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transition
Le Manuel d’un monde en transition(s) est un ouvrage collectif. Il est le fruit du travail de recherche mené par un groupe d’experts actifs sur les questions de transition. Durant douze mois, ils ont inventorié ce qu’ils pensaient être des obstacles au changement, débattu quant à leur implication réelle dans les phénomènes d’inertie sociétale, et imaginé un panel d’outils pratiques susceptibles d’amorcer des changements de comportement.
Dans le cadre de l’événement EcoN’UM, l’Université de Montpellier vous propose des infographies sur l’impact environnemental du numérique et sur les bonnes pratiques à adopter pour réduire cet impact.
Un outil collaboratif de gestion de connaissances et d’échanges, dédié à la transition agroécologique.
Supprimer les pièces-jointes de mes mails, est-ce vraiment utile ? Comment maximiser la durée de vie de mon téléphone ? Regarder ma série en HD, ça n’a pas d’impact sur l’environnement ? Ces questions vous trottent dans la tête ? Alors vous êtes au bon endroit !
Cet AVIS présente notamment les dernières évaluations de l’empreinte carbone du numérique en France : 29,5 Mt CO2 eq, et une consommation d’électricité à 51,5 TWh, soit 4,4% de l’empreinte carbone de la France, et 11% de la consommation électrique nationale. Ces chiffres, qui prennent maintenant en compte les impacts de l’utilisation des datacenters situés à l’étranger, conduisent à un doublement de l’impact de l’usage du numérique et à une responsabilité plus importante des datacenters (alors qu’on pensait jusqu’à présent que les
impacts étaient très majoritairement liés à la fabrication des terminaux).
Si le numérique était, il y a encore quelques années, perçu, comme intrinsèquement vertueux d’un point de vue environnemental car synonyme de dématérialisation, la prise de conscience de la matérialité sous-jacente du numérique et de ses impacts sur l’environnement reste récente. C’est dans ce contexte que l’ADEME, le CNRS et l’INRIA lancent également ce jour la campagne de communication « Alt IMPACT », visant à sensibiliser le plus grand nombre aux impacts du numérique et à renseigner sur les écogestes à adopter en la matière.
impacts étaient très majoritairement liés à la fabrication des terminaux).
Si le numérique était, il y a encore quelques années, perçu, comme intrinsèquement vertueux d’un point de vue environnemental car synonyme de dématérialisation, la prise de conscience de la matérialité sous-jacente du numérique et de ses impacts sur l’environnement reste récente. C’est dans ce contexte que l’ADEME, le CNRS et l’INRIA lancent également ce jour la campagne de communication « Alt IMPACT », visant à sensibiliser le plus grand nombre aux impacts du numérique et à renseigner sur les écogestes à adopter en la matière.
L’ADEME, négaWatt et The Shift Project
décryptent les scénarios climat-énergie
Cherchez dans nos 150 décryptages thématiques
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Cet article veut montrer comment le soutien à la réduction des pesticides dans les lycées agricoles via un projet d’accompagnement – Ecophyto’TER – a permis d’atteindre des réductions d’usages des pesticides significatives mais aussi d’engager des démarches de changement dans les territoires et à l’échelle des systèmes agri-alimentaires. À partir des résultats de ce projet et en les mettant en perspective avec d’autres initiatives, nous montrerons comment les lycées agricoles peuvent se constituer comme un acteur de l’intermédiation, capable de favoriser la reconnexion entre une diversité d’acteurs du système sociotechnique agri-alimentaire et ainsi de contribuer à accompagner les transitions agroécologiques.
Jean- Baptiste Fressoz nous livre une nouvelle perception de l’histoire de l’énergie, de ses faux-départs et de ses insuffisances. Énergies et matières premières tissent des relations portées par des synergies. Ce couple entretient des tuilages, organise des ententes et cartels. Il fonctionne plutôt en empilant et sans éliminer. L’auteur voit dans la transition un discours avant tout idéologique, à la fois brandi par les gouvernements, les grandes entreprises et les lobbys. Tous s’affichent et postulent en faveur d’une décarbonation qui, in fine, n’avance pas assez. Ainsi, en 2020, les trois quarts de l’acier mondial continuent à être produits avec du charbon. Ce mouvement étrangement consensuel, voire affecté de cécité, invite à justifier les procrastinations (p. 333) pour arbitrer les trajectoires d’une planète qui avance à plusieurs vitesses peu solidaires entre elles. Cette histoire énergétique remue beaucoup de préjugés. Ce livre qui sort des chemins classiques nous interroge sur notre avenir commun et l’urgence d’atterrir. L’auteur nous propose un livre riche, nourri, décapant.
TETRAA accompagne neuf territoires en France pour renforcer la durabilité sociale, environnementale et économique de leurs systèmes agricoles et alimentaires
Limites Numériques est un projet de recherche entre design et informatique sur l’empreinte environnementale du numérique.
Nous nous intéressons aux choix de conception, aux usages et aux fonctions d’un numérique s’inscrivant dans les limites planétaires.
Quels impacts environnementaux du numérique et comment les réduire ? À quoi ressemblent les formes, usages et techniques numériques dans un monde écologiquement contraint ? Quels effets sur nos métiers, nos vies, le collectif ?
Nous nous intéressons aux choix de conception, aux usages et aux fonctions d’un numérique s’inscrivant dans les limites planétaires.
Quels impacts environnementaux du numérique et comment les réduire ? À quoi ressemblent les formes, usages et techniques numériques dans un monde écologiquement contraint ? Quels effets sur nos métiers, nos vies, le collectif ?
Qu’est-ce que former à la durabilité et à la transition ? De quoi parle-ton ? Quelles sont les connaissances, les compétences et les attitudes que les étudiant·es devraient avoir développées au sortir de leur cursus pour penser et construire un monde durable ?
Comment le théâtre peut-il répondre politiquement à la crise climatique ? Cet ouvrage présente diverses réponses et réfléchit sur des impacts possibles du théâtre.
L’ouvrage réfléchit sur diverses réponses théâtrales : engagements pratiques, fondés sur la responsabilité sociétale des établissements et des compagnies ; nouveaux langages et stratégies esthétiques pour promouvoir une imagination politique et interpeler les spectateurs citoyens ; réflexions sur les effets potentiels des théâtralités développées jusqu’au début des années 2020. Les théâtres contemporains cherchent à bouleverser l’appréhension de la réalité et de l’action, à promouvoir l’écologisation de la culture, ce qui remet aussi en jeu l’acception de l’art théâtral lui-même.
L’ouvrage réfléchit sur diverses réponses théâtrales : engagements pratiques, fondés sur la responsabilité sociétale des établissements et des compagnies ; nouveaux langages et stratégies esthétiques pour promouvoir une imagination politique et interpeler les spectateurs citoyens ; réflexions sur les effets potentiels des théâtralités développées jusqu’au début des années 2020. Les théâtres contemporains cherchent à bouleverser l’appréhension de la réalité et de l’action, à promouvoir l’écologisation de la culture, ce qui remet aussi en jeu l’acception de l’art théâtral lui-même.
Ce référentiel de compétences en sobriété numérique porte sur les enjeux environnementaux et systémiques des activités liées au numérique. Il a été conçu par les membres du programme Alt Impact cités ci-dessus, dans le cadre d’un groupe de travail de janvier à septembre 2024. L’une des missions du programme Alt Impact est de déployer et de massifier la formation à la sobriété numérique dans les organisations, et c’est dans ce contexte que les membres de l’équipe de l’ADEME, du CNRS et de l’INRIA ont choisi de réfléchir aux compétences attendues lorsqu’on parle de sobriété numérique dans les activités professionnelles. Le référentiel présenté ici a pour vocation de proposer une liste des compétences indispensables pour tous dans le milieu professionnel et de donner des pistes pour les organismes de formations souhaitant concevoir des dispositifs et des parcours de formations complets permettant à chacun de s’emparer du sujet de la sobriété numérique. Nous parlons ici de sobriété numérique mais d’autres termes peuvent faire référence, en partie, à cette thématique, même s’il ne sont pas explicitement cités dans ce référentiel : Green IT, Numérique responsable, RNE, et RSE.
La formation agricole française a des atouts certains, notamment dans son approche
territorialisée qui lui permet de prendre en compte les spécificités locales, ou encore grâce aux exploitations agricoles affiliées aux établissements, qui permettent une mise en pratique des enseignements très précieuse. Cependant, elle peine à prendre en compte les enjeux écologiques de manière systématique.
La nécessité de former à des pratiques plus durables a été bien identifiée par les pouvoirs publics, qui ont entrepris de poser un cadre d’enseignement adapté à l’enseignement agricole. Cependant, le secteur de la formation est un écosystème massif et complexe, dont la mise en branle nécessite des moyens importants, qui semblent avoir manqué jusqu’à présent pour atteindre les objectifs.
territorialisée qui lui permet de prendre en compte les spécificités locales, ou encore grâce aux exploitations agricoles affiliées aux établissements, qui permettent une mise en pratique des enseignements très précieuse. Cependant, elle peine à prendre en compte les enjeux écologiques de manière systématique.
La nécessité de former à des pratiques plus durables a été bien identifiée par les pouvoirs publics, qui ont entrepris de poser un cadre d’enseignement adapté à l’enseignement agricole. Cependant, le secteur de la formation est un écosystème massif et complexe, dont la mise en branle nécessite des moyens importants, qui semblent avoir manqué jusqu’à présent pour atteindre les objectifs.
Les conclusions de ce rapport ont été plutôt favorablement accueillies par le monde agricole, c’est suffisamment rare pour être souligné, au cours d’un grand oral, FNSEA et Confédération paysanne en tête… Même si l’absence du volet économique et des questions de rentabilité affaiblit l’exercice, comme le souligne la presse qui salue toutefois l’approche pragmatique des travaux. Pour devenir incollable sur le sujet, on peut aussi se reporter aux travaux précurseurs de Solago (Afterres) qui parvient peu ou prou aux mêmes conclusions au moins sur l’étroitesse de la voie selon Christian Couturier. Mais avec une divergence sur les moyens, Solagro mise majoritairement sur le bio, Shift Project sur l’agriculture de conservation, explique-t-il.