciences didactiques se saisissent davantage des problématiques de genre afin de participer aux nécessaires transformations de l’École – auxquelles enseignantes et enseignants eux-mêmes souhaitent contribuer – pour une égalité sans condition de genre encore à conquérir dans toutes les sphères de la société.
voir les ressources
Cette revue de littérature nous enseigne cependant que les technologies sont investies à partir de conceptions de la transition écologique qui sont souvent antagonistes. Quoi de commun entre les initiatives qui utilisent la technologie pour favoriser l’émergence de publics locaux ou pour explorer des modes alternatifs de production et de consommation, et les initiatives qui voient dans les technologies un moyen économiquement profitable de réduire certaines pollutions en optimisant les ressources investies sans remettre en cause la logique productiviste ni prendre en compte de possibles « effets rebonds » ?
Ce qui se joue actuellement ne porte pas tant sur la haie elle-même que sur la manière dont elle est perçue, pensée, reliée à l’agriculture et au paysage. Car si la haie est un objet matériel avec lequel on interagit, elle est tout autant un objet social et culturel, porteur de représentations et d’affects, qu’un objet naturel inséré dans des rapports sociaux évoluant dans le temps et l’espace.
Une équipe de chercheurs néo-zélandais a publié en mai 2024, dans The Journal of Agricultural Education and Extension, les résultats de l’évaluation d’un programme d’éducation au bien-être et à la santé mentale, dispensé dans des écoles d’agriculture. Le programme WellMates a été développé conjointement par des professeurs de l’enseignement supérieur agricole, des étudiants et des professionnels de santé, suite aux suicides d’anciens élèves. Ciblant les futurs actifs agricoles (salariés, exploitants ou intervenants), il vise à développer les connaissances en matière de santé mentale chez les étudiants, à accroître leur capacité à reconnaître les signes de détresse chez eux-mêmes ou les autres, et à réagir de manière adéquate. Le programme consiste en un atelier de deux heures, destiné aux étudiants de première année, et animé par des étudiants de deuxième ou troisième année.
La revue Science a publié en avril 2024 un article sur l’évolution mondiale de la biodiversité et des services écosystémiques. À l’aide de modèles et d’indicateurs, les auteurs reconstituent l’utilisation des terres et le changement climatique entre 1900 et 2015, et projettent trois scénarios contrastés à l’horizon 2050, variant notamment en matière d’émissions de gaz à effet de serre.
Elles porteront sur la thématique suivante :
« Transitions : diversité des lieux et des ressources ».
« Transitions : diversité des lieux et des ressources ».
La philosophe nous explique que grandir est aussi un entrainement à la connexion à un en-dehors de soi : en dehors de ses idées, de ses croyances, de ses préjugés, de la maison et de l'entre-soi
présentation URFIST
Introduire l’éthique végétale dans le contexte de l’agriculture suppose de passer d’une compréhension discursive à une raison pratique, de l’éthique déontologique à l’éthique des vertus. Une première étape est de mesurer les obstacles qu’introduit la modernité dans la pensée éthique elle-même, sous la forme d’a priori utilitaristes et moralistes : l’agriculture serait intrinsèquement instrumentale, se nourrir serait un acte de prédation, et une éthique végétale aurait vocation à normaliser l’action humaine. Ces a priori reposent sur une pensée généraliste décontextualisée, qui tend à occulter la multiplicité des agricultures, des modes de relation au vivant et des situations concrètement vécues. Pour y remédier, il est nécessaire de s’écarter d’un solutionnisme global et de renforcer le socle des vertus, initialement laissées à l’écart des réflexions environnementales. J’aborderai trois aspects de cette démarche, en m’appuyant sur le projet PlantCoopLab qui étudie les relations de coopération avec les plantes dans les activités de production nourricière. 1/ La vertu prouve son excellence, non en général mais en particulier : il importe donc de s’intéresser aux marges dans lesquelles les agricultures écologisées s’inventent à partir d’initiatives singulières. 2/ La vertu est exemplaire, elle ne reste jamais isolée et participe de l’action collective : il est donc essentiel de la considérer, non comme une nécessité privée, mais comme une question d’intérêt public. 3/ La vertu confère un « devenir-moral » à autrui dans l’acte de coopérer : le travail agricole et ses vertus ne pouvant être dissociés du « travail » (ou agentivité) des plantes, ceci conduit à élargir la compréhension de l’agir moral en la situant d’emblée au sein de communautés interspécifiques et à concevoir de nouvelles formes instituantes, telles qu’un « Parlement des plantes ».
Dans cet essai, je propose un éclairage nouveau sur la posture à adopter au niveau de l’accompagnement et de la réflexivité de la direction d’établissement lors d’un tel processus. J’y détaille également une démarche complète pour ancrer la pédagogie de projet dans le vécu du développement professionnel collectif de l’équipe-école. Cette démarche inclut les étapes, les principes de conception rigoureux et flexibles, à modeler à partir des besoins et des intérêts du milieu.
Présentation du projet "Réseau normand des lieux de la reco" avec Juliette Kyburz (Labo CIBC) qui vous emmène à la découverte des premiers lieux de la reco normands : le Dôme à Caen, l'UDD à Alençon, la Boîte A à Evreux et le Centre du Puchot à Elbeuf.
L’École de la Controverse est un réseau d’enseignants et de chercheurs qui propose des
formations à destination des professionnels de l’éducation et des équipes pédagogiques
intéressés par les questions socialement vives (QSV).
Ce réseau est piloté par l’ENSFEA en partenariat avec l’Institut Agro Dijon et soutenu par le Ministère de l’Agriculture, de l’Alimentation et de la Souveraineté Alimentaire.
formations à destination des professionnels de l’éducation et des équipes pédagogiques
intéressés par les questions socialement vives (QSV).
Ce réseau est piloté par l’ENSFEA en partenariat avec l’Institut Agro Dijon et soutenu par le Ministère de l’Agriculture, de l’Alimentation et de la Souveraineté Alimentaire.