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"Si le numérique peut participer de l’émancipation et du pouvoir d’agir de tous les publics, qu’ils soient en difficulté, à besoins particuliers, en situation de handicap ou issus de minorités, ceci n’est pas un allant de soi. Ce Dossier, en interrogeant en quoi le numérique peut constituer un moyen et/ou un frein pour l’éducation inclusive, permet d’examiner les apports et défis des technologies dans une perspective inclusive.
Pour aborder ces questions, nous faisons état tout d’abord des enjeux politiques, sociaux, économiques, et des couts humains et matériels de ce double défi que constitue l’éducation inclusive et numérique. Ensuite, par le biais d’exemples concrets, nous explorons la nécessité de faire émerger de nouvelles cultures dans les conceptions de l’inclusion et du numérique, les partenariats, les rôles, et les pratiques pédagogiques des personnels éducatifs. Face à ces évolutions, la formation à l’éducation inclusive et numérique nécessite de favoriser, et de valoriser, de manière ascendante, la mobilisation in situ de compétences multiples mettant en résonance les interprétations et expériences de la diversité avec les connaissances technologiques.
Ce Dossier met en lumière le fait que l’éducation inclusive et numérique nécessite d’articuler, à travers les médiations humaines et numériques, des procédures individuelles et des situations collectives. Outre ses possibles, difficultés, enjeux, questions en suspens, elle relève, profondément, d’une conception démocratique et citoyenne de l’éducation pour toutes et tous à l’heure du numérique, et vise à passer d’une finalité adaptative à une finalité inclusive et émancipatrice des outils. Elle permet, en retour, de renouveler le regard sur les usages numériques éducatifs. "
Pour aborder ces questions, nous faisons état tout d’abord des enjeux politiques, sociaux, économiques, et des couts humains et matériels de ce double défi que constitue l’éducation inclusive et numérique. Ensuite, par le biais d’exemples concrets, nous explorons la nécessité de faire émerger de nouvelles cultures dans les conceptions de l’inclusion et du numérique, les partenariats, les rôles, et les pratiques pédagogiques des personnels éducatifs. Face à ces évolutions, la formation à l’éducation inclusive et numérique nécessite de favoriser, et de valoriser, de manière ascendante, la mobilisation in situ de compétences multiples mettant en résonance les interprétations et expériences de la diversité avec les connaissances technologiques.
Ce Dossier met en lumière le fait que l’éducation inclusive et numérique nécessite d’articuler, à travers les médiations humaines et numériques, des procédures individuelles et des situations collectives. Outre ses possibles, difficultés, enjeux, questions en suspens, elle relève, profondément, d’une conception démocratique et citoyenne de l’éducation pour toutes et tous à l’heure du numérique, et vise à passer d’une finalité adaptative à une finalité inclusive et émancipatrice des outils. Elle permet, en retour, de renouveler le regard sur les usages numériques éducatifs. "
Comment enseigner les enjeux controversés, sans tomber dans la polémique stérile ? Des réponses abordées par un groupe de travail au sein de l’Institut Mines-Télécom coordonné par Fabrice Flipo IMT Business School.
Cet article propose la vidéo réalisée pour le prix de la pédagogie et une présentation du Guide et de ses ressources par Fabrice Flipo."
Cet article propose la vidéo réalisée pour le prix de la pédagogie et une présentation du Guide et de ses ressources par Fabrice Flipo."
"L’intelligence artificielle est aujourd’hui partout dans notre quotidien et bouleverse le monde de l’éducation et de la formation. Au niveau individuel, l’IA générative nous permet d’externaliser une part grandissante des facultés de notre cerveau. Moins sollicités pour produire des calculs, nous pouvons gagner en liberté et en créativité. Mais les usages répétés de l’IA vont-ils atrophier les capacités réflexives de l’espèce humaine ?
Cet ouvrage se veut un « contrepoint » au panégyrique ambiant sur l’intelligence artificielle, dont il brosse les enjeux et les limites. Denis Cristol s’intéresse au croisement de « l’Intelligence Artificielle » et de « l’Apprenance », ce pouvoir, savoir et vouloir apprendre. Il nous explique comment les intelligences artificielles « apprennent » et évoluent, ainsi que leur impact sur notre économie et nos vies. Il nous invite à réfléchir aux implications éthiques de ces avancées technologiques sur la pédagogie, nous plonge dans les prévisions des auteurs de science-fiction et révèle les questions philosophiques qui en découlent.
L’auteur pose plus de 150 questions sans prétendre répondre à toutes : l’IA a-t-elle une conscience et laquelle ? Quelle influence sur nos emplois et sur nos rapports au monde et aux savoirs ? Quels seront les changements pour les formateurs ?
Un livre qui nous invite à cultiver le discernement, à demeurer émotionnels, aléatoires et pourquoi pas aussi critiques et désobéissants !"
Cet ouvrage se veut un « contrepoint » au panégyrique ambiant sur l’intelligence artificielle, dont il brosse les enjeux et les limites. Denis Cristol s’intéresse au croisement de « l’Intelligence Artificielle » et de « l’Apprenance », ce pouvoir, savoir et vouloir apprendre. Il nous explique comment les intelligences artificielles « apprennent » et évoluent, ainsi que leur impact sur notre économie et nos vies. Il nous invite à réfléchir aux implications éthiques de ces avancées technologiques sur la pédagogie, nous plonge dans les prévisions des auteurs de science-fiction et révèle les questions philosophiques qui en découlent.
L’auteur pose plus de 150 questions sans prétendre répondre à toutes : l’IA a-t-elle une conscience et laquelle ? Quelle influence sur nos emplois et sur nos rapports au monde et aux savoirs ? Quels seront les changements pour les formateurs ?
Un livre qui nous invite à cultiver le discernement, à demeurer émotionnels, aléatoires et pourquoi pas aussi critiques et désobéissants !"
"Former des enseignants est un métier complexe : responsabilités croissantes, manque de reconnaissance… Est-ce à dire que c’est un métier impossible ? Fruit de dix années de recherche, cet ouvrage est une ressource essentielle qui montre que ce métier est décisif.
Le rôle du formateur n’est pas de donner des recettes ou des réponses prêtes à l’emploi, mais au contraire de permettre aux enseignants débutants d’investir une posture réflexive sur leur pratique de classe, de trouver leurs propres méthodes pour intéresser leurs élèves. Le métier de formateur repose aussi bien sur des valeurs que sur des savoir-faire qui impliquent autant une culture scientifique qu’une culture de l’accompagnement.
Dominique Bucheton et Yann Mercier-Brunel proposent de nombreuses pistes pour mieux accompagner les enseignants. Ils analysent les postures et gestes adoptés lors des entretiens et leurs effets positifs ou négatifs sur les enseignants.
Un ouvrage qui vise à faire comprendre le rôle de médiation indispensable des formateurs d’enseignants, à l’interface de l’expérience de terrain et des savoirs théoriques universitaires."
Le rôle du formateur n’est pas de donner des recettes ou des réponses prêtes à l’emploi, mais au contraire de permettre aux enseignants débutants d’investir une posture réflexive sur leur pratique de classe, de trouver leurs propres méthodes pour intéresser leurs élèves. Le métier de formateur repose aussi bien sur des valeurs que sur des savoir-faire qui impliquent autant une culture scientifique qu’une culture de l’accompagnement.
Dominique Bucheton et Yann Mercier-Brunel proposent de nombreuses pistes pour mieux accompagner les enseignants. Ils analysent les postures et gestes adoptés lors des entretiens et leurs effets positifs ou négatifs sur les enseignants.
Un ouvrage qui vise à faire comprendre le rôle de médiation indispensable des formateurs d’enseignants, à l’interface de l’expérience de terrain et des savoirs théoriques universitaires."
"Cette synthèse représente le fruit du travail collaboratif de ce groupe, dont les participants sont issus d'une quarantaine de conseils de développement répartis sur l'ensemble du territoire. Composée de sept interpellations, déclinées en leviers opérationnels et illustrée par des exemples éclairants, elle présente les réflexions, et initiatives concrètes proposées par le groupe en matière de transition agricole et alimentaire. Elle met également en lumière les enjeux majeurs auxquels sont confrontés nos intercommunalités, tout en soulignant des actions locales inspirantes."
"L’artificialisation des sols, en lien avec l’étalement urbain, est aujourd’hui l’une des causes premières du changement climatique et d’érosion de la biodiversité. Dans le contexte de l’objectif « Zéro artificialisation nette » (ZAN), le Centre de Recherche pour l’Étude et l’Observation des Conditions de Vie (CREDOC) propose une analyse croisée des données sur l’artificialisation des sols et les perceptions de la population française sur leur qualité de vie. Quelles sont les attentes en la matière de la population française ? Comment se situe le besoin de proximité à la nature associée au bien-être et au cadre de vie par rapport au souhait d’un accès facilité à des biens et services nombreux davantage présents dans les espaces artificialisés ?"
"faut-il encore débattre de la transition ? Tous les contributeurs que nous avons interrogés s’accordent pour dire que, vu l’ampleur des changements engagés, vouloir passer en force ne produirait pas les résultats escomptés. C’est ce qui ressort également de trois notes de lecture[3] que nous ajoutons à ce dossier, qui résument des propos tenus par le philosophe Dominique Bourg, le politologue François Gemenne et l’essayiste Antoine Buéno autour de l’idée, largement évoquée dans les médias, d’une improbable « dictature verte ». Mais pour autant, le débat sur le bon débat n’est pas clos."
"Avec Juliette Landry, chercheuse à l’Institut du développement durable et des relations internationales et Paul Tourneur, écologue, chef de projet biodiversité à l’ONF."
"Depuis décembre 2023, les données produites par Météo-France sont disponibles librement. Celles collectées par l’ensemble des stations météorologiques françaises, depuis leur ouverture, ont été mises en ligne. Tout comme les « données climatologiques de référence pour le changement climatique », recommandées pour la réalisation de diagnostics et d’études. Elles pourront être très utiles au secteur agricole et à la recherche, notamment pour des travaux de modélisation portant sur l’atténuation ou l’adaptation au changement climatique."
"Les auteurs dégagent des attentes convergentes dans les points de vue recueillis, qui sont autant de prérequis pour un futur label alimentaire : construire la crédibilité et la confiance grâce à des normes transparentes et un suivi strict par l’UE ; transmettre efficacement l’information au consommateur ; souligner le lien entre le service écosystémique et le produit ; générer des incitations économiques pour les agriculteurs."
"Dans un article publié en novembre 2023 dans Ecological Economics, des chercheurs étudient le lien entre commercialisation en circuits courts et utilisation de produits phytosanitaires en maraîchage. Les circuits courts, qu’il s’agisse de vente directe ou avec un intermédiaire, suscitent des controverses quant à leurs effets socio-économiques et environnementaux. Si certains y voient le moyen d’une meilleure rémunération des agriculteurs et d’une production plus durable, d’autres considèrent qu’ils ne sont intrinsèquement pas plus performants que les filières longues.
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"Infolettre « Chaleur humaine ». Quatre épisodes du podcast pour comprendre comment engager une transition agricole, meilleure pour notre santé et notre environnement. "