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Les aliments dits ultra-transformés nécessitent l’utilisation de plusieurs procédés de transformation et d’ajouts d’additifs dans le but de modifier texture, saveur et durée de conservation. Que disent les études observationnelles sur les effets de leur consommation sur la santé humaine ?
J’ai alors mis en place des séances d’écriture et de réécriture assistées par Chat GPT au cours desquelles le prompt est devenu, en soi, un objet d’apprentissage.
L’IA est vue comme une machine neutre. On la considère souvent comme « objective », sans biais cognitifs. Pourtant, quand on y regarde de plus près, on se rend vite compte que l’intelligence artificielle n’est que le reflet d’une société dont les discriminations sont multiples : racisme, sexisme, homophobie, transphobie, grossophobie et on en passe.
Revenir au sommaire 1 Guide pratique de l’IA à l’Inspé de l’académie de Créteil / repéré par Corinne
Guide très complet qui propose de nombreux exemples de prompts
Le « Kit de la journée des légumineuses dans nos cantines » vise à promouvoir la consommation de légumineuses à graines (connues généralement par leurs noms de variétés : haricots lingots, fèves, lentilles, pois chiches, etc.) en restauration scolaire. Il a pour objectif principal d’accompagner les exigences de la loi Egalim pour une diversification des sources de protéines en restauration collective et fait écho à la mobilisation internationale en faveur de la consommation humaine des légumineuses à graines. Il s’intègre également dans la perspective de la journée mondiale des légumineuses, chaque 10 février.
Les résultats de ces analyses indiquent que jusqu’à 90% des carabes les plus fréquents dans les parcelles agricoles avaient consommé des graines de mauvaises herbes. Cette consommation représente une part importante de leur alimentation, plus élevée par exemple que des proies telles que les limaces ou les pucerons. De plus, la proportion d’espèces de carabes consommateurs de graines de mauvaises herbes ne varie pas selon les territoires étudiés, ce qui rend ce résultat cohérent et réplicable.
Ceci est une invitation à participer à un cycle de rencontre et de discussion sur le thème de la stigmergie au service de la coopération entre collectifs citoyens.
Nous proposons de commencer par quatre grands axes, qui ne sont ni exclusifs, ni figés. Ils sont là pour initier la conversation, inviter à penser avec, à déplier, à critiquer, à compléter :
Robustesse des institutions universitaires : Comment penser une université capable de durer sans se figer ? Quels dispositifs, quelles formes de gouvernance, quels rythmes, quelles structures favorisent une robustesse institutionnelle dans un monde instable ?
Robustesse pédagogique : Que serait une pédagogie robuste ? Peut-on enseigner avec l’erreur, la lenteur, la redondance ? Quels seraient les bénéfices pour les enseignants, les étudiants, les collectifs d’apprentissage ?
Former des citoyen·nes robustes : Quelles compétences, quelles attitudes, quels savoir-être développer pour former des individus capables d’agir dans l’incertain ? Peut-on faire de l’incertitude un levier de puissance, plutôt qu’un obstacle à contourner ?
Evaluer dans le cadre de la robustesse : Comment faire évoluer nos méthodes d'évaluation pour les rendre robuste et permettre qu'elles mesurent des aptitudes robustes ?
Robustesse des institutions universitaires : Comment penser une université capable de durer sans se figer ? Quels dispositifs, quelles formes de gouvernance, quels rythmes, quelles structures favorisent une robustesse institutionnelle dans un monde instable ?
Robustesse pédagogique : Que serait une pédagogie robuste ? Peut-on enseigner avec l’erreur, la lenteur, la redondance ? Quels seraient les bénéfices pour les enseignants, les étudiants, les collectifs d’apprentissage ?
Former des citoyen·nes robustes : Quelles compétences, quelles attitudes, quels savoir-être développer pour former des individus capables d’agir dans l’incertain ? Peut-on faire de l’incertitude un levier de puissance, plutôt qu’un obstacle à contourner ?
Evaluer dans le cadre de la robustesse : Comment faire évoluer nos méthodes d'évaluation pour les rendre robuste et permettre qu'elles mesurent des aptitudes robustes ?
nspirée, notamment, des travaux d’Olivier Hamant, la pédagogie de la robustesse propose un changement de paradigme : former des esprits ET des collectifs capables de penser la complexité, d’agir dans l’incertain, de coopérer et de rebondir dans des environnements complexes et fluctuants — plutôt que d’optimiser des compétences professionnelles en partie figées.
Nous avons déjà amorcé cette réflexion au sein d’un collectif rassemblant des collègues de l’enseignement supérieur.
Nous avons déjà amorcé cette réflexion au sein d’un collectif rassemblant des collègues de l’enseignement supérieur.
Dans le domaine de l’éducation, prenons-nous vraiment le chemin de l’inclusion mise en pratiques, ou nous contentons-nous d’en adopter le vocabulaire ? Eric Plaisance montre quelles peuvent être les conditions de possibilité des politiques et des pratiques inclusives et de la reconnaissance sociale des personnes.
Les évolutions sont sensibles dans les représentations, les institutions et les pratiques concernant les personnes en situation de handicap. Les enfants autrefois dénommés « inadaptés » peuvent fréquenter des classes ordinaires et bénéficier de mesures spécifiques d’accompagnement. Mais sommes-nous clairement parvenus à des changements tels qu’ils élimineraient les phénomènes de ségrégation et de discrimination ?
Développer une critique de la raison inclusive vise à repérer les illusions de l’inclusion, à montrer les points d’achoppement et à définir des conditions de possibilité de l’éducation inclusive. La référence à la raison critique s’appuie sur l’héritage philosophique d’Emmanuel Kant et sur le concept de reconnaissance, développé par Axel Honneth, pour dégager des pistes d’action et défendre une utopie en actes.
Éric Plaisance porte son attention à la fois sur le vocabulaire employé, qui témoigne toujours des structures de pensée, sur les institutions et les pratiques d’éducation, avec un regard particulier sur les réalités internationales et, plus précisément, sur le Brésil.
Les évolutions sont sensibles dans les représentations, les institutions et les pratiques concernant les personnes en situation de handicap. Les enfants autrefois dénommés « inadaptés » peuvent fréquenter des classes ordinaires et bénéficier de mesures spécifiques d’accompagnement. Mais sommes-nous clairement parvenus à des changements tels qu’ils élimineraient les phénomènes de ségrégation et de discrimination ?
Développer une critique de la raison inclusive vise à repérer les illusions de l’inclusion, à montrer les points d’achoppement et à définir des conditions de possibilité de l’éducation inclusive. La référence à la raison critique s’appuie sur l’héritage philosophique d’Emmanuel Kant et sur le concept de reconnaissance, développé par Axel Honneth, pour dégager des pistes d’action et défendre une utopie en actes.
Éric Plaisance porte son attention à la fois sur le vocabulaire employé, qui témoigne toujours des structures de pensée, sur les institutions et les pratiques d’éducation, avec un regard particulier sur les réalités internationales et, plus précisément, sur le Brésil.
Ce jeu pédagogique et immersif, destiné aux professionnels et étudiants du monde agricole et des secteurs de l’environnement, vise à favoriser une réflexion collective pour une gestion concertée des paysages afin de concilier l’élevage pastoral, la valeur patrimoniale des paysages et la préservation de la biodiversité.
Pour le dire en d’autres termes, connaître la recette exacte du Coca-Cola ne change rien au phénomène de l’obésité : la seule chose qui compte c’est de se doter de politiques de santé publique qui éduquent, régulent, contraignent et qui dépublicitarisent, qui démonétisent symboliquement ce qu’est et ce que représente le Coca-Cola.
De la même manière, connaître l’impact du pétrole sur le réchauffement climatique et la part qu’y jouent nos modes de transport et les industriels extractivistes ne changera rien à l’avenir de la planète si l’on n’a pas de politique publiques sur l’écologie capable de proposer des alternatives aux premiers mais aussi de contraindre les seconds, et là encore de dépublicitariser, de démonétiser tout cela.
Pour les algorithmes, y compris et a fortiori pour celui de TikTok, c’est exactement la même chose : connaître son mode exact de fonctionnement ne changera rien aux errances et aux effondrements affectifs, psychologiques, conatifs, informationnels qu’il alimente. Il nous faut des politiques publiques du numérique. Dont des politiques de santé publique numérique.
Et il faut davantage de postes de professeurs documentalistes dans les lycées et collèges, avec davantage d’heures de cours dédiées à la culture numérique. Et aussi il faut financer et multiplier les structures et opérateurs comme le CLEMI. Oui je l’ai déjà dit. Mais oui je le redis. Et le redirai sans cesse.
De la même manière, connaître l’impact du pétrole sur le réchauffement climatique et la part qu’y jouent nos modes de transport et les industriels extractivistes ne changera rien à l’avenir de la planète si l’on n’a pas de politique publiques sur l’écologie capable de proposer des alternatives aux premiers mais aussi de contraindre les seconds, et là encore de dépublicitariser, de démonétiser tout cela.
Pour les algorithmes, y compris et a fortiori pour celui de TikTok, c’est exactement la même chose : connaître son mode exact de fonctionnement ne changera rien aux errances et aux effondrements affectifs, psychologiques, conatifs, informationnels qu’il alimente. Il nous faut des politiques publiques du numérique. Dont des politiques de santé publique numérique.
Et il faut davantage de postes de professeurs documentalistes dans les lycées et collèges, avec davantage d’heures de cours dédiées à la culture numérique. Et aussi il faut financer et multiplier les structures et opérateurs comme le CLEMI. Oui je l’ai déjà dit. Mais oui je le redis. Et le redirai sans cesse.