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Le jeu de la ficelle est un jeu interactif qui permet de représenter par une ficelle les liens, implications et impacts de nos choix de consommation. Il offre un éclairage sur les relations entre le contenu de l’assiette moyenne du Belge et diverses problématiques comme la qualité de l’eau, la dette extérieure d’un pays du "Sud", la malnutrition, le réchauffement climatique ou les conditions de travail d’un ouvrier au Costa Rica.
A partir de la thématique de l’alimentation, le jeu révèle des liens indissociables entre les sphères économique, sociale, environnementale et politique de notre société. Il souligne également l’interdépendance entre les différentes populations de la planète face au phénomène de la globalisation et du tout-au-marché.
A partir de la thématique de l’alimentation, le jeu révèle des liens indissociables entre les sphères économique, sociale, environnementale et politique de notre société. Il souligne également l’interdépendance entre les différentes populations de la planète face au phénomène de la globalisation et du tout-au-marché.
Les formations dispensées par les représentants des constructeurs remplissent effectivement un vide en la matière. « Hormis cette offre privée de formation, les enseignant·es sont relativement livrés à eux-mêmes pour acquérir de nouvelles connaissances » soulignent des chercheuses lors d’un colloque organisé par la Société française d’économie rurale en décembre dernier. Elles notent un recul marqué de l’État depuis les années 1980 dans la production de savoirs en agroéquipements. Les formations universitaires publiques dans ce domaine sont devenues très rares. Cette absence d’offre de formation alternative conduit au « poids déterminant du secteur privé du machinisme agricole dans la transmission des savoirs », analysent les chercheuses.
La Commission européenne nous dit qu’elle ne sait pas différencier les OGM/NTG des plantes issues de la sélection conventionnelle. Mais les agrochimistes ont des brevets sur ces plantes et savent parfaitement les différencier de celles des concurrents. C’est donc possible.
un numéro d’Études rurales s’intéresse aux feux de végétation et au rôle de l’agriculture et du pastoralisme dans l’entretien des milieux naturels et la prévention des incendies.
En février 2025, la revue Smart Agricultural Technology publie une expérimentation menée conjointement par les services régionaux italiens de protection des végétaux et le Conseil pour la recherche et l’économie agricoles (CREA), un centre de recherche publique. Les données de prévision à 5 jours des risques de maladies, issues des systèmes d’aide à la décision régionaux, ont été interfacées avec ChatGPT pour générer les messages d’information des bulletins de santé des végétaux à destination des agriculteurs. Malgré des résultats prometteurs, les experts ont estimé que les conseils produits étaient encore trop génériques. Des adaptations sont envisagées afin de prendre en compte, dans l’entrainement du modèle, la législation, les pratiques de gestion, la liste des substances actives autorisées localement ou encore les protocoles d’application.
Sur l’ensemble des huit années étudiées, les revenus moyens générés par ces deux systèmes sont équivalents et avoisinent 2 SMIC par unité de main-d’œuvre. Néanmoins, les revenus des élevages robotisés présentent une plus grande variabilité selon la conjoncture économique, notamment lorsqu’elle est défavorable
Végétaliser l’alimentation, c’est une nécessité. Mais celle-ci doit s’opérer dans un cadre précis, qui associe la consommation de produits issus de l’agriculture biologique ou celle des fruits et légumes. C’est en substance, l’un des éléments clés de la contribution du cofondateur de Solagro Philippe Pointereau
Le droit explique-t-il, en tout ou partie, ce fiasco ruralo-écologique ? Peut-il y apporter un début de solution ? A écouter les « qu’en dira-t-on », la réglementation est coupable de faciliter la destruction des haies et de décourager, par sa complexité, les plantations. Un tantinet populiste ! Le vrai est que le droit n’a pas su s’y prendre avec cet élément semi-naturel, semi-productif, semi-privatif, frontière vivante entre plusieurs mondes juridiques.
Cette année encore, la souveraineté alimentaire est un des gros enjeux du salon de l’agriculture. Et pour cause, elle est à l’honneur du projet de loi d’orientation agricole, qui a été adopté la semaine dernière au Parlement. Mais où en est-on exactement de cette souveraineté qu’on ne cesse de scander ?
Un outil collaboratif de gestion de connaissances et d’échanges, dédié à la transition agroécologique.
ntervenants et participants ont pu échanger des connaissances et des expériences, stimulant ainsi la réflexion sur la manière d’améliorer l'efficacité des services d'accompagnement et de l'enseignement pour favoriser une transition agricole et alimentaire durable, prenant en compte les défis sociaux et environnementaux contemporains. Leurs réflexions sur la manière de surmonter les défis posés par les transformations majeures en cours, ont mis l'accent sur l'adaptation aux technologies numériques, la préservation de l'accès aux services face à la privatisation croissante, et la promotion de modèles de gouvernance inclusifs.
Les élections aux chambres d'agriculture, organisées à partir de janvier 2025, ont désigné les nouveaux représentants du secteur agricole. Qu'est-ce qu'une chambre d'agriculture ? Quelles sont ses missions ? Comment ses membres sont-ils élus ? Vie publique fait le point en cinq questions.
une alimentation 100 % biologique permettrait de réduire de moitié les coûts pour l’État engendrés par la gestion et le traitement de l’eau – grâce à l’arrêt des intrants de synthèse – comme le défend l’article scientifique coécrit par le Basic et l’Université de Louvain. Selon cette même étude, l’utilisation de pesticides de synthèse est à l’origine de 51 millions d’euros de dépenses annuelles de santé en raison des maladies associées reconnues comme professionnelles, du type Parkinson. Généraliser ce modèle agricole pourrait réduire d’au moins 28 % le montant total des coûts d’impact, soit près de 10 milliards d’euros.
voir aussi : Des cantines scolaires 100 % produits locaux, bio et fait maison : c'est le « projet politique » de la Dordogne qui vise 19 établissements labellisés à la fin de l’année scolaire, sur la quarantaine de collèges publics que compte le département. Le coût par plateau : 2,10 euros (contre 2,40 € en conventionnel).
voir aussi : Des cantines scolaires 100 % produits locaux, bio et fait maison : c'est le « projet politique » de la Dordogne qui vise 19 établissements labellisés à la fin de l’année scolaire, sur la quarantaine de collèges publics que compte le département. Le coût par plateau : 2,10 euros (contre 2,40 € en conventionnel).