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La démarche Syalinnov pour les projets alimentaires territoriaux
Le premier chapitre, « Apprendre », rappelle les grandes théories de l’apprentissage, du béhaviorisme au connexionnisme, et présente les sept pistes privilégiées par les auteurs : la recherche de sens, l’autoquestionnement, le statut de l’erreur, les métarègles, un autre rapport au temps, les fonctions exécutives, la métacognition et les feedbacks.
Une heure d'échange autour du concept de robustesse pour créer ensemble une documentation autour des questions fréquentes (FAQ)
En présence d'Olivier Hamant : Une heure de 12h30 à 13h30 chaque mois
Vous soumettez vos questions et ensemble nous rédigeons les réponses.
En présence d'Olivier Hamant : Une heure de 12h30 à 13h30 chaque mois
Vous soumettez vos questions et ensemble nous rédigeons les réponses.
Partant, pour penser cette transformation en considérant l’alimentation dans
toutes ses dimensions, cet ouvrage tisse « une écologie de l’alimentation », qui per-
met de mieux répondre aux enjeux de durabilité des systèmes alimentaires. L’analogie
que nous faisons entre alimentation et écologie s’ancre dans le double registre de
cette dernière : une science des relations (entre les différents éléments de la bio-
sphère) et un engagement politique (l’écologie politique). L’alimentation considérée
comme un vecteur de relations et comme un vecteur d’engagements dans la société
constitue donc le propos de notre ouvrage
toutes ses dimensions, cet ouvrage tisse « une écologie de l’alimentation », qui per-
met de mieux répondre aux enjeux de durabilité des systèmes alimentaires. L’analogie
que nous faisons entre alimentation et écologie s’ancre dans le double registre de
cette dernière : une science des relations (entre les différents éléments de la bio-
sphère) et un engagement politique (l’écologie politique). L’alimentation considérée
comme un vecteur de relations et comme un vecteur d’engagements dans la société
constitue donc le propos de notre ouvrage
Contrairement à l’idée selon laquelle le chercheur peut « aller sur le terrain » ou « faire du terrain » en laissant croire que ledit terrain existe en tant que tel, les recherches en formation des adultes qui relèvent d’une approche par l’analyse de l’activité placent le chercheur en situation de faire l’expérience de la « rencontre avec » le terrain. S’immerger dans une situation ou se fondre parmi les acteurs sont en effet insuffisants. Le chercheur doit créer les conditions favorables à la coproduction de matériaux qui fondent la démarche de recherche, et parfois d’intervention. Les processus qui participent à « l’expérience du terrain » sont souvent peu explicités, trop rapidement argumentés, sous-exploités au regard de leur richesse ou des potentialités heuristiques qu’ils comportent. Ce dossier d’Éducation permanente contribue à explorer les dynamiques qui sous-tendent, autorisent et accompagnent la rencontre du chercheur avec son « terrain » d’étude.
Le nouveau numéro des Cahiers pédagogiques traite des racismes et de l’école. « La thématique est certes présente dans les programmes scolaires, mais l’analyse reste insuffisante et peu ajustée aux évolutions des savoirs issus de la recherche en sciences humaines et sociales, quand elle n’est pas tout simplement absente dans la plupart des apprentissages sur la question »
À l’ère de l’Anthropocène, nos sociétés ont à affronter des défis jamais égalés et qui engagent le devenir de l’humanité.
Et face aux enjeux démocratiques et écologiques du 21e siècle, beaucoup s’accordent sur le fait que nous devons réinventer nos modèles ; mais comment et pour emprunter quel autre chemin ?
Parmi les voix qui se font entendre, certaines prônent une métamorphose de la société via une économie de la coopération, avec plus de collectif, de confiance, de solidarité, d’entraide dans une société coopérative plus juste et durable.
Et face aux enjeux démocratiques et écologiques du 21e siècle, beaucoup s’accordent sur le fait que nous devons réinventer nos modèles ; mais comment et pour emprunter quel autre chemin ?
Parmi les voix qui se font entendre, certaines prônent une métamorphose de la société via une économie de la coopération, avec plus de collectif, de confiance, de solidarité, d’entraide dans une société coopérative plus juste et durable.
Accompanying researchers on the complex, messy, and uncertain journey of transformative change
The Pathways Initiative’s mission is to enhance researchers’ capacity to engage in transformative research and actively contribute to supporting societal actors in co-developing pathways for more sustainable futures at different scales.
The Pathways Initiative’s mission is to enhance researchers’ capacity to engage in transformative research and actively contribute to supporting societal actors in co-developing pathways for more sustainable futures at different scales.
Les universités sont souvent accusées de négliger leur mission d’enseignement au profit de la course à l’excellence dans la recherche et, par conséquent, de mépriser la pédagogie. Mais l’université est-elle vraiment aussi centrée sur la recherche qu’on le prétend ? Est-elle si réfractaire au changement et à l’innovation pédagogique ? Cet ouvrage questionne ces présupposés et annonce un renouveau de la pratique enseignante à l’université. Les grands changements qui affectent autant les cursus universitaires que les manières d’enseigner sont analysés à partir des questions suivantes. Quels sont les facteurs externes qui poussent au changement ? Quelles sont les nouvelles directions pédagogiques préconisées ? Comment soutenir, voire encourager l’innovation et le changement ? Comment la recherche en éducation alimente-t-elle les nouvelles approches pédagogiques ?
Le Réseau Action Climat, en partenariat avec l'ADEME, publie un rapport présentant un panorama des impacts du changement climatique dans toutes les régions de France. Forêts, plages, montagnes, plaines... tous les paysages sont déjà affectés avec des répercussions pour tous et dans tous les secteurs.
Selon la forme et la densité qu'ils prennent les liens que les humains nouent avec les animaux, les plantes et, plus généralement les non-humains, déterminent largement les modes d'organisation sociale et politique.
En partenariat avec le CCCA-BTP et l'UNMFR, Éducation permanente
organise un colloque sous forme de quatre conférences-débats autour de l'alternance
en direct sur youtube.
organise un colloque sous forme de quatre conférences-débats autour de l'alternance
en direct sur youtube.
La BD "Les réseaux sociaux et nos ados" est un dialogue entre un "boomer" et sa petite sœur adolescente qui explorent les avantages et les dangers des réseaux sociaux. Basé sur des témoignages et des recherches, la BD propose des solutions pour aider les jeunes à vivre mieux avec les réseaux.
L’entretien d’explicitation pour favoriser la réflexivité des apprenants - Le Cnam - Living Lab Sofa
Living Lab Sofa : quelle est la plus-value de cette forme d’entretien ?
Isabelle : en tirant le fil, les étudiants en sont venus à se dire que la méthode utilisée pouvait aussi leur être utile dans le cadre de leur activité, qu’il pouvait y avoir un transfert dans la pratique professionnelle. En tant que futurs managers, ils seront amenés à travailler avec leurs équipes et à rencontrer des situations problématiques. Cette forme d’entretien peut faciliter leur expression. Les étudiants s’exprimant peu d’habitude se sont sentis plus à l’aise pour exprimer leur vécu. Et pour ma part, j’étais dans un rôle d’accompagnement très gratifiant, j’adore !
Isabelle : en tirant le fil, les étudiants en sont venus à se dire que la méthode utilisée pouvait aussi leur être utile dans le cadre de leur activité, qu’il pouvait y avoir un transfert dans la pratique professionnelle. En tant que futurs managers, ils seront amenés à travailler avec leurs équipes et à rencontrer des situations problématiques. Cette forme d’entretien peut faciliter leur expression. Les étudiants s’exprimant peu d’habitude se sont sentis plus à l’aise pour exprimer leur vécu. Et pour ma part, j’étais dans un rôle d’accompagnement très gratifiant, j’adore !
Au pays des Lumières, on a longtemps cru en l’éducation. Celle-ci passait par l’École, mais aussi par l’Éducation populaire et les loisirs, par la prévention dès la toute petite enfance, comme par le développement du débat citoyen et de la « formation tout au long de la vie ». Cette vision politique se nourrissait de la conviction que tous les humains étaient éducables et que l’on ne pouvait jamais désespérer de quiconque… Or tout cela ne semble plus à l’ordre du jour : un peu partout, on préfère la sélection, quand ce n’est pas la répression et l’exclusion. Cela relève d’une vision fondamentalement pessimiste et fataliste des humains et de la société. Ce n’est pas le « grand remplacement » mais le grand renoncement. Il est temps de redresser la barre et de faire de l’éducation une priorité absolue pour préparer notre avenir !
Vous dressez un état des lieux de la place de l’écologie dans l’Ecole, qui ne doit pas être un « à côté » des savoirs disciplinaires enseignés. Alors quelle place pour l’écologie ?
Surtout, l’Ecole doit être à la hauteur des urgences actuelles. Former des éco-citoyens, conscients de leurs responsabilités dans une transformation indispensable pour que la Terre reste « humaine », cela ne fait-il pas partie des « fondamentaux » ? Car, au fond, que voudrait dire lire-écrire ou faire des mathématiques dans un monde où les températures dépasseraient le vivable et où les catastrophes naturelles se multiplieraient. Je ne crois pas, malheureusement, que les préoccupations écologiques soient actuellement autre chose qu’une des multiples « priorités » (le mot n’a plus beaucoup de sens), dans le style : « oui, c’est vrai, il ne faut pas oublier l’écologie… ». Pour certains, ce n’est pas vraiment dans les missions de l’école que de former à cette éco-citoyenneté, mais pour moi, c’est irresponsable de le penser. Bien sûr, l’Ecole doit apporter sa contribution en toute modestie, mais celle-ci peut être décisive pour les générations futures. J’ai voulu dans cette perspective solliciter pratiquement toutes les disciplines scolaires et il y a des contributions passionnantes de l’EPS, des Lettres, de la Physique. Ce ne doit en tout cas pas être la seule affaire des SVT, même si leur rôle est capital sur le sujet.
Surtout, l’Ecole doit être à la hauteur des urgences actuelles. Former des éco-citoyens, conscients de leurs responsabilités dans une transformation indispensable pour que la Terre reste « humaine », cela ne fait-il pas partie des « fondamentaux » ? Car, au fond, que voudrait dire lire-écrire ou faire des mathématiques dans un monde où les températures dépasseraient le vivable et où les catastrophes naturelles se multiplieraient. Je ne crois pas, malheureusement, que les préoccupations écologiques soient actuellement autre chose qu’une des multiples « priorités » (le mot n’a plus beaucoup de sens), dans le style : « oui, c’est vrai, il ne faut pas oublier l’écologie… ». Pour certains, ce n’est pas vraiment dans les missions de l’école que de former à cette éco-citoyenneté, mais pour moi, c’est irresponsable de le penser. Bien sûr, l’Ecole doit apporter sa contribution en toute modestie, mais celle-ci peut être décisive pour les générations futures. J’ai voulu dans cette perspective solliciter pratiquement toutes les disciplines scolaires et il y a des contributions passionnantes de l’EPS, des Lettres, de la Physique. Ce ne doit en tout cas pas être la seule affaire des SVT, même si leur rôle est capital sur le sujet.