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Le concept de fluence formalise quelque chose que l’on comprend bien intuitivement : notre système cognitif fait tout pour que nos activités se déroulent au mieux, de la manière la plus fluide (_fluent_, en anglais) possible. Il est important de noter que notre cognition est « motivée » par une croyance qu’il formule _a priori_ sur la facilité ou la difficulté d’une tâche et en la possibilité de réaliser de bonnes prédictions. Cela va lui permettre de s’adapter au mieux à son environnement et au bon déroulement de la tâche en cours.
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Ce premier rapport aborde 4 sujets principaux :
Fiabilité de l'information : Dans un monde dans lequel l'IA générative peut créer des contenus très réalistes, comment maintenir la confiance dans l'information? Le rapport explore les implications de la diffusion de "deepfakes" et "d'hallucinations génératives", ainsi que des solutions potentielles pour contrer ces problèmes.
Propriété intellectuelle et données personnelles : Avec l'IA capable de générer du contenu, les questions de propriété intellectuelle deviennent complexes. Le livre examine les aspects juridiques, les défis et les pistes possibles pour respecter la propriété des artistes et encadrer la génération d'œuvre par IA. Il aborde aussi la notion de respect de la réglementation liée aux données personnelles lors du développement et de l’utilisation de l’IA générative.
Biais algorithmiques : Les outils d'IA sont entraînés sur des données qui peuvent contenir des biais inhérents, ce qui peut conduire à des discriminations ou des stéréotypes dans leurs résultats. Le livre blanc souligne ces défis et propose des façons de les atténuer pour créer une IA plus équitable et représentative de la diversité de notre société.
Impact environnemental : L'IA n'est pas seulement un défi éthique ou sociétal, mais également environnemental. L'entraînement des modèles d'IA est très énergivore et contribue à l'émission de gaz à effet de serre. Le rapport explore les impacts directs et indirects et les moyens de minimiser cet impact.
Fiabilité de l'information : Dans un monde dans lequel l'IA générative peut créer des contenus très réalistes, comment maintenir la confiance dans l'information? Le rapport explore les implications de la diffusion de "deepfakes" et "d'hallucinations génératives", ainsi que des solutions potentielles pour contrer ces problèmes.
Propriété intellectuelle et données personnelles : Avec l'IA capable de générer du contenu, les questions de propriété intellectuelle deviennent complexes. Le livre examine les aspects juridiques, les défis et les pistes possibles pour respecter la propriété des artistes et encadrer la génération d'œuvre par IA. Il aborde aussi la notion de respect de la réglementation liée aux données personnelles lors du développement et de l’utilisation de l’IA générative.
Biais algorithmiques : Les outils d'IA sont entraînés sur des données qui peuvent contenir des biais inhérents, ce qui peut conduire à des discriminations ou des stéréotypes dans leurs résultats. Le livre blanc souligne ces défis et propose des façons de les atténuer pour créer une IA plus équitable et représentative de la diversité de notre société.
Impact environnemental : L'IA n'est pas seulement un défi éthique ou sociétal, mais également environnemental. L'entraînement des modèles d'IA est très énergivore et contribue à l'émission de gaz à effet de serre. Le rapport explore les impacts directs et indirects et les moyens de minimiser cet impact.
Partez à la découverte de la pédagogie au travers d'un parcours illustré où chaque étape offre une vue sur une nouvelle notion, pour un voyage riche en images
Si vous me lisez, vous savez que je suis très sceptique sur les IA génératives. Que ce soit sur leur utilité réelle au milieu de toutes les crises d’aujourd’hui et de demain. Ou sur leur rapport coût/bénéfice quand on mesure à quel point elles sont énergivores et peu éthiques dans leur fonctionnement (origine et entrainement des données notamment). Sur leur réalité économique, au-delà de la bulle qui est maintenant bien documentée. Enfin, sur la réalité de leurs capacités et limites techniques (leur faillibilité notamment, euphémisée par le doux nom d’hallucination), au-delà des fantasmes des plus technos-enthousiastes d’entre nous, là aussi de mieux en mieux documentés...
La santé commune n’est pas un simple complément apporté à la multitude d’initiatives globales (des objectifs du développement durable du rapport Brundtland de 1987 aux accords de Paris sur le climat de 2015). Précisons ici que la santé commune n’est pas la « santé globale » (Global Health) qui se focalise sur la santé humaine, physique et mentale, pour toutes les populations du monde, dans un contexte global, sans intégrer la santé sociale ou celle des écosystèmes. La santé commune n’est pas non plus l’idée d’une même approche de santé pour les humains et les animaux (One Health), évitant certaines interdépendances plus larges avec la santé sociale et la santé des milieux naturels. Elle se démarque de la santé planétaire (Planetary Health, qui est celle de la civilisation humaine face à l’état des systèmes naturels dont elle dépend) en assumant son ancrage territorial.
Voir le lien vers la méthode de questionnement
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En conclusion, il faut de l’éducation, de l’éducation, et encore de l’éducation. Mais pas n’importe quelle éducation4. Certainement pas une éducation limitée aux « bons usages » du numérique. Il faut, je pense, se donner les moyens d’une éducation technocritique, émancipatrice, politique. Une éducation qui autorise à développer de nouveaux imaginaires, et présente les alternatives numériques. Et s’il faut interdire, puisque certain⋅e⋅s ne jurent que par ça, interdisons la publicité, les dark pattern, les monopoles, la lucrativité abusive, ou encore la captation de données personnelles.
Proposition de grille d’évaluation
La neuvième séance du Séminaire CICUR en visio conférence (zoom) sera consacrée à la question “Qu’elle serait une évaluation à laquelle on n’échoue pas ?”. Ouverte à toutes et tous sur inscription. De 13h30 à 16h30.
Infographie présentant dix repères sur le thème IA et éducation : définition, applications, éthique, littératie, IA générative, etc.
Contrairement à ce que plusieurs médias rapportent sur la base d’une incompréhension, il est techniquement impossible que des applications comme Facebook enregistrent en permanence ce que disent leurs utilisateurs. Dire l’inverse relève de la désinformation.
france cul : Dans son nouveau livre, l'anthropologue Charles Stépanoff montre comment notre rapport au vivant influe sur nos modes d’organisation sociale et politique. En quoi cette vision moins occidentalo-centrée permet-elle de revisiter notre conception de l’écologie politique ?
« Le principal cas d’usage des grands modèles de langue, c’est d’écrire des textes que personne n’a envie de lire. L’autre, c’est de résumer des textes que personne n’a envie de lire. Et il s’avère que ça non plus, ils ne savent pas le faire. »
Des élèves qui accusent leurs professeurs de racisme, une classe où le groupe des « Français » et celui des « musulmans » se font face… ce genre de constat a conduit Aurélien Aramini et Chloé Santoro à mener une enquête au lycée professionnel Hippolyte Carnot, situé au sein d’une grande cité scolaire comme il en existe beaucoup d’autres dans la France des sous-préfectures, marquée à la fois par la désindustrialisation, la disparition des services publics et l’héritage des vagues migratoires successives du XXe siècle.
De nombreux entretiens avec les élèves, les enseignants et les personnels de direction ont permis aux auteurs de mieux comprendre la double fracture d’une classe de seconde professionnelle : d’une part, des accusations de racisme visant plus ou moins directement certains professeurs et, d’autre part, le clivage spontané de la classe en deux groupes d’élèves, qui appartiennent à peu près à la même classe sociale, à la même classe d’âge et au même territoire, mais qui, selon leurs propres termes, ne sont « pas dans le même délire » et ne semblent plus vivre dans le même monde.
De nombreux entretiens avec les élèves, les enseignants et les personnels de direction ont permis aux auteurs de mieux comprendre la double fracture d’une classe de seconde professionnelle : d’une part, des accusations de racisme visant plus ou moins directement certains professeurs et, d’autre part, le clivage spontané de la classe en deux groupes d’élèves, qui appartiennent à peu près à la même classe sociale, à la même classe d’âge et au même territoire, mais qui, selon leurs propres termes, ne sont « pas dans le même délire » et ne semblent plus vivre dans le même monde.
L’IA comme aide à la reformulation
Jacques a profité d’une actualisation de son contenu de cours pour travailler le style et la forme de ses ressources écrites. « Le premier usage que j’ai eu de l’IA, c’est une aide à la reformulation et à la mise en forme de mon cours. J’avais par exemple des énumérations qui n’étaient pas très explicites dans mon contenu. J’ai demandé à ChatGPT de les développer et de les clarifier. J’avais aussi quelques lourdeurs ou imprécisions dans le style, là aussi ChatGPT m’a fait des propositions alternatives. Parfois, à l’inverse, je lui ai demandé de synthétiser certains paragraphes un peu trop détaillés. Avec la version 4 de ChatGPT, j’ai pu aussi lui demander de citer des sources, d’apporter des références à des auteurs ». Evidemment, ce travail était rendu possible car Jacques a une haute expertise du domaine : il est en mesure de repérer les éventuelles erreurs que pourrait proposer l’IA. « J’ai eu des réponses très rapides et presque toujours pertinentes, poursuit Jacques. Cela apporte un réel service, utile et rapide pour actualiser mes contenus »*.
Jacques a profité d’une actualisation de son contenu de cours pour travailler le style et la forme de ses ressources écrites. « Le premier usage que j’ai eu de l’IA, c’est une aide à la reformulation et à la mise en forme de mon cours. J’avais par exemple des énumérations qui n’étaient pas très explicites dans mon contenu. J’ai demandé à ChatGPT de les développer et de les clarifier. J’avais aussi quelques lourdeurs ou imprécisions dans le style, là aussi ChatGPT m’a fait des propositions alternatives. Parfois, à l’inverse, je lui ai demandé de synthétiser certains paragraphes un peu trop détaillés. Avec la version 4 de ChatGPT, j’ai pu aussi lui demander de citer des sources, d’apporter des références à des auteurs ». Evidemment, ce travail était rendu possible car Jacques a une haute expertise du domaine : il est en mesure de repérer les éventuelles erreurs que pourrait proposer l’IA. « J’ai eu des réponses très rapides et presque toujours pertinentes, poursuit Jacques. Cela apporte un réel service, utile et rapide pour actualiser mes contenus »*.