15090 shaares
1423 liens privés
1423 liens privés
"Les plateformes numériques sont aujourd’hui perçues comme des médias axés sur l’industrialisation des émotions traquant les émotions par la mise en forme des communications, l’accent mis sur le visuel, les photos, les selfies, les emoji, et la récupération des données relatives à toutes ces interactions. Sur les réseaux socionumériques, l’identité numérique est construite par le réseau en fonction de paramètres dont la plupart ne dépendent pas des internautes eux-mêmes, mais de leurs amis, et des calculs des algorithmes.
Comment les adolescents vivent-ils la représentation de leurs vies amicales et amoureuses face aux incitations de ces dispositifs ?
Comment réussissent-ils à préserver leur vie privée ?
Sur des espaces publics dont la faiblesse de la régulation ne cesse d’être dénoncée, quelles sont les règles de comportement qui leur apparaissent nécessaires de respecter ?
Si tout un chacun a compris, après plusieurs années de médiatisation des « fake news » que les plateformes à travers leurs algorithmes valorisent les messages les plus susceptibles de générer du clic, du fait de leur potentiel émotionnel, quelles règles de prudence les adolescents cherchent-ils à s’imposer pour échapper aux violences numériques ?
Laurence Corroy et Sophie Jehel répondent à ces questions, en appui d'une étude quantitative et qualitative menée auprès des jeunes bénéficiaires du dispositif Éducation Aux Écrans, initié par la Région Normandie et mise en œuvre par les Ceméa et leurs partenaires, Rectorat, Draaf et Canopé/Clémi"
Comment les adolescents vivent-ils la représentation de leurs vies amicales et amoureuses face aux incitations de ces dispositifs ?
Comment réussissent-ils à préserver leur vie privée ?
Sur des espaces publics dont la faiblesse de la régulation ne cesse d’être dénoncée, quelles sont les règles de comportement qui leur apparaissent nécessaires de respecter ?
Si tout un chacun a compris, après plusieurs années de médiatisation des « fake news » que les plateformes à travers leurs algorithmes valorisent les messages les plus susceptibles de générer du clic, du fait de leur potentiel émotionnel, quelles règles de prudence les adolescents cherchent-ils à s’imposer pour échapper aux violences numériques ?
Laurence Corroy et Sophie Jehel répondent à ces questions, en appui d'une étude quantitative et qualitative menée auprès des jeunes bénéficiaires du dispositif Éducation Aux Écrans, initié par la Région Normandie et mise en œuvre par les Ceméa et leurs partenaires, Rectorat, Draaf et Canopé/Clémi"