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"Les syndicats de l'enseignement agricole dénoncent les suppressions massives de moyens à l'occasion de la réforme du lycée. Ainsi selon le Snetap Fsu, pour le bac technologique STAV des enseignements complets qui font la spécificité de l'enseignement agricole disparaissent purement et simplement. Pour le bac général, l'intersyndicale dénonce la réduction drastique des spécialités. C'est par ce biais que le ministère fait des économies de postes. Une démarche qui pourrait faire réfléchir tous les enseignants..."
Comment protéger la ressource en eau et son accès alors que de fortes menaces, particulièrement le réchauffement climatique, pèsent sur elle ? Pour répondre à cette question, la mission d'information pose tout d'abord un diagnostic : à l'horizon 2030, près de la moitié de la population mondiale, soit quelque 3,9 milliards de personnes - un milliard de plus qu'aujourd'hui -, vivront dans des régions en situation de « stress hydrique ». Il en résultera une concurrence plus vive, voire des conflits, pour des ressources en eau toujours plus rares. Sur la base de ce diagnostic, les rapporteurs identifient quatre défis à relever : la préservation et l'amélioration de la qualité de l'eau ; la sécurisation de la ressource et le financement des investissements nécessaires ; une gouvernance améliorée ; le droit à l'eau effectif.
"Plus largement, cette étude pointe la nécessité de développer des stratégies et des pratiques agricoles faisant l’économie de ces traitements et en particulier leur usage croisé car l’expérience semble témoigner d’un «effet cocktail» provoqué par l’exposition simultanée à plusieurs pesticides. Or, la montée des résistances, en particuliers aux insecticides, pousse plutôt à multiplier ces derniers. Mettre en oeuvre des stratégies de long terme visant d’autres moyens de lutte contre champignons ou ravageurs va exiger des efforts continus, peu compatibles avec des revenus trop faibles des agriculteurs."
"De nombreux utilisateurs ont estimé que l'école violait les droits fondamentaux de ces élèves avec une telle surveillance : « ce ne sont pas des machines. Tout être humain aura des moments où son esprit vagabonde », a déclaré un utilisateur de la province du Fujian répondant au pseudonyme « Laren ».
Cependant, le directeur de l’école reste persuadé que cette technologie va permettre d’améliorer les standards de l’éducation : « c’est comme si les enseignants avaient des assistants et cela peut aider à améliorer les méthodes d’enseignements. Certains évoquent une violation du droit des élèves à la vie privée mais l’outil enregistre simplement les actions des élèves au lieu de filmer les activités en classe. Et ceux qui se concentrent sur le cours auront la note A, tandis que ceux qui laissent leur pensée vadrouiller auront la note B ».
En 2016, Xiao-Yong Wei, un professeur en sciences informatiques à l’université Sichuan (Chine), a développé un outil de reconnaissance faciale sur ses élèves pour déterminer leur niveau d’intérêt pendant sa classe. Pour être plus précis, l’outil développé par le professeur avait pour objectif d’identifier des émotions qui suggèrent que ses élèves sont stimulés ou au contraire s’ils s’ennuient. "
Cependant, le directeur de l’école reste persuadé que cette technologie va permettre d’améliorer les standards de l’éducation : « c’est comme si les enseignants avaient des assistants et cela peut aider à améliorer les méthodes d’enseignements. Certains évoquent une violation du droit des élèves à la vie privée mais l’outil enregistre simplement les actions des élèves au lieu de filmer les activités en classe. Et ceux qui se concentrent sur le cours auront la note A, tandis que ceux qui laissent leur pensée vadrouiller auront la note B ».
En 2016, Xiao-Yong Wei, un professeur en sciences informatiques à l’université Sichuan (Chine), a développé un outil de reconnaissance faciale sur ses élèves pour déterminer leur niveau d’intérêt pendant sa classe. Pour être plus précis, l’outil développé par le professeur avait pour objectif d’identifier des émotions qui suggèrent que ses élèves sont stimulés ou au contraire s’ils s’ennuient. "
"Parmi eux, la lutte biologique signe son grand retour, sous la dénomination de biocontrôle. Si les atouts et limites de ces produits sont souvent abordés, plus rares sont les questionnements sur les effets de leur récente promotion. Retour sur quelques impensés."
"Après avoir rappelé combien les technologies ont été perçues comme un des leviers de l’innovation pédagogique, il constate que, en Suisse comme ailleurs, la forme scolaire semble effectivement résister, « ralentir » l’intégration des technologies et leur potentiel d’innovation. Pour lui, cette forme ne changerait qu’à partir du moment où la pression extérieure, qui s’exerce d’ailleurs sur toute forme sociale, deviendrait suffisamment forte pour qu’il n’y ait plus d’autre choix, d’autre possibilité que de se transformer. La question initiale que nous posions dans ce débat se trouve dès lors déplacée : il s’agit dès lors de savoir quels événements, quels facteurs pourraient avoir assez de poids pour contraindre la forme scolaire à évoluer."
"Nous avons trouvé que l’entrainement par des quiz après la lecture des contenus permettaient une meilleure mémorisation qu’un entrainement avec des quiz avant de lire les contenus du cours. Ces deux méthodes d’apprentissage menaient à des performances supérieures par rapport une méthode d’apprentissage sans quiz, avec une simple relecture des contenus (l’article associé à cette expérience a été soumis dans une revue internationale)."
"Le ministère de la Transition écologique et solidaire et le ministère de la Culture organisent un concours de nouvelles sur le thème : « Repenser notre relation à la nature à l’heure de la sixième extinction ». Cet appel à écriture, invite les participants à partager leur vision d’une transition écologique et solidaire qui place la relation harmonieuse de l’homme et la nature au cœur des enjeux des années à venir. "
"A l’échelle des établissements, le bien-être est perçu au travers du climat scolaire. Loin de se contenter de cumuler des niveaux de bien-être individuels, celui-ci prend en compte les relations entre l’ensemble des protagonistes de l’école. Au lieu de partir des souffrances scolaires – souffrances bien réelles qui mettent à mal la relation pédagogique, l’idée est de renverser la question et de penser avant tout les conditions du mieux-être pour apprendre, enseigner et se former. C’est dans cette approche que compte se situer le nouveau laboratoire de l’Université de Cergy-Pontoise, en se focalisant sur les relations inter-individus et leurs interactions avec des multiples niveaux de l’écosystème, allant de l’environnement familial à l’environnement socio-éducatif, culturel, académique, professionnel."
Présentation en ligne
description des grands enjeux
"De grâce, que l’École ne fabrique pas de nouvelles formes d’illettrisme ! Il nous faut désormais considérer qu’il y a des compétences de publication qui sont aussi à transmettre. Cela ne peut se faire qu’en faisant : ce savoir-publier ne peut s’apprendre qu’en publiant, et ce à l’École. Cela veut dire y développer l’habileté technique à manier l’écriture via des espaces et des outils variés : site, blog, réseaux sociaux divers, outil multimédias… Cela veut dire aussi développer une appropriation des règles d’écriture en ligne, par exemple le respect des principes de savoir-vivre comme ceux de la Netiquette ou les questions de droits d’auteur. Cela veut dire encore manier correctement la langue, ce qui rejoint évidemment mon travail de professeur de français. Cela veut dire enfin développer une capacité de réflexion, de distance critique, par rapport à ce qui est publié et à ce que l’on publie, de travailler par exemple sur les questions de fiabilité des informations, d’identité numérique, de traces numériques, de construction numérique de soi."
"D’après lui, « le modèle Uber peut se transposer très rapidement » au secteur agricole, par exemple pour les travaux agricoles et les services de conseil. En effet, les « agriculteurs ont du temps et de la compétence : une plateforme pourrait leur permettre de proposer ce temps et ces compétences directement à d’autres agriculteurs, pour des travaux ou des actes techniques divers ; mais aussi sur des compétences de conseil et d’accompagnement », comme dans le domaine de l’agro-écologie et de nouvelles techniques agronomiques."
"L’enseignant doit-il prendre une casquette de psychologue et aborder avec ses étudiants une réflexion sur leur comportement ? Au risque de se faire accuser d’être intrusif, et de sortir des rails habituels et convenus de l’enseignement ?"
mauvaise en fait voir en quoi la stratégie de google autour de l'IA détériore l'utilisation des ces outils pour les prof. de l'information
"Nous pensons que les sols sont vivants, comme les paysages, comme la Terre seraient aussi vivants sans voir que seul le vivant de ces sols, de ces paysages, de la Terre est vivant et, surtout, sans saisir ce que ce « seul » veut dire. Le vivant est un, la nature est autre. Les amalgamer pour en faire une machine système Terre est un aveuglement. En réalité, le vivant est anti-nature, il est culture. Il faut le voir comme une civilisation pour pouvoir penser écologique. Il faut donc arrêter de vouloir « restaurer la nature » (cette formule est incompréhensible) mais faire que le vivant se développe"
"Bienvenue dans le déterminisme technologique : à l’instar de Marx qui faisait du développement des moyens de production (et de leurs rapports) le moteur de l’Histoire, les « disrupteurs » voient dans la technologie la locomotive qui tirerait la société tout entière vers un futur plus clément. En cela, la disruption répond à la théorie de la « destruction créatrice », émise par l’économiste Joseph Schumpeter (1883-1950). Celui-ci affirme que l’unique moteur de la croissance économique est l’innovation, cet « ouragan perpétuel » assurant le renouvellement vertueux du système capitaliste. Cet édifice idéologique disqualifie toute critique : après tout, ne dit-on pas du progrès qu’on « ne l’arrête pas » ? Suivant cette logique, la démocratie – notre capacité à décider collectivement de notre avenir – ne peut donc pas être le moteur de l’Histoire. Tout au plus est-elle appelée à corriger les « excès » et les « effets pervers » de l’innovation."