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bulagri
"Intelligence collective pour des transitions écologiques au service de notre alimentation et de la santé globale"
"Un groupe d’enseignants et d’étudiants réclame des assises de l’enseignement relevant du ministère de l’agriculture. Avec pour objectif de redéfinir ensemble les priorités de formations en lien direct avec la transition écologique."
"L’auteur commence par décrire les logiques d’action de différents acteurs. Les industriels sont soucieux de sécuriser leurs investissements de R&D en respectant les standards d’évaluation et les seuils. Les institutions publiques, chargées d’instruire les demandes d’homologation, paraissent débordées par les demandes, répondant aux urgences (cas des « usages orphelins »), manquant de moyens et contraintes selon F. Dedieu de « bricoler » des expertises. Les standards de qualité commerciale et les impasses agronomiques poussent les agriculteurs, dans certains cas, à réaliser des traitements en surdose ou non déclarés, avec des produits interdits ou en attente d’agrément. Enfin, les acteurs coalisés contre les pesticides (ONG, journalistes, etc.) dépendent de l’agenda médiatique et se focalisent sur les conflits d’intérêt entre régulateurs et industrie.
L’ouvrage éclaire ensuite les mécanismes de « production de l’ignorance », par lesquels des données préoccupantes, des savoirs « inconfortables » et dissonants, sont minorés ou mis de côté lors des procédures d’alerte et d’homologation. La période étudiée a été marquée, entre autres, par une nouvelle phase de normalisation des équipements de protection individuelle (après la découverte de défauts de perméation) et par le transfert à l’Anses de la compétence d’autorisation de mise sur le marché des produits phytosanitaires. Selon l’auteur, les changements introduits en réponse aux critiques restent limités. Enfin, le dernier chapitre esquisse des pistes pour « renforcer la surveillance » post-mise en marché « afin de corriger de manière plus systématique les points aveugles de l’évaluation a priori ». Plus indirectement, il suggère de réduire le nombre de nouveaux pesticides pour désengorger les procédures d’évaluation, via un soutien accru à l’agriculture biologique et une meilleure valorisation des productions utilisant moins de traitements, y compris dans la conception des dispositifs de transition (Écophyto)."
L’ouvrage éclaire ensuite les mécanismes de « production de l’ignorance », par lesquels des données préoccupantes, des savoirs « inconfortables » et dissonants, sont minorés ou mis de côté lors des procédures d’alerte et d’homologation. La période étudiée a été marquée, entre autres, par une nouvelle phase de normalisation des équipements de protection individuelle (après la découverte de défauts de perméation) et par le transfert à l’Anses de la compétence d’autorisation de mise sur le marché des produits phytosanitaires. Selon l’auteur, les changements introduits en réponse aux critiques restent limités. Enfin, le dernier chapitre esquisse des pistes pour « renforcer la surveillance » post-mise en marché « afin de corriger de manière plus systématique les points aveugles de l’évaluation a priori ». Plus indirectement, il suggère de réduire le nombre de nouveaux pesticides pour désengorger les procédures d’évaluation, via un soutien accru à l’agriculture biologique et une meilleure valorisation des productions utilisant moins de traitements, y compris dans la conception des dispositifs de transition (Écophyto)."
"La viande pèse lourd dans nos émissions de gaz à effet de serre au niveau global : 15 % du total. Pourquoi la viande est-elle responsable d’autant d’émissions de gaz à effet de serre ? Comment imaginer des régimes alimentaires compatibles avec notre trajectoire climatique ? Faut-il limiter la consommation de viande et comment ? Quels leviers peut-on utiliser pour limiter son impact sur le réchauffement ?"
"COMMUNIQUE DE PRESSE - Une étude internationale impliquant INRAE et l’Institut de recherche Senckenberg sur la biodiversité et le climat (Allemagne) démontre l’importance de la diversité végétale, à différentes échelles spatiales (de la parcelle au paysage), pour le maintien de nombreux services écosystémiques. Les scientifiques ont étudié les liens entre la diversité végétale et 16 services écosystémiques, incluant des services liés à la production agricole mais aussi des services socioculturels, liés par exemple à l’esthétique des paysages, dans 150 prairies situées en Allemagne. Leurs résultats, publiés le 14 novembre dans Nature Ecology & Evolution, montrent que la diversité végétale a un rôle primordial dans le maintien d’importants services écosystémiques qui sont bénéfiques à différents acteurs du territoire (agriculteurs, résidents, secteur du tourisme ou associations de protection de la nature). Ces nouvelles connaissances contribuent au développement de mesures de gestion du territoire visant à préserver les écosystèmes et les services qu’ils apportent."
voir : " Vous avez dit "transition agroécologique ?" Chronique d’une crise annoncée. Par P. Ledenvic
"Pour accompagner les territoires dans leur réflexion en vue d’atteindre une « alimentation durable » à l’horizon 2050, l’entreprise associative Solagro a développé le « Jeu de l’assiette », un outil fondé sur la prospective Afterres 2050. Les participants doivent imaginer un ensemble d’assiettes correspondant à l’alimentation à l’échelon territorial, en 2050, avec pour objectif d’équilibrer demande nutritionnelle, émission de CO2 et production agricole."
"Les PAT sont définis comme des projets de mise en œuvre d’un système alimentaire à l’échelle de territoires, celui-ci se définissant, selon Louis Malassis, comme « la manière dont les hommes et les femmes s’organisent, dans l’espace et dans le temps, pour obtenir et consommer leur nourriture ». Les décennies 1990 et 2000 ont été celles de l’émergence de mouvements sociaux et du développement d’organisations, publiques ou privées, individuelles ou collectives, visant un rapprochement relationnel, économique et géographique des producteurs et des consommateurs grâce aux circuits courts et de proximité…"
"Corine Pelluchon est une philosophe spécialisée dans l’éthique appliquée à la médecine, à l’environnement et aux animaux ; Jocelyne Porcher une ancienne éleveuse devenue sociologue et directrice de recherche à l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae). De l’automne 2021 au printemps 2022, ces deux intellectuelles ont entretenu, à la demande des éditrices Sophie Nordmann et Mazarine Pingeot, une correspondance nourrie autour d’un sujet qui engendre volontiers les passions : la cause animale. Au fil de cette longue conversation, Corine Pelluchon et Jocelyne Porcher examinent les multiples facettes d’une question philosophique vertigineuse : avons-nous le droit de tuer des animaux ?"
"Dans son numéro d’août 2022, Ecological Indicators publie une étude internationale, coordonnée par INRAE, sur les indicateurs environnementaux utilisés pour évaluer les services et impacts liés aux activités agricoles. Les auteurs ont comparé les concepts, champs et échelles de ces outils"
"Dans le domaine « agriculture et environnement », 8 signaux faibles ont été identifiés dont 4 relatifs à l’agriculture (figure ci-dessous) : l’agrivoltaïque, la « plasma agriculture » (traitement des semences au plasma pour améliorer le développement des plantes), la nanoagriculture et les nanofertilisants. La nanoagriculture et l’usage du plasma sont des signaux plus anciens que les deux autres, lesquels présentent une activité de R&D plus intense."
"Dans cet ouvrage, des chercheurs de l’unité mixte Selmet (Cirad/Inrae) rassemblent plusieurs de leurs travaux portant sur l’élevage au pâturage, dans les territoires méditerranéens et tropicaux, thème au cœur du projet scientifique de l’unité de 2015 à 2020. Au fil de la vingtaine de contributions, les auteurs font la démonstration de l’intérêt des systèmes pâturants, du point de vue de la transition agro-écologique et des Objectifs de développement durable (ODD). À rebours de l’image passéiste que véhicule ce mode d’élevage, ils font au contraire la preuve, en s’appuyant sur des cas concrets, de sa capacité d’innovation et d’adaptation, et de son efficience."
"La revue Les Annales des Mines publie, en septembre, un numéro spécial sur l’agriculture numérique. Une vingtaine d’articles aborde 5 grandes thématiques : les apports du numérique pour mieux produire, le renouvellement des relations de travail et commerciales dans les filières, le partage des données, les nouvelles voies d’innovation et, enfin, quelques initiatives dans certains pays."
Sommelière, formatrice, caviste, fondatrice de deux bars à vins, Alessandra est passionnée de vin, mais aussi de l'humain. Elle raconte ses tribulations avec humour et pédagogie.
Cette BD essaie de mettre à nu le sexisme ordinaire dans le monde de l'oenologie au fil de situations du quotidien, pour lutter contre l'invisibilité des femmes et le regard profondément masculin de cet univers.
+ Histoire des femmes dans le vin ; des portraits de professionnelles et une sélection de vins de vigneronnes.
Cette BD essaie de mettre à nu le sexisme ordinaire dans le monde de l'oenologie au fil de situations du quotidien, pour lutter contre l'invisibilité des femmes et le regard profondément masculin de cet univers.
+ Histoire des femmes dans le vin ; des portraits de professionnelles et une sélection de vins de vigneronnes.
De jeunes paysannes combatives et passionnées gèrent leur propre ferme et se heurtent au machisme du milieu agricole. On leur demande souvent : il est où le patron ?
Trois femmes bourrées d'humour et de révolte qui font souffler un grand coup de frais sur le monde figé des champs.
Trois femmes bourrées d'humour et de révolte qui font souffler un grand coup de frais sur le monde figé des champs.