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Cet ouvrage constitue le troisième volume des actes du 4e Colloque international IDEKI Didactiques et métiers de l'humain, organisé par le réseau IDEKI, l'Université de Reims Champagne-Ardenne et la Maison des Sciences Humaines et Sociales ainsi que le laboratoire Cérep (Centre d'études et de recherches sur les emplois et les professionnalisations) les 2 et 3 décembre 2021, à l'Abbaye des Prémontrés de Pont-à-Mousson (France). Ce dernier volume est consacré entièrement au concept de Territoires Apprenants. Il nous invite à croiser nos regards tant du point de vue des recherches engagées qu'en référence à des situations mobilisatrices de travail dans différents secteurs d'activités et dans le respect du travail original et singulier de chacun pour développer des compétences professionnelles dans les métiers de l'humain. Les contributeurs ont choisi une entrée, parfois en ont croisé deux en produisant tantôt des émergences, tantôt des cheminements, tantôt des constructions de savoirs à différents niveaux."
" S’il semble clair que l’enseignement doit se transformer à l’ère de l’Anthropocène, il reste à en préciser la manière : quels contenus aborder ? quelles modalités pédagogiques suivre ? faut-il s’appuyer sur un cadrage national, au risque de dépolitiser certains enjeux essentiels de la transition/redirection écologique ? L’article aborde ces questions, au travers d’une critique du développement durable, d’une introspection de certaines disciplines scientifiques et de propositions autour d’expérimentations pédagogiques."
"Les questions
Quel est l’enjeu de ce projet pour moi, pour le groupe ? (Variante : comment définit-on le succès de ce projet ?) Question fondamentale et sujet de bien des malentendus, car chacun a un enjeu dans la réussite du projet qui est un peu différent de celui des autres. Apprendre un nouveau domaine ? Consolider sa place dans un nouveau poste ? Avancer vite pour pouvoir passer à un truc plus passionnant ou plus stratégique ? C’est très variable et c’est important de mettre ça sur le tapis. En plus, c’est inspirant : ça permet de commencer le projet d’un bon pied, avec optimisme.
De quoi ai-je besoin pour que ça se passe bien ? C’est une question importante et qui nécessite de bien se connaître pour y apporter une réponse rapide. Par exemple, à titre personnel, j’ai besoin de bienveillance, de bonne humeur et d’esprit d’équipe.
Qu’est-ce qu’il faut savoir pour bien bosser avec moi ? Ca peut être les choses que je ne supporte pas, ou mes habitudes. Par exemple : “Je suis distrait, j’oublie parfois des choses, il ne faut pas hésiter à me rappeler des trucs si on n’est pas sûr que j’ai bien noté. Promis, je ne me vexerais pas !”
Quels outils va-t-on utiliser pour se coordonner ? L’occasion de parler des mails, des SMS, du téléphone (si on aime ou pas), si on préfère les réunions IRL. Il peut y avoir un petit aspect négociation dans cette question (et dans d’autres), pour se mettre d’accord.
Comment on fait si ça ne se passe pas bien ? Dans tous les projets, même avec l’alliance co-créée, il va y avoir des malentendus, des bévues, des erreurs, de la frustration. Comment fait-on pour en parler ? Pour ma part, je préfère qu’on en parle le plus vite possible, honnêtement, sans témoins, si possible IRL ou sinon au téléphone, mais surtout pas par mail. Et si possible avec bienveillance ;-) [2].
Cette liste de questions n’est pas exhaustive : on peut en rajouter d’autres si nécessaire, demander à la cantonade si quelqu’un en a une à poser au groupe, et on y répond. En substance, l’idée de fond est d’aborder les points nécessaires avant de commencer à travailler ensemble.
Ensuite, on relit le paper-board ensemble pour valider qu’on est tous d’accord. Le modérateur transcrit le document et l’envoie par mail aux participants. On convient de mettre à jour l’alliance ainsi co-créée chaque fois que nécessaire, aussi bien pour enlever ce qui n’est plus nécessaire que de rajouter ce qui mérite de l’être. L’alliance co-créée pour le projet est un document vivant ! Pour chaque nouveau projet, on refait une alliance. "
Quel est l’enjeu de ce projet pour moi, pour le groupe ? (Variante : comment définit-on le succès de ce projet ?) Question fondamentale et sujet de bien des malentendus, car chacun a un enjeu dans la réussite du projet qui est un peu différent de celui des autres. Apprendre un nouveau domaine ? Consolider sa place dans un nouveau poste ? Avancer vite pour pouvoir passer à un truc plus passionnant ou plus stratégique ? C’est très variable et c’est important de mettre ça sur le tapis. En plus, c’est inspirant : ça permet de commencer le projet d’un bon pied, avec optimisme.
De quoi ai-je besoin pour que ça se passe bien ? C’est une question importante et qui nécessite de bien se connaître pour y apporter une réponse rapide. Par exemple, à titre personnel, j’ai besoin de bienveillance, de bonne humeur et d’esprit d’équipe.
Qu’est-ce qu’il faut savoir pour bien bosser avec moi ? Ca peut être les choses que je ne supporte pas, ou mes habitudes. Par exemple : “Je suis distrait, j’oublie parfois des choses, il ne faut pas hésiter à me rappeler des trucs si on n’est pas sûr que j’ai bien noté. Promis, je ne me vexerais pas !”
Quels outils va-t-on utiliser pour se coordonner ? L’occasion de parler des mails, des SMS, du téléphone (si on aime ou pas), si on préfère les réunions IRL. Il peut y avoir un petit aspect négociation dans cette question (et dans d’autres), pour se mettre d’accord.
Comment on fait si ça ne se passe pas bien ? Dans tous les projets, même avec l’alliance co-créée, il va y avoir des malentendus, des bévues, des erreurs, de la frustration. Comment fait-on pour en parler ? Pour ma part, je préfère qu’on en parle le plus vite possible, honnêtement, sans témoins, si possible IRL ou sinon au téléphone, mais surtout pas par mail. Et si possible avec bienveillance ;-) [2].
Cette liste de questions n’est pas exhaustive : on peut en rajouter d’autres si nécessaire, demander à la cantonade si quelqu’un en a une à poser au groupe, et on y répond. En substance, l’idée de fond est d’aborder les points nécessaires avant de commencer à travailler ensemble.
Ensuite, on relit le paper-board ensemble pour valider qu’on est tous d’accord. Le modérateur transcrit le document et l’envoie par mail aux participants. On convient de mettre à jour l’alliance ainsi co-créée chaque fois que nécessaire, aussi bien pour enlever ce qui n’est plus nécessaire que de rajouter ce qui mérite de l’être. L’alliance co-créée pour le projet est un document vivant ! Pour chaque nouveau projet, on refait une alliance. "
"irénisme"
Les lignes directrices proposent d'utiliser des méthodologies de paysan à paysan (P2P) centrées sur les principes de l'horizontalisme, de l'approche d'apprentissage de pair à pair et de la participation. La formation et l'apprentissage sont des processus infinis de production et de diffusion permanentes de nouvelles connaissances issues du partage d'opinions et d'idées différentes et de la rencontre entre ces idées et la réalité.
Le numérique n?est plus seulement une possibilité ; il est devenu omniprésent, indispensable dans la vie usuelle de tous les citoyens. En ce sens, il est devenu un « fait social total » qui ne peut plus être cantonné à ses aspects techniques.
PREMIÈRE PARTIE : de l?éducation PAR le numérique à la nécessité d?un enseignement AU numérique
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"Ce kit comprend:
Un jeu de cartes à plastifier et à découper.
Un plateau de jeu ORGANISATION.
Deux plateaux de jeu PRATIQUES."
Un jeu de cartes à plastifier et à découper.
Un plateau de jeu ORGANISATION.
Deux plateaux de jeu PRATIQUES."
Voir : l'interview de Philippe Pointereau et aussi
Transition alimentaire : un nouveau cadre d’action politique pour atteindre nos objectifs
Pesticides. Au péril de l’expertise.
Agri-influenceurs. Réseaux sociaux : la confusion des sentiments
Cantines. Une alimentation durable servie sur un plateau ?
Précarité. Sécurité sociale de l’alimentation : à fond les caisses !
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"Le numérique « acceptable » repose sur trois dimensions intimement liées : il est soutenable socialement et écologiquement, émancipateur et non aliénant, choisi et non subi. Sur ces trois dimensions, le logiciel libre apporte des premières briques de réponse. Mais est-ce suffisant, et quels sont les angles morts ?"
Plateforme de partage d'innovations péda
"L’objectif de ce portail est de recenser les ressources utiles pour l’enseignement et de présenter des exemples d’usages concrets."
"L’exploitation, centre de formation à la permaculture situé dans l’Eure, reprend des techniques du passé et les optimise à l’aune des connaissances scientifiques actuelles pour augmenter la productivité par hectare. "