15262 shaares
1425 liens privés
1425 liens privés
593 résultats
taggé
bulenvir
PODCAST A ECOUTER ! Ours, loups, renards, lynx, bouquetins, sangliers, sans parler des oiseaux, insectes et amphibiens… Les habitats de tous ces animaux ont été bouleversés par les activités humaines, de l’agriculture à l’urbanisation en passant par les loisirs. En France, comme ailleurs, les animaux sauvages n’ont plus guère « lieux » d’être. Protégés ou réintroduits pour pallier l’effondrement de la biodiversité, ils continuent de se heurter à des milieux déjà occupés, où leur présence crée de nouveaux conflits de voisinage. Au plus près des humains, des cheptels ou des cultures, ils sont accusés de maints dégâts, attaques et transmissions de maladies. Le sort réservé à ces fauteurs de troubles économiques, politiques et/ou sanitaires ? Bien souvent effarouchements ou abattages. Un constat qui, pour les uns, doit amener à réfléchir à de nouvelles modalités de cohabitation quand d’autres prônent la coexistence voire un éloignement radical, une remise à distance de ces animaux au sein de territoires exclusivement dédiés. Alors, entre présence humaine et faune sauvage, y a-t-il une bonne distance, ni trop proche, ni trop lointaine ?
L’ADEME, négaWatt et The Shift Project
décryptent les scénarios climat-énergie
Cherchez dans nos 150 décryptages thématiques
décryptent les scénarios climat-énergie
Cherchez dans nos 150 décryptages thématiques
Jean- Baptiste Fressoz nous livre une nouvelle perception de l’histoire de l’énergie, de ses faux-départs et de ses insuffisances. Énergies et matières premières tissent des relations portées par des synergies. Ce couple entretient des tuilages, organise des ententes et cartels. Il fonctionne plutôt en empilant et sans éliminer. L’auteur voit dans la transition un discours avant tout idéologique, à la fois brandi par les gouvernements, les grandes entreprises et les lobbys. Tous s’affichent et postulent en faveur d’une décarbonation qui, in fine, n’avance pas assez. Ainsi, en 2020, les trois quarts de l’acier mondial continuent à être produits avec du charbon. Ce mouvement étrangement consensuel, voire affecté de cécité, invite à justifier les procrastinations (p. 333) pour arbitrer les trajectoires d’une planète qui avance à plusieurs vitesses peu solidaires entre elles. Cette histoire énergétique remue beaucoup de préjugés. Ce livre qui sort des chemins classiques nous interroge sur notre avenir commun et l’urgence d’atterrir. L’auteur nous propose un livre riche, nourri, décapant.
C’est tout l’enjeu du projet Life Science Workflow Services (LSWS) mené par Iroko pour formaliser la collaboration pluridisciplinaire en agronomie. En permettant aux chercheurs et chercheuses du monde entier d’intégrer et partager leurs données, modèles et workflows biologiques, cette plateforme collaborative est un levier aussi ambitieux que nécessaire pour maximiser l’impact des découvertes scientifiques, notamment des travaux sur les grandes problématiques environnementales. À la clé : des outils et solutions que chercheurs, décideurs et gestionnaires d’écosystèmes pourront déployer sans tarder pour optimiser les pratiques agricoles dans les régions les plus touchées par le changement climatique.
Cet article cherche à présenter l’état de ces connaissances sur les fonctions écologiques et les bénéfices que le mélange d’essences peut procurer, tout en abordant les défis actuels auxquels les écosystèmes forestiers font face.
« Nous entrons dans un momentum critique pour la science », écrivent-ils après la victoire de Donald Trump et du climatoscepticisme aux États-Unis. À « l’aube d’une colonisation des imaginaires » et d’attaques de plus en plus violentes contre la science et l’écologie, la Société de géographie se présente comme « un bastion du climatoscepticisme en France », dénoncent-ils.
cartes par thématique
Ce dossier présente différents éclairages autour de divers travaux de recherche publiés ces dernières années :
Le « renouveau minier » face à ses contradictions
Les universitaires face au réchauffement : inquiets mais pollueurs
Podcast « Sans transition »
Qui plante des arbres dans les champs
Le « renouveau minier » face à ses contradictions
Les universitaires face au réchauffement : inquiets mais pollueurs
Podcast « Sans transition »
Qui plante des arbres dans les champs
L’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (INRAE) a développé, en collaboration avec Météo-France, une application de cartographie climatique pour l’agriculture, nommée AgroMetInfo 2.0. Elle renseigne 21 indicateurs relatifs à l’évolution des conditions agroclimatiques des cultures d’hiver et de printemps, en France métropolitaine (ex. précipitations, températures, nombre de jours chauds et de gel). Elle permet de les comparer au climat de référence des 30 dernières années. L’application vise notamment à aider les agriculteurs à adapter leurs pratiques et à sécuriser leur production.
Le Réseau Action Climat, en partenariat avec l'ADEME, publie un rapport présentant un panorama des impacts du changement climatique dans toutes les régions de France. Forêts, plages, montagnes, plaines... tous les paysages sont déjà affectés avec des répercussions pour tous et dans tous les secteurs.
La substitution progressive des énergies fossiles, comme le pétrole, par des agrocarburants issus des forêts ou des champs continuent toutefois à faire débat.
voir l'atelier agriculture
voir les ressources
Cette revue de littérature nous enseigne cependant que les technologies sont investies à partir de conceptions de la transition écologique qui sont souvent antagonistes. Quoi de commun entre les initiatives qui utilisent la technologie pour favoriser l’émergence de publics locaux ou pour explorer des modes alternatifs de production et de consommation, et les initiatives qui voient dans les technologies un moyen économiquement profitable de réduire certaines pollutions en optimisant les ressources investies sans remettre en cause la logique productiviste ni prendre en compte de possibles « effets rebonds » ?