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enseignement_supérieur
"La plateforme NéopassSup propose des ressources pour accompagner la pédagogie dans l'enseignement supérieur, former des débutants ou travailler les questions de métier que se posent les plus expérimentés. Ces matériaux sont consultables en navigation autonome et/ou peuvent être le point de départ d'un travail collectif en formation institutionnelle."
"Après 5 mois de travail, l’équipe du projet « Former l’ingénieur du XXIe siècle : Intégrer les enjeux socio-écologiques dans les formations du Groupe INSA» (mené en partenariat avec le Groupe INSA) publie son rapport intermédiaire – la méthode, l’état des lieux, le référentiel de connaissances et de compétences –, et organise des ateliers collaboratifs afin de pouvoir en discuter avec toutes les parties prenantes intéressées. Ce projet vise à proposer une méthode pour mieux intégrer les enjeux écologiques dans les formations de l’ingénieur, grâce au cas d’étude du Groupe INSA."
Le point d’étape et les ateliers collaboratifs du rapport « Intégrer les enjeux socio-écologiques dans les formations de l’ingénieur » se tiendront le 9 février prochain, de 9h00 à 16h15. "
en BD
"Grosso modo, on peut dire que l’enseignement explicite se déroule en trois grands moments : la préparation (P), l’interaction avec les étudiants (I) et la consolidation (C), ces trois étapes étant représentées par l’acronyme PIC (Gauthier et al., 2013). Nous cherchons à préciser, au cours de ces trois phases, des stratégies dont pourrait bénéficier un enseignement magistral amélioré. Ces stratégies sont présentées en détail dans l’ouvrage de Gauthier et ses collaborateurs (2013)."
"Si l’on se penche sur les domaines en émergence ou plus classiques du champ, on peut les organiser en six grandes catégories, à propos desquelles les contributions attendues sont invitées à analyser l’état de la recherche."
"Nous avons le plaisir de vous inviter au webinaire de présentation du projet Climat Sup INSA, « Quel ingénieur pour un monde résilient ? » qui aura lieu le lundi 9 novembre prochain. "
"Nous, agronomes membres d’Ingénieurs Sans Frontières, pensons que ce manifeste est à appliquer dès aujourd’hui dans l’enseignement de l’agronomie. En complément, nous avons souhaité détailler certaines orientations spécifiques aux enjeux agricoles et alimentaires qui nous paraissent indispensables pour former des agronomes à même de faire face à ces enjeux."
"Dix orientations pour une recherche plus ouverte et accessible à l’ensemble de la société"
"L’édition 2020 de l’état de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l'Innovation (E.E.S.R.I.) vient de paraître. Point de repère annuel et chiffré du système français d'enseignement supérieur et de recherche, cet ouvrage présente, au moyen de graphiques, tableaux illustratifs et commentaires, les dernières données de synthèse disponibles sur l'ensemble de ces domaines. Cet outil témoigne de la volonté de transparence du ministère sur les données de l’action publique."
"Ce parcours passe par six portes ouvrant sur des problématisations successives de la transition.
La première est celle de notre maison commune l’OIKOS, dont il faut commencer par comprendre le fonctionnement et mesurer les limites afin de penser des manières de l’habiter en commun.
La deuxième porte est celle de l’ETHOS qui invite à examiner les enjeux éthiques et politiques de la transition, en discernant les responsabilités communes et différenciées des personnes et des institutions.
Le NOMOS constitue la troisième entrée conduisant à s’interroger sur les façons de mesurer, de réguler et de gouverner dans la transition.
La quatrième porte est celle du LOGOS, permettant d’analyser les différentes rationalités œuvrant à l’interprétation du changement global, et d’identifier les nouveaux métiers de la transition.
La PRAXIS conduit ensuite sur le terrain de l’action et de l’étude de la diversité des acteurs et des façons d’agir.
La sixième porte, enfin, est celle de la DYNAMIS, de la mise en mouvement par la diversité des pratiques de reconnexion à soi, aux autres et à la nature."
La première est celle de notre maison commune l’OIKOS, dont il faut commencer par comprendre le fonctionnement et mesurer les limites afin de penser des manières de l’habiter en commun.
La deuxième porte est celle de l’ETHOS qui invite à examiner les enjeux éthiques et politiques de la transition, en discernant les responsabilités communes et différenciées des personnes et des institutions.
Le NOMOS constitue la troisième entrée conduisant à s’interroger sur les façons de mesurer, de réguler et de gouverner dans la transition.
La quatrième porte est celle du LOGOS, permettant d’analyser les différentes rationalités œuvrant à l’interprétation du changement global, et d’identifier les nouveaux métiers de la transition.
La PRAXIS conduit ensuite sur le terrain de l’action et de l’étude de la diversité des acteurs et des façons d’agir.
La sixième porte, enfin, est celle de la DYNAMIS, de la mise en mouvement par la diversité des pratiques de reconnexion à soi, aux autres et à la nature."
voir : "Faire et dire l’évaluation. L’enseignement supérieur et la recherche conquis par la performance"
Cette exigence de « performance » est véhiculée par ce qu’il est convenu d’appeler le nouveau management public (New Public Management en anglais), défini de manière assez consensuelle comme « l’utilisation accrue de techniques managériales […] empruntées au secteur privé par le secteur public (santé, justice, éducation, culture…) » (p. 27-28). Ces techniques de mesure et de contrôle sont en phase avec les discours sur « l’excellence », « l’évaluation », la « reddition de compte », le « benchmarking » et autres buzz words qui se sont multipliés au sein des universités, sommées par leurs gouvernements de rendre des comptes en mettant en place des « tableaux de bord » dont les « lumières » vertes et rouges sont alimentées par une batterie d’indicateurs de « performance »
voir : La Grande Transition de l’humanité. De Sapiens à Deus
Le propos des auteurs est de donner du sens à cette Grande Transition qu’ils voient riche de promesses et d’innovation, mais aussi source de conflits et d’oppositions. Il s’agit d’expliquer, de donner des outils pour éclairer ce qui dépasse nos capacités cognitives. L’originalité du livre est de ne pas aborder les différentes « crises » (démographique, technologique, écologique, politique, numérique…) à l’œuvre, mais leur articulation dans un même mouvement historique de long terme. Le lecteur trouvera dans l’ouvrage une analyse de cette transition, des rappels d’auteurs précurseurs, des scénarios de réponse et enfin quelques ébauches de solutions.
voir : La propriété de la terre
Cette exigence de « performance » est véhiculée par ce qu’il est convenu d’appeler le nouveau management public (New Public Management en anglais), défini de manière assez consensuelle comme « l’utilisation accrue de techniques managériales […] empruntées au secteur privé par le secteur public (santé, justice, éducation, culture…) » (p. 27-28). Ces techniques de mesure et de contrôle sont en phase avec les discours sur « l’excellence », « l’évaluation », la « reddition de compte », le « benchmarking » et autres buzz words qui se sont multipliés au sein des universités, sommées par leurs gouvernements de rendre des comptes en mettant en place des « tableaux de bord » dont les « lumières » vertes et rouges sont alimentées par une batterie d’indicateurs de « performance »
voir : La Grande Transition de l’humanité. De Sapiens à Deus
Le propos des auteurs est de donner du sens à cette Grande Transition qu’ils voient riche de promesses et d’innovation, mais aussi source de conflits et d’oppositions. Il s’agit d’expliquer, de donner des outils pour éclairer ce qui dépasse nos capacités cognitives. L’originalité du livre est de ne pas aborder les différentes « crises » (démographique, technologique, écologique, politique, numérique…) à l’œuvre, mais leur articulation dans un même mouvement historique de long terme. Le lecteur trouvera dans l’ouvrage une analyse de cette transition, des rappels d’auteurs précurseurs, des scénarios de réponse et enfin quelques ébauches de solutions.
voir : La propriété de la terre
L'université de Montpellier est la première dans ce classement pour la France