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En utilisant le pouvoir émotionnel de la narration, le projet cherche à engager le public dans un dialogue sur les relations complexes qui unissent l’alimentation, l’environnement et la société. Grâce à un mélange d’expériences cinématographiques et d’initiatives pédagogiques, Food on Film souhaite approfondir la compréhension des dynamiques complexes qui façonnent nos systèmes alimentaires et de leurs conséquences sur notre planète. Il propose une série d’outils innovants pour faire participer et informer le public, notamment les plus jeunes. Il s’appuie sur une plateforme numérique proposant une sélection de 200 films variés sur le thème de l’environnement
carte mentale de service
"Comment créer un espace de coopération et d’apprentissages entre les adultes et les jeunes permettant à la fois l’expression, la compréhension et la reconnaissance mutuelle, qui puisse faire sens avec les attendus du diplôme professionnel délivré dans le parcours SAPAT ?"
"Cet article présente une recherche menée avec des formateurs d’enseignants à l’université de Namur, impliqués dans un projet collaboratif visant à élaborer un dispositif de formation centré sur les compétences réflexives de leurs étudiants futurs enseignants. La recherche interroge les effets perçus du travail collaboratif par ces formateurs sur leur propre développement professionnel et leurs pratiques au cours de l’élaboration et de la mise en œuvre de ce dispositif (six ans). Une collecte de données par entretiens semi-directifs a été réalisée auprès des formateurs impliqués. Le matériau a été traité par catégorisations thématiques. Des effets de changements identitaires et de développement de compétences ont notamment pu être relevés. En perspectives, nous dégageons des pistes pour soutenir le développement de l’innovation pédagogique en milieu universitaire."
carte mentale avec IA
Ce numéro spécial de la revue Norois rend compte des résultats des travaux qui interrogent la manière dont les politiques publiques environnementales transforment l’enseignement agricole secondaire et supérieur en France. Les contributions de ce numéro montrent que, dans cet enseignement, la place des savoirs agroécologiques est en progression. Elles analysent également les ambiguïtés des politiques publiques dont les solutions apparaissent souvent technocentrées. Elles dévoilent aussi les modes de réception des savoirs agroécologiques chez les publics en formation.
François Deltour (IMT Atlantique, LEMNA) et Virginie Lethiais (IMT Atlantique, LEGO) publient une analyse des données collectées lors de l’enquête Entreprises Bretagne 2023. Les deux chercheurs proposent une typologie établissant 3 profils et qui permet de distinguer les établissements bretons en fonction de leur degré d’engagement dans les pratiques éco-responsables.
Matilda s'inscrit dans un double héritage. Elle emprunte des principes de fonctionnement et d'utilisation à Google Scholar, qui a popularisé le libre accès au suivi des citations, aux métadonnées, et permet l'intervention des utilisateurs comme enrichisseurs des données bibliométriques. Elle hérite aussi de la philosophie d'ISIDORE et des moteurs de recherche fondés sur le moissonnage, réalisant une recherche en plein texte et indifférente au prestige supposé des supports. Matilda est donc un outil destiné aux chercheuses et aux chercheurs qui vise à se substituer aux outils bibliométriques des bases de données commerciales (Web of Science, Scopus) et à la hiérarchisation opaque de Google Scholar.
Nous posons qu’il existe trois dimensions de l’éducation à la sobriété numérique. La première porte sur la compréhension et l’analyse de l’impact du numérique. Elles peuvent s’effectuer en prenant en main une méthode complète et visuelle telle que l’analyse du cycle de vie. Concernant la deuxième dimension, l’identification de solutions numériques pour l’environnement doit se traduire par une conscientisation du greenwashing, un aiguisement de l’esprit critique et une analyse nuancée des impacts du numérique. Enfin, le troisième axe consiste à utiliser les technologies et à agir collectivement en appliquant par exemple la règle dite des 5 R : refuser, réduire, réparer, réutiliser, recycler.
voir l'atelier agriculture
Le texte se compose de trois parties écrites chacune par un auteur. Chacun a sa propre filiation théorique [3], mais tous pensent largement à partir des travaux de Bruno Latour en disant dépasser sa réflexion pour y intégrer le non-humain technique. Ils proposent une contre-enquête (qui s’intéresse aux mondes qui se ferment et aux communs négatifs) et une contre-théorie de l’acteur-réseau (pour décrire les infrastructures en train de s’effondrer et les mondes en train de se défaire). Le capitalisme est un héritage à fermer correctement : il s’agit d’avoir avec lui un rapport pragmatique car il reste nécessaire pour la subsistance de millions de personnes, tout en étant sans concession avec lui sur le plan cosmologique et politique.
En quoi « faire ensemble » est-il un art ? En quoi les ingénieries coopératives concrétisent-elles cet art de faire ?
Les ingénieries coopératives sont des dispositifs au sein desquels les professionnels (en particulier des professeurs, mais pas uniquement) et les chercheurs coopèrent afin de mieux comprendre la pratique de l’enseignement et de la recherche. Ces dispositifs reposent sur l’idée selon laquelle la coopération est au cœur du processus d’humanisation et d’une démocratie pleine encore à venir.
Fruit d’un travail de plusieurs années accompli par le Collectif Didactique pour Enseigner, l’ouvrage s’adresse à toutes celles et tous ceux qui — professeurs, chercheurs et citoyens — expérimentent la coopération sur leur terrain propre afin d’améliorer la pratique.
Les ingénieries coopératives sont des dispositifs au sein desquels les professionnels (en particulier des professeurs, mais pas uniquement) et les chercheurs coopèrent afin de mieux comprendre la pratique de l’enseignement et de la recherche. Ces dispositifs reposent sur l’idée selon laquelle la coopération est au cœur du processus d’humanisation et d’une démocratie pleine encore à venir.
Fruit d’un travail de plusieurs années accompli par le Collectif Didactique pour Enseigner, l’ouvrage s’adresse à toutes celles et tous ceux qui — professeurs, chercheurs et citoyens — expérimentent la coopération sur leur terrain propre afin d’améliorer la pratique.
Les questions que Hans Jonas formulait à la fin du XXe siècle sont devenues d'une actualité brûlante : Quelle Terre allons-nous laisser à nos enfants ? Qu'adviendra-t-il de l'humanité comme telle ? L'éducation a-t-elle encore un sens dans un tel contexte ? L'originalité de ce travail, issu de l'équipe "Questions socialement vives" du Centre de recherche en éducation de Nantes (CREN), est de chercher des réponses chez des intellectuels contemporains connus (Giorgio Agamben, Ulrich Beck, Umberto Eco, René Girard, André Gorz, Hans Jonas, Bruno Latour, Hartmut Rosa, Umberto Eco), ou moins connus (Alexandre Grothendieck, Katsuhiro Otomo, Kyle Harper, Xi Jinping, Frédérique Aït-Touati...).
Beaucoup de ces auteurs sont des lanceurs d'alerte qui osent dire, ce que personne ne veut entendre. L'ouvrage se termine sur un entretien avec Edgar Morin.
Beaucoup de ces auteurs sont des lanceurs d'alerte qui osent dire, ce que personne ne veut entendre. L'ouvrage se termine sur un entretien avec Edgar Morin.