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La pensée de Nicolas Roesch met en évidence l’interdépendance entre l’habitabilité humaine et la biodiversité, en soulignant la déconnexion croissante des individus vis-à-vis du vivant. Cette rupture, héritée de la modernité et de la culture humanocentrée, limite la capacité des humains à comprendre leur place dans un écosystème partagé. Ce changement de perspective basée sur l’empathie permettrait de réinventer nos modes d’habiter la Terre, en intégrant pleinement la biodiversité comme condition essentielle de la vie humaine et de la pérennité des écosystèmes.