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Ce guide met à disposition des activités ludiques pour sensibiliser vos élèves à une pratique plus responsable de l’information.
Bien sûr, il est mentionné que « la formation ne comporte pas d’expérience en milieu professionnel obligatoire dans sa maquette » et que « l’internationalisation n’est pas une de ses priorités majeures ». Mais comme il n’a jamais été question, lors de l’accréditation précédente, d’imposer de professionnalisation obligatoire à nos diplômes, que notre taux d’insertion est excellent, et qu’il y a des raisons objectives qui amènent des étudiant·es en création littéraire en langue française à préférer rester en France, le reste n’est que concert de louanges. Et pourtant la conclusion dans son intégralité dit : « Avis en vue de l’accréditation – Défavorable – Une absence d’expérience en milieu professionnel obligatoire. »
Nous observons donc que les étudiants ne savent plus, en entrant à l'université, jouer le jeu de la lecture et de l'écriture, et qu'il le font faire, au moins en partie, par une IAG. D'autre part, nous nous questionnons sur l'intérêt même de défendre ce type de compétence quand on observe en aval que les ingénieurs mobilisent également massivement ces outils pour faire de la veille, produire des rapports ou des présentations. Eux non plus ne veulent plus ni lire ni écrire.
L’Édurevue[1] n° 150, intitulé « L’EPS, de ses buts à ses terrains », vise donc à éclairer la façon dont les différentes visées prescrites à cet enseignement se déploient, non sans tensions, en fonction des contextes professionnels.
Cette synthèse revient tout d’abord sur les liens entre EPS et pratiques sportives culturellement ancrées dans le milieu fédéral : si la sportivisation de l’éducation physique a marqué une étape importante de son histoire, les écarts entre les apprentissages visés dans ces sphères mènent à des confrontations de logiques en situation de travail partenarial, tout comme à ouvrir un horizon professionnel à de plus de plus de jeunes. L’Édurevue aborde ensuite le retour des préoccupations sanitaires liées à cet enseignement et ses déclinaisons contemporaines dans le cadre scolaire : l’EPS y est située au regard des interventions promues dans le cadre d’une politique publique de santé plus large, qui inscrit désormais les apprentissages à effectuer par les élèves dans un projet de mode de vie actif tout au long de la vie. Le positionnement singulier de la discipline EPS au sein du système scolaire est en partie le fruit de ces logiques sanitaires et sportives, et de dynamiques internes aux métiers de l’enseignement : les composantes motrices, méthodologiques et sociales des apprentissages qui caractérisent l’EPS agencent de manière spécifique attentes, ressources et culture professionnelles, en particulier dans le second degré.
Cette synthèse revient tout d’abord sur les liens entre EPS et pratiques sportives culturellement ancrées dans le milieu fédéral : si la sportivisation de l’éducation physique a marqué une étape importante de son histoire, les écarts entre les apprentissages visés dans ces sphères mènent à des confrontations de logiques en situation de travail partenarial, tout comme à ouvrir un horizon professionnel à de plus de plus de jeunes. L’Édurevue aborde ensuite le retour des préoccupations sanitaires liées à cet enseignement et ses déclinaisons contemporaines dans le cadre scolaire : l’EPS y est située au regard des interventions promues dans le cadre d’une politique publique de santé plus large, qui inscrit désormais les apprentissages à effectuer par les élèves dans un projet de mode de vie actif tout au long de la vie. Le positionnement singulier de la discipline EPS au sein du système scolaire est en partie le fruit de ces logiques sanitaires et sportives, et de dynamiques internes aux métiers de l’enseignement : les composantes motrices, méthodologiques et sociales des apprentissages qui caractérisent l’EPS agencent de manière spécifique attentes, ressources et culture professionnelles, en particulier dans le second degré.
Y-a-t-il vraiment plus de violence dans les cours d’école ? A l’occasion de la sortie du livre Zéro pointé ? Une histoire politique de la violence scolaire, Eric Debarbieux revient sur les idées reçues, et souvent fausses, relatives à la violence en milieu scolaire
Débattre, c’est faire le point pour avancer. Le débat ne permet pas la décision, mais il permet à chaque débatteur de découvrir que sa pensée doit être travaillée parce qu’elle est limitée à un point de vue » affirme Jacques Marpeau
Le débat public sur l’École ne peut être que passionné puisqu’il en va de l’avenir de nos enfants et de nous-mêmes. Les ministres changent, le malaise des professeurs empire, le mal-être des élèves grandit. Experts et leaders politiques recherchent les causes des défaillances du système et pour ce faire invoquent la responsabilité tant des enseignants, familles, société, mondialisation que des jeunes eux-mêmes. Un fait est certain : l’École démocratique n’offre plus l’égalité des chances. Pire, elle reconduit voire accroît les inégalités au lieu de tenir sa promesse républicaine d’une égale émancipation. Quelle est la pertinence d’un tel diagnostic? Pour répondre, il s’agit d’apprécier les tenants et les aboutissants du système d’enseignement français afin de comprendre comment l’École de l’âge féodal et aristocratique, fondée sur le sang et la propriété foncière, est devenue l’École méritocratique contemporaine, fondée sur le talent et le travail. L’histoire et la sociologie nous font ici comprendre l’urgence et la nécessité, non pas de réformer l’École, mais de la transformer.
Quoi de commun entre les fans d'Indochine, les galeristes contemporains, les publics de la téléréalité, les joueurs de jeux vidéo, les médiateurs culturels et les lecteurs de livres ? Ces champs culturels a priori très éloignés nous font – parfois en même temps – vibrer, aimer, pleurer, rire aux larmes, bondir de peur, jubiler, frémir de colère ou encore détester des histoires, des personnages, des situations, des moments… Si les émotions sont recherchées par les artistes, les producteurs d'objets culturels ou les médiateurs, elles sont également au coeur des narrations sur les contenus culturels qui, en retour, vont contribuer à les diffuser. En d’autres termes, non seulement les productions culturelles sollicitent des émotions, mais elles participent à leur définition, à la manière de les gérer et de les mettre en scène selon les circonstances. Que font les émotions à la culture et, inversement, que fait la culture à nos émotions ? C’est à cette double question, peu traitée par les sciences sociales, que répond cet ouvrage qui rassemble des contributions originales de chercheuses et chercheurs français et étrangers en sociologie, en sciences de l’information et de la communication et en sciences de l’éducation.
La lecture de cet opus est passionnante, difficile, et pose au lecteur de multiples questions. Les conceptions en matière de didactique de l’enseignement du français s’y révèlent assez cacophoniques chez des chercheurs qui appartiennent à des institutions et contextes universitaires et éducatifs divers : Québec, France, Suisse , Belgique. Les articles proposés diffèrent sur le plan épistémique, didactique, éducatif, institutionnel et idéologique. Pour des enseignants, des formateurs, qui suivre ? Quel est le rôle aujourd’hui des recherches en didactique de l’écriture, de la lecture, de l’oral à l’heure de la déferlante anglo-saxonne de la pédagogie de « l’explicitation modélisante » ? Comment préparer les élèves à l’arrivée brutale des nouvelles technologies informatiques, de l’IA, outil d’asservissement ou d’émancipation auquel il faut en urgence les préparer ? Autant de questions que la lecture de cet ouvrage soulève.
Sur base de témoignages d’élèves, de parents et de membres du personnel scolaire, ce livre met en dialogue la pédagogie et le fonctionnement du cerveau lorsqu’il y a apprentissage et lorsque ce dernier se révèle complexe. Les auteurs y abordent :
le fonctionnement du cerveau qui apprend ;
le corps en situation d’apprentissage ;
les émotions ;
les pensées ;
le lien entre le corps, les émotions et les pensées pour favoriser les apprentissages.
le fonctionnement du cerveau qui apprend ;
le corps en situation d’apprentissage ;
les émotions ;
les pensées ;
le lien entre le corps, les émotions et les pensées pour favoriser les apprentissages.
L'Intelligence Artificielle et en particulier l'IA générative est en train de changer le monde et particulièrement l'éducation. Pierre-Yves OUDEYER évoque les intelligences génératives et les enjeux qui sont associés d'une manière générale, puis dans le domaine de l'éducation.
partie développée sur l'éducation
partie développée sur l'éducation
1 014 500 : c'est le nombre d'apprentis comptabilisés le 31 décembre 2023, un chiffre record. Cette évolution s'explique par une image favorable et un volontarisme des pouvoirs publics. Mais l'avenir est incertain. La redéfinition des moyens alloués et la régulation nécessaire du secteur figurent parmi les défis à relever.
Sommaire :
Comment fonctionne vraiment un réseau de neurones ?
Les IA comprennent-elles ce qu’elles disent ?
Pourquoi les LLM (Large Language Models), comme ChatGPT, DeepSeek ou Gemini sont-ils si puissants ?
L’IA est-elle une révolution ou une impasse ?
Un invité des matins de France Culture très bon vulgarisateur sur la question
Comment fonctionne vraiment un réseau de neurones ?
Les IA comprennent-elles ce qu’elles disent ?
Pourquoi les LLM (Large Language Models), comme ChatGPT, DeepSeek ou Gemini sont-ils si puissants ?
L’IA est-elle une révolution ou une impasse ?
Un invité des matins de France Culture très bon vulgarisateur sur la question
Une éducation émancipatrice ne peut donc s’inscrire dans le paradigme du « développement personnel ». Elle renvoie à un autre paradigme, celui du « dépassement collectif ».