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Open Terms Archive fait apparaître les modifications des CGU de Meta. En rouge, les suppressions, en vert, les ajouts. On peut y lire « Nous autorisons les allégations de maladie mentale ou d’anormalité lorsqu’elles sont fondées sur le genre ou l’orientation sexuelle, compte tenu du discours politique et religieux sur le transgendérisme et l’homosexualité (ligne 1346) »
Supprimer les pièces-jointes de mes mails, est-ce vraiment utile ? Comment maximiser la durée de vie de mon téléphone ? Regarder ma série en HD, ça n’a pas d’impact sur l’environnement ? Ces questions vous trottent dans la tête ? Alors vous êtes au bon endroit !
Cet AVIS présente notamment les dernières évaluations de l’empreinte carbone du numérique en France : 29,5 Mt CO2 eq, et une consommation d’électricité à 51,5 TWh, soit 4,4% de l’empreinte carbone de la France, et 11% de la consommation électrique nationale. Ces chiffres, qui prennent maintenant en compte les impacts de l’utilisation des datacenters situés à l’étranger, conduisent à un doublement de l’impact de l’usage du numérique et à une responsabilité plus importante des datacenters (alors qu’on pensait jusqu’à présent que les
impacts étaient très majoritairement liés à la fabrication des terminaux).
Si le numérique était, il y a encore quelques années, perçu, comme intrinsèquement vertueux d’un point de vue environnemental car synonyme de dématérialisation, la prise de conscience de la matérialité sous-jacente du numérique et de ses impacts sur l’environnement reste récente. C’est dans ce contexte que l’ADEME, le CNRS et l’INRIA lancent également ce jour la campagne de communication « Alt IMPACT », visant à sensibiliser le plus grand nombre aux impacts du numérique et à renseigner sur les écogestes à adopter en la matière.
impacts étaient très majoritairement liés à la fabrication des terminaux).
Si le numérique était, il y a encore quelques années, perçu, comme intrinsèquement vertueux d’un point de vue environnemental car synonyme de dématérialisation, la prise de conscience de la matérialité sous-jacente du numérique et de ses impacts sur l’environnement reste récente. C’est dans ce contexte que l’ADEME, le CNRS et l’INRIA lancent également ce jour la campagne de communication « Alt IMPACT », visant à sensibiliser le plus grand nombre aux impacts du numérique et à renseigner sur les écogestes à adopter en la matière.
Loin d’être un simple outil d’innovation, l’IA est devenue un véritable gouffre énergétique. Derrière chaque requête vocale, chaque image générée, ou chaque modèle d’apprentissage automatique se cachent des milliers de serveurs affamés d’électricité. Résultat : des centres de données qui tournent à plein régime, des infrastructures qui s’étendent, et une empreinte carbone qui explose.
Ce texte est le manifeste fondateur de « Hiatus », une coalition composée d’une diversité d’organisations de la société civile française qui entendent résister au déploiement massif et généralisé de l’intelligence artificielle (IA). À l’approche du sommet sur l’IA organisé par la France, les 10 et 11 février 2025, le lancement de Hiatus vise à dénoncer l’inféodation des politiques publiques aux intérêts de la tech, ainsi que les coûts humains et environnementaux de l’IA. Au cours des mois à venir, des actions communes seront organisées pour décliner ce manifeste fondateur sur le plan politique.
Mémoire de recherche
Dans son introduction, Ilyas Barbaud (Vice-Président Étudiants) a insisté sur le courage nécessaire pour analyser objectivement nos pratiques pédagogiques : reconnaître ce qui fonctionne bien tout en identifiant les points à améliorer. Il a souligné l’importance des formations professionnalisantes, porteuses de sens pour les étudiants. Selon lui, l’intelligence artificielle (IA) s’impose comme un enjeu majeur qu’il est important de ne pas ignorer dans l’apprentissage des étudiants.
Je crois aussi beaucoup aux échanges de pratiques entre collègues. On y partage les réflexions et les modalités de travail, que l’on enseigne la même discipline ou non, mais il n’est pas facile de trouver de tels espaces de respiration dans son quotidien professionnel.
Le coup de force d’Open AI en 2022 avec son IA générative a provoqué une sidération, puis un suivisme puis une agitation en forme de tunnel cognitif comme dans toute tyrannie du retard : il faut suivre à tout prix pour ne pas rater le train (ce que les investisseurs savent très bien faire et même provoquer).
Pourquoi faut-il encore des humains dans la boucle ? Parce que les IA génératives qu’on nous vend ne peuvent se passer d’une description du monde, d’une classification du monde, d’une ontologie fondationnelle, malgré tout ce que les firmes prétendent. Mais alors, pourquoi toujours mettre l’accent sur la puissance de calcul, sur le nombre de paramètres, pourquoi occulter tout le travail de pondération de ces paramètres et évacuer la dépendance structurelle à ces annotations ?
Pourquoi faut-il encore des humains dans la boucle ? Parce que les IA génératives qu’on nous vend ne peuvent se passer d’une description du monde, d’une classification du monde, d’une ontologie fondationnelle, malgré tout ce que les firmes prétendent. Mais alors, pourquoi toujours mettre l’accent sur la puissance de calcul, sur le nombre de paramètres, pourquoi occulter tout le travail de pondération de ces paramètres et évacuer la dépendance structurelle à ces annotations ?
Interrogées sur les difficultés qu’elles peuvent rencontrer dans la communication de leurs résultats, les chercheuses soulignent plusieurs difficultés qu’elles ont rencontrées :
voir les résultats de leurs recherches tronquées ou déformées par un angle journalistique ;
répondre aux demandes de collectifs, qui attendent de la recherche des solutions aux problèmes professionnels qu’ils rencontrent, ce qui est bien entendu hors de portée de leurs connaissances ;
savoir défendre la rigueur de leurs analyses lorsqu’elles sont suspectées d’être mues par leurs engagements personnels, surtout lorsqu’elles enquêtent sur des questions socialement vives.
voir les résultats de leurs recherches tronquées ou déformées par un angle journalistique ;
répondre aux demandes de collectifs, qui attendent de la recherche des solutions aux problèmes professionnels qu’ils rencontrent, ce qui est bien entendu hors de portée de leurs connaissances ;
savoir défendre la rigueur de leurs analyses lorsqu’elles sont suspectées d’être mues par leurs engagements personnels, surtout lorsqu’elles enquêtent sur des questions socialement vives.