Quotidien Shaarli
April 7, 2025
Dès l’introduction, et en fait dès le titre, la position est très claire : ici on n’y parle pas d’esprit ou de pensée critique mais d’approches critiques. Dans le paragraphe « esprit, pensée ou approche critique » ce choix est motivé par 3 arguments principaux que nous retranscrivons ici :
Diagramme esquissant un ensemble d'approches complémentaires qui pourraient être employées pour améliorer la qualité de la circulation de l'information : education à l'esprit critique, sciences citoyennes, sciences ouvertes, medias independants, democratie, souverainete numerique...Diagramme esquissant un ensemble d’approches complémentaires qui pourraient être employées pour améliorer la qualité de la circulation de l’information
Éviter une essentialisation du terme esprit critique qui laisse entendre qu’on peut l’avoir ou ne pas l’avoir. Comme un interrupteur qui peut être allumé ou pas.
L’esprit critique réfère à un phénomène individuel et interne, invisible et difficilement accessible. Une approche critique, au contraire, est quelque chose qu’un groupe peut prétendre mobiliser, déplaçant le regard habituellement centré sur l’individu.
De plus, les approches critiques semblent former un bon arrangement entre le « quoi faire » et le « quoi croire » [en référence à la definition de l’esprit critique de Ennis 1991].
Diagramme esquissant un ensemble d'approches complémentaires qui pourraient être employées pour améliorer la qualité de la circulation de l'information : education à l'esprit critique, sciences citoyennes, sciences ouvertes, medias independants, democratie, souverainete numerique...Diagramme esquissant un ensemble d’approches complémentaires qui pourraient être employées pour améliorer la qualité de la circulation de l’information
Éviter une essentialisation du terme esprit critique qui laisse entendre qu’on peut l’avoir ou ne pas l’avoir. Comme un interrupteur qui peut être allumé ou pas.
L’esprit critique réfère à un phénomène individuel et interne, invisible et difficilement accessible. Une approche critique, au contraire, est quelque chose qu’un groupe peut prétendre mobiliser, déplaçant le regard habituellement centré sur l’individu.
De plus, les approches critiques semblent former un bon arrangement entre le « quoi faire » et le « quoi croire » [en référence à la definition de l’esprit critique de Ennis 1991].
Face à la crise climatique, la collaboration nous paraît plus que jamais essentielle pour agir ensemble efficacement. Mais est-ce possible de collaborer lorsque les enjeux sont aussi multiples et polarisants ? En quoi la collaboration permet-elle d’être vraiment plus efficaces ? Et quel est le rôle de la collaboration face à l’épuisement des personnes qui s’impliquent dans la transition socioécologique ?