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"l’objectif de ce numéro est d’apporter un éclairage renouvelé sur la diversité des agricultures familiales, la singularité de leurs trajectoires à différentes échelles spatiales et temporelles, ainsi que leur multifonctionnalité. En revisitant son rôle économique, social, politique et environnemental, ce dossier de la Revue Tiers Monde se propose ainsi d’interroger la modernité de cette forme d’agriculture aujourd'hui réhabilitée et les controverses qu'elle suscite."

"La pratique du troc est aussi vieille que le monde. Ce mode d’échange que la monnaie a limité était déjà pratiqué par les Egyptiens du temps des pharaons. Si elle a en occident majoritairement disparu, cette ‘économie sans monnaie’ pour reprendre notre titre de ce matin, retrouve avec la crise et l’émergence d’internet et des réseaux numériques une deuxième vie. "

"Ce deuxième tome montre que l'organisation du travail a des incidences qui vont bien au-delà du seul monde du travail. Au travail, on peut en effet apprendre le respect de l'autre, la prévenance, la solidarité, la délibération, les principes de la démocratie. On peut aussi y apprendre l'instrumentalisation de l'autre, la duplicité, la déloyauté, le chacun-pour-soi, la lâcheté, le mutisme. De sorte que l'organisation du travail s'offre toujours comme un lieu d'apprentissage de l'implication ou de la désertion des espaces politiques..."

La thèse que je mène dans le cadre du projet FRUCTIS-ARC s’intéresse à l’évolution des rapports que différents acteurs contemporains pratiquant une agriculture qualifiée de "durable" ou "alternative" entretiennent avec les sols agricoles, et plus précisément avec la dimension « biologique », vivante de ces sols, parfois appelée leur "fertilité". Elle cherche ainsi à comprendre les modalités particulières selon lesquelles les chercheurs et experts (scientifiques), mais aussi les praticiens - qu’ils soient agriculteurs, conseillers publics ou indépendants, ou industriels -, les techniques et les savoirs, se lient au sol et à ses différentes « composantes », en particulier à son pan « vivant ».

Cet article présente, à travers une expérience locale, l’apprentissage d’une gouvernance contributive, à même de favoriser l’implication, le développement local, l’innovation sociale et le partage. Il se veut une ouverture à une discussion plus large, celle du sens à donner, de cette république à l’heure du numérique qui transforme profondément la société. Comment inventer sous l’angle du territoire local, là ou nous habitons et travaillons, un mode de gouvernance contributive qui implique, relie avec un souci du partage et d’une planète aux ressources limitées.

Site ressource (pdf en ligne, lieux alternatifs) sur les alternatives en agriculture, alimentation, politique...

"Selon une étude sur les attitudes, motivations et comportements des consommateurs en ce qui a trait à la consommation durable, réalisée par BBMG, GlobeScan et SustainAbility auprès de 6224 personnes réparties dans six marchés (Brésil, Chine, Allemagne, Inde, Royaume-Uni et États-Unis), il existe quatre segments de consommateurs durables (voir le graphique 1)"

Réseau Intelligence de la Complexité
                    N°67 septembre-octobre 2013

"Ministère de l'Agriculture, de l'Agroalimentaire et de la Forêt, Centre d'Etudes et de Prospectives, Analyse n° 64, 4 pages, Octobre 2013"

"S’appuyant sur les acquis de la médiation et sur leur pratique, les auteurs expliquent comment concevoir un dispositif de dialogue territorial, comment dérouler les différentes étapes et animer les réunions. Destiné aux praticiens, ce guide coédité par la Fondation de France propose des réponses à leurs questions et des pistes pertinentes pour faire progresser le dialogue sur leur territoire, dans un esprit d’écoute mutuelle et de partage.

"L'objectif de cette  journée sera d'étudier les deux espaces que sont l'école et le musée  en fonction des modes de transmission des savoirs qui s'y déploient  et des conceptualisations mêmes de ces savoirs."