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agroécologie
"Plus de 120 hectares pour une cinquantaine de parcelles expérimentales. Autant d'hypothèses de recherche pour trouver des voies de transition vers une agriculture sans phytosanitaires. C'est l'ambition des chercheurs de l'Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Inrae) qui expérimentent depuis 2018 de nouvelles méthodes de production agricole dans le domaine d'Époisses, situé à Bretenière dans la région de Dijon. Cette plateforme de recherche baptisée « CA-SYS », en référence au cassis, est l'acronyme anglais de « système agroécologique coconstruit »."
"Le projet est centré autour du thème de la transmission de connaissances en agroécologie. Le titre de ce projet, Bridging Generations in Agroecology, insiste sur la nécessité de maintenir ou, le cas échéant, de recréer le lien (de l’anglais bridge, qui signifie pont) entre les générations, qui s’est détérioré au profit de l’éducation par le système universitaire."
"Depuis 2020, des collectifs agricoles, des porteurs de projet et des structures impliquées dans leur accompagnement se réunissent pour partager leurs refexions sur les manières de faciliter l'installation et le fonctionnement de collectifs agricoles. Ce site vise à partager leurs ressources, et les votres!"
"comment qualifier l’agriculture promue par le Pôle InPact ? Dans son texte-manifeste de 2018, l’association notait qu’une « liste à la Prévert (agriculture paysanne, durable, bio, fermière, citoyenne, autonome et économe…) ne sera jamais exhaustive et donne une vision segmentée des réalités de terrain ; il nous semble utile de caractériser l’agriculture citoyenne et territoriale que représente le Pôle InPact en parlant de formes d’agriculture variées, chacune apportant sa sensibilité (proximité, préservation des ressources, maintien de territoires ruraux dynamiques, autonomie, à taille humaine…) ». Autant d’approches qui dialoguent au sein de l’association, malgré les différences de culture."
voir présentation du livre
"L’auteur commence par décrire les logiques d’action de différents acteurs. Les industriels sont soucieux de sécuriser leurs investissements de R&D en respectant les standards d’évaluation et les seuils. Les institutions publiques, chargées d’instruire les demandes d’homologation, paraissent débordées par les demandes, répondant aux urgences (cas des « usages orphelins »), manquant de moyens et contraintes selon F. Dedieu de « bricoler » des expertises. Les standards de qualité commerciale et les impasses agronomiques poussent les agriculteurs, dans certains cas, à réaliser des traitements en surdose ou non déclarés, avec des produits interdits ou en attente d’agrément. Enfin, les acteurs coalisés contre les pesticides (ONG, journalistes, etc.) dépendent de l’agenda médiatique et se focalisent sur les conflits d’intérêt entre régulateurs et industrie.
L’ouvrage éclaire ensuite les mécanismes de « production de l’ignorance », par lesquels des données préoccupantes, des savoirs « inconfortables » et dissonants, sont minorés ou mis de côté lors des procédures d’alerte et d’homologation. La période étudiée a été marquée, entre autres, par une nouvelle phase de normalisation des équipements de protection individuelle (après la découverte de défauts de perméation) et par le transfert à l’Anses de la compétence d’autorisation de mise sur le marché des produits phytosanitaires. Selon l’auteur, les changements introduits en réponse aux critiques restent limités. Enfin, le dernier chapitre esquisse des pistes pour « renforcer la surveillance » post-mise en marché « afin de corriger de manière plus systématique les points aveugles de l’évaluation a priori ». Plus indirectement, il suggère de réduire le nombre de nouveaux pesticides pour désengorger les procédures d’évaluation, via un soutien accru à l’agriculture biologique et une meilleure valorisation des productions utilisant moins de traitements, y compris dans la conception des dispositifs de transition (Écophyto)."
L’ouvrage éclaire ensuite les mécanismes de « production de l’ignorance », par lesquels des données préoccupantes, des savoirs « inconfortables » et dissonants, sont minorés ou mis de côté lors des procédures d’alerte et d’homologation. La période étudiée a été marquée, entre autres, par une nouvelle phase de normalisation des équipements de protection individuelle (après la découverte de défauts de perméation) et par le transfert à l’Anses de la compétence d’autorisation de mise sur le marché des produits phytosanitaires. Selon l’auteur, les changements introduits en réponse aux critiques restent limités. Enfin, le dernier chapitre esquisse des pistes pour « renforcer la surveillance » post-mise en marché « afin de corriger de manière plus systématique les points aveugles de l’évaluation a priori ». Plus indirectement, il suggère de réduire le nombre de nouveaux pesticides pour désengorger les procédures d’évaluation, via un soutien accru à l’agriculture biologique et une meilleure valorisation des productions utilisant moins de traitements, y compris dans la conception des dispositifs de transition (Écophyto)."
voir : " Vous avez dit "transition agroécologique ?" Chronique d’une crise annoncée. Par P. Ledenvic
"Dans le livre blanc intitulé Agriculture & Numérique publié à l’occasion du dernier salon de l’agriculture par des scientifiques de l’INRAE et d’Inria, le numérique est perçu
comme une opportunité à saisir pour contribuer à la transition vers l’agroécologieet des pratiques à la fois vertueuses et efficaces. Qu’en est-il réellement chez les paysans ? La parole est à Marine BENOISTE, coordinatrice du réseau Agroécologie au sein du réseau des CIVAM (centres d’initiatives pour valoriser l’agriculture et le milieu rural) qui fédère des groupes d’agriculteurs et de ruraux, travaillant de manière collective et sous forme associative à la transition agro-écologique."
comme une opportunité à saisir pour contribuer à la transition vers l’agroécologieet des pratiques à la fois vertueuses et efficaces. Qu’en est-il réellement chez les paysans ? La parole est à Marine BENOISTE, coordinatrice du réseau Agroécologie au sein du réseau des CIVAM (centres d’initiatives pour valoriser l’agriculture et le milieu rural) qui fédère des groupes d’agriculteurs et de ruraux, travaillant de manière collective et sous forme associative à la transition agro-écologique."
"Avec le jeu de simulation Roots of Tomorrow, vos élèves sont à la tête d’une exploitation qui souhaite s’inscrire dans une agriculture plus durable. INTERBEV est partenaire de ce jeu, développé par Gamabilis, sous le haut patronage du ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation, du ministère de la Transition Écologique, l’INRAE (Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement). Expérience immersive au sein du monde agricole, Roots of Tomorrow permet de mieux saisir les enjeux et défis auxquels les exploitants agricoles doivent faire face. Ce jeu de stratégie et de gestion sensibilise les élèves à la transition agro-ecologique."
"L’Institut Agro - Florac vous invite au webinaire de valorisation de projets lauréats de l'appel à projets CASDAR Transition Agro-Ecologique+ portés par des établissements d'enseignement agricole technique le jeudi 10 novembre de 13h30 à 17h15."
"Réalisé à partir des travaux des animateurs Réso’them et de leur expérience de terrain, ce mémento a pour objectif d’accompagner le processus de reconception dans l’enseignement agricole pour accompagner l’agroécologie et les transitions. Il fournit des repères, des outils et des références pour enseigner et pratiquer des stratégies de reconception. "
"Le temps est venu pour l’agroécologie de changer d’échelle : une production intégralement agroécologique, exempte de pesticides et d ’engrais de synthèse, est aujourd’hui envisageable à travers toute l’Europe. Au cœur de ce modèle porté par une nouvelle génération d’agriculteurs et d’agronomes : la disparition de l’élevage industriel qui rend possible l’autonomie fourragère et améliore la contribution de l’Europe aux équilibres alimentaires mondiaux. Loin d’être réservée à quelques fermes pionnières, l’agroécologie peut transformer en profondeur nos paysages pour le plus grand bénéfice du climat, de notre santé ainsi que celle de la faune et de la flore. Appuyant son propos sur une modélisation quantifiée, cet ouvrage explore également les modes d’organisation sociale et économique et les choix politiques qui peuvent rendre ce scénario plausible et désirable.
On a dix ans pour lancer l’Europe sur les rails de l’agroécologie afin qu’en 2050 l’hypothèse devienne réalité."
On a dix ans pour lancer l’Europe sur les rails de l’agroécologie afin qu’en 2050 l’hypothèse devienne réalité."
"L’objet “pesticides” en sciences humaines et sociales. Quels savoirs pour quelle transition écologique ? ». Les communications ont permis d’aborder la question plus spécifique des significations et des usages sociaux de la notion de « transition écologique » et des possibles retombées de ces savoirs sur la « transition"