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"enser les bouleversements climatiques et écologiques en cours nécessite de mobiliser tous les espaces épistémiques et cognitifs qui traversent nos sociétés. Une nouvelle ère climatique, une telle bifurcation de la trajectoire de nos modes d’habitabilité sur Terre, ne peuvent laisser nos contenus, nos cadrages et nos institutions pédagogiques intactes. La facilité ici consisterait à se conforter dans l’idée que nos schémas épistémiques, nos établissements, nos disciplines, seraient naturellement bien armés pour penser et agir à la hauteur de nos situations critiques. Il suffirait alors de faire un aggiornamento de nos réflexes pédagogiques pour « prendre en compte » la nouvelle situation écologique planétaire. Cet ouvrage nous invite à aller au-delà d’une simple actualisation de l’éducation au développement durable. Il rassemble des témoignages qui ont pour commun de penser et proposer des expériences pédagogiques situées, non pas sur l’anthropocène, mais depuis l’anthropocène. Loin de se cantonner à dresser un inventaire critique des options pédagogiques présentes, les contributions rassemblées ici cherchent à bâtir une stratégie pédagogique à la hauteur des enjeux épistémiques que génère l’urgence écologique et climatique. Elles nous invitent donc bien sûr à mettre à l’épreuve nos modèles pédagogiques, disciplinaires et institutionnels, mais aussi à porter une vigilance conceptuelle et méthodologique accrue pour sortir d’une vision téléologique, scientiste et apolitique de l’anthropocène."
"S'intéresser à la vie scolaire dans les établissements du second degré, c’est enquêter sur les schèmes qui la sous-tendent et questionner le type d’éducation que l’on souhaite pour les générations présentes et à venir. L’originalité de cet ouvrage est d’étudier la vie scolaire comme un espace singulier, ni vraiment dans la classe ni tout à fait en dehors des apprentissages curriculaires, comme une hétérotopie concrète au sens de Foucault, questionnant la forme scolaire et la formation du citoyen.
En quoi la vie scolaire, souvent considérée comme marginale, peut-elle constituer un espace éducatif formateur entre socialisation et émancipation? Dans quelle mesure dessine-t-elle une conception nouvelle de l’adolescent et de l’école? Comment les idées et les valeurs portées par les surveillants généraux puis par les conseillers principaux d’éducation contribuent-elles à fonder la vie scolaire et à en dessiner les multiples figures dans une école ouverte à tous?
Cette étude socio-historique de la construction de la vie scolaire prend appui sur une revue professionnelle du domaine diffusée de 1960 à 2016. Elle ouvre un questionnement philosophique sur l’école d’aujourd’hui, le partage qui s’y opère entre instruction et éducation et ses possibilités d’émancipation. Au moment où se dessine une nouvelle réforme des lycées, cette réflexion est plus que jamais d’actualité.
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En quoi la vie scolaire, souvent considérée comme marginale, peut-elle constituer un espace éducatif formateur entre socialisation et émancipation? Dans quelle mesure dessine-t-elle une conception nouvelle de l’adolescent et de l’école? Comment les idées et les valeurs portées par les surveillants généraux puis par les conseillers principaux d’éducation contribuent-elles à fonder la vie scolaire et à en dessiner les multiples figures dans une école ouverte à tous?
Cette étude socio-historique de la construction de la vie scolaire prend appui sur une revue professionnelle du domaine diffusée de 1960 à 2016. Elle ouvre un questionnement philosophique sur l’école d’aujourd’hui, le partage qui s’y opère entre instruction et éducation et ses possibilités d’émancipation. Au moment où se dessine une nouvelle réforme des lycées, cette réflexion est plus que jamais d’actualité.
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"Quels usages les classes populaires font-elles de l’informatique connectée ? De quelle manière les inégalités sociales cadrent-elles les pratiques numériques ? Comment ces pratiques influencent-elles, en retour, les existences des plus modestes ? Cet ouvrage entend apporter des réponses à ces questions et à quelques autres que la littérature en sciences sociales a souvent traitées sous les auspices de la « fracture numérique ». La perspective ici mobilisée se détourne néanmoins de ce type d’approches et fait sienne l’idée de logiques d’action qui empruntent à la fois aux propriétés sociales des acteurs et des contextes. Les usages des TNIC (technologies numériques d’information et de communication) tiennent à des compétences pratiques, ainsi qu’à des inclinations à agir, croire, penser, sentir, etc. qui, dans le cours de l’action, vont à la rencontre de la matérialité de l’informatique connectée qui est également sociale. Les TNIC équipent les existences populaires, leur donnent des moyens, mais elles peuvent aussi, par leur omniprésence, devenir des agencements dispositionnels et participer au maintien, au renforcement ou à l’infléchissement des parcours biographiques. Depuis ce cadre général sont discutés différents aspects des « inégalités socialesnumériques » (e-exclusion, illectronisme, abandonnisme, inégalités algorithmiques, etc.) qui sont mis en regard des situations et des positions sociales de ceux qui les subissent. Cette pérégrination dans les pratiques populaires de l’informatique connectée permet également d’ouvrir un ensemble de réflexions connexes portant sur la notion de capital numérique, les processus de dématérialisation des services publics, ou encore, la place des émotions dans les mobilisations en ligne des Gilets jaunes."
""(...) enseigner dans la nature, faire entrer la nature dans l’école, accompagner l’élève dans la découverte du monde extérieur, le mettre en situation de l’observer et de le décrire, de faire des hypothèses et d’expérimenter, de comprendre la solidarité profonde qui unit les humains et la planète, c’est conférer au professeur d’aujourd’hui une mission essentielle : permettre à la génération qui vient de donner un avenir à son futur.
Certes, les tentatives pour éduquer dans et avec la nature ne datent pas d’aujourd’hui. Les auteurs expliquent qu’il s’agit d’une tradition pédagogique qui, de Rousseau à l’Éducation nouvelle, de classes-promenades aux Forests Schools, a largement démontré sa fécondité. Mais ils nous disent aussi que ce qui était utile hier devient aujourd’hui urgent pour former les citoyens de demain.
Certes, on a pu croire parfois, avec beaucoup de naïveté, que « la reconnexion » avec la nature s’opérait spontanément et résolvait miraculeusement tous les problèmes. Les auteurs démontrent que cela requiert, au contraire, une réflexion didactique dont ils nous livrent précisément les clés. Pour faire ses premiers pas comme pour mener des projets collectifs sur le long terme. Pour repenser son enseignement de manière à la fois vivante et rigoureuse.""
Certes, les tentatives pour éduquer dans et avec la nature ne datent pas d’aujourd’hui. Les auteurs expliquent qu’il s’agit d’une tradition pédagogique qui, de Rousseau à l’Éducation nouvelle, de classes-promenades aux Forests Schools, a largement démontré sa fécondité. Mais ils nous disent aussi que ce qui était utile hier devient aujourd’hui urgent pour former les citoyens de demain.
Certes, on a pu croire parfois, avec beaucoup de naïveté, que « la reconnexion » avec la nature s’opérait spontanément et résolvait miraculeusement tous les problèmes. Les auteurs démontrent que cela requiert, au contraire, une réflexion didactique dont ils nous livrent précisément les clés. Pour faire ses premiers pas comme pour mener des projets collectifs sur le long terme. Pour repenser son enseignement de manière à la fois vivante et rigoureuse.""
"Les représentations sociales sont à la base de notre vie psychique. C’est à elles que nous faisons le plus facilement et le plus spontanément appel pour nous repérer dans notre environnement physique et humain. Situées à l’interface du psychologique et du sociologique, elles sont enracinées au cœur du dispositif social.
Quelles représentations de l’autre et des relations sociales englobent-elles ? En quoi constituent-elles des éléments fondamentaux de notre épistémologie, et notamment de l’élaboration du sens commun ?"
Quelles représentations de l’autre et des relations sociales englobent-elles ? En quoi constituent-elles des éléments fondamentaux de notre épistémologie, et notamment de l’élaboration du sens commun ?"
À l'heure où la défense des « éducations à l'égalité » semble plus audible et plus urgente et où les polémiques autour de la « théorie du genre » à l’école dramatisent la nécessité de se positionner en tant que féministe sur le terrain éducatif, cet ouvrage constitue une rupture épistémologique avec des impératifs tactiques qui semblent s’imposer d’eux-mêmes. En refusant de considérer qu’il va de soi que l’éducation est une modalité de la lutte féministe, l’autrice se propose de faire un pas de côté afin de mener un travail de clarification conceptuelle. Il s’agit ici de suspendre le postulat selon lequel l’éducation serait une évidence féministe pour laquelle les seules questions qui persistent seraient d’ordre technique, et se réduiraient au « comment faire ? », afin de revenir à une interrogation plus fondamentale, celle du « pourquoi faire ? ». En effet, si l’éducation est bien omniprésente historiquement dans les revendications féministes, sa place mérite d’être problématisée philosophiquement. Alors même que le féminisme connaît de nombreuses transformations et variations, l’éducation en est une constante historique, et c’est précisément pour cela qu’elle mérite d’être étudiée de façon critique : la forte persistance de cette tradition jette en effet un soupçon sur sa consistance théorique et politique. De l’éducation conçue comme un droit auquel les femmes devraient également avoir accès jusqu’aux institutions éducatives utopiques qui subvertissent la frontière entre privé et public, en passant par la coéducation, la sororité émancipatrice et les pédagogies féministes, cette recherche vise à mettre en lumière les partis-pris épistémologiques, les dialectiques et les tensions qui traversent la conceptualisation de l’éducation au prisme des féminismes.
"De nombreuses organisations lancent aujourd'hui des évaluations pour juger des effets de leurs interventions. C'est notamment le cas dans les domaines agricole, alimentaire et forestier. Pour autant, les bases théoriques de l'évaluation demeurent mal connues, et il existe peu de références francophones en la matière. Pour pallier ce manque, un collectif de praticiens et de chercheurs a réuni les traductions en français de textes fondateurs et contemporains sur le sujet."
"Avec la « résonance », Hartmut Rosa a proposé un concept pour remédier à l’accélération hégémonique et réifiante du capitalisme rentier et spéculatif, qui nous condamne à la croissance et à la surchauffe. Pour lui, la transformation en profondeur de nos sociétés ne se réalisera que si nous acceptons d’entrer dans un nouveau rapport au monde, marqué par une relation « responsive » avec lui.
En quoi cette résonance peut-elle bien consister concrètement ? Et surtout en quoi pourrait-elle aider les jeunes générations à vivre avec la réalité de l’Anthropocène, chaque jour plus prégnante ? La résonance, au contraire de l’éducation au « développement durable », semble un nouveau paradigme à même de faire advenir un autre monde, où ne s’opposeraient plus humainécos et non-humains.
Avec Hartmut Rosa, le temps est venu d’écouter ce que le monde a à nous dire…"
En quoi cette résonance peut-elle bien consister concrètement ? Et surtout en quoi pourrait-elle aider les jeunes générations à vivre avec la réalité de l’Anthropocène, chaque jour plus prégnante ? La résonance, au contraire de l’éducation au « développement durable », semble un nouveau paradigme à même de faire advenir un autre monde, où ne s’opposeraient plus humainécos et non-humains.
Avec Hartmut Rosa, le temps est venu d’écouter ce que le monde a à nous dire…"
"rois concepts,« rapport aux savoirs », « contexte » et « réflexivité », servent de fil conducteur à l'ouvrage. Ils constituent à la fois des entrées dans les contributions, offrant divers partis pris de lecture possibles, et participent à leur interrogation tout en mettant au jour des émergences. Le lecteur y trouvera différents points d'ancrage pour explorer la réalité complexe des métiers de l'humain, dans un monde en mutation. Dix ans après sa constitution, le réseau IDEKI (Didactiques et métiers de l'Humain) propose dans cet ouvrage une approche dialogique des savoirs : entre apprendre, s'apprendre, faire apprendre."
"Dans le cadre des approches sensibles en sciences humaines et sociales, les émotions ne sont plus considérées comme des perturbateurs de l'analyse mais comme des sésames d'accès à la compréhension humaine. Elles deviennent des guides utiles, des opératrices d'inclinaisons, voire de bifurcations dans la recherche scientifique. émotion et cognition sont donc, pour le pire et le meilleur, définitivement intriquées."
"L’objet de l’essai Biodiversité. Un nouveau récit à écrire de Jacques Blondel n’est pas, comme son titre pourrait le suggérer, un traité sur la diversité du vivant. C’est l’histoire des interactions de l’humanité avec son environnement et les autres vivants vue par un écologue à la lumière des sciences de l’écologie et de l’évolution. Cette histoire s’étend des origines de notre espèce jusqu’à nos jours, une époque où nos activités ont pris une telle ampleur qu’elles menacent la viabilité de nos sociétés et la survie d’une grande partie de la vie sauvage."
voir aussi : Humains et animaux dans les agricultures alternatives. La domination en question. Denise Van Dam, Jean Nizet, Michel Streith (Eds) Educagri, 2019, 251 p.
voir aussi : Humains et animaux dans les agricultures alternatives. La domination en question. Denise Van Dam, Jean Nizet, Michel Streith (Eds) Educagri, 2019, 251 p.
Auteur(s) : MECHI Aneta, CHANGKAKOTI Nilima, MOTTET Geneviève, SANCHEZ-MAZAS Margarita
Editeur(s) : L'Harmattan
288 p., 29€
Année d'édition : 2021 (paru en novembre 2021)
Des publics scolaires perçus comme difficiles et des problématiques vues sous l'angle des risques dessinent un tableau bien sombre des réalités scolaires actuelles. La tentation de resserrer la vis ou de lisser les disparités oppose à la « menace islamiste », à la diversité culturelle des élèves, aux inégalités sociales, des réponses réductrices marquées par la méfiance. Cet ouvrage restitue la complexité des enjeux actuels de l'institution scolaire. Il convoque des auteurs qui s'accordent à souligner la dimension éducative de ces nouveaux défis et à proposer une approche pédagogique située, sous le signe de la prévention et de la reconnaissance.
Editeur(s) : L'Harmattan
288 p., 29€
Année d'édition : 2021 (paru en novembre 2021)
Des publics scolaires perçus comme difficiles et des problématiques vues sous l'angle des risques dessinent un tableau bien sombre des réalités scolaires actuelles. La tentation de resserrer la vis ou de lisser les disparités oppose à la « menace islamiste », à la diversité culturelle des élèves, aux inégalités sociales, des réponses réductrices marquées par la méfiance. Cet ouvrage restitue la complexité des enjeux actuels de l'institution scolaire. Il convoque des auteurs qui s'accordent à souligner la dimension éducative de ces nouveaux défis et à proposer une approche pédagogique située, sous le signe de la prévention et de la reconnaissance.
Auteur(s) : CAPRON-PUOZZO Isabelle
Editeur(s) : Editions Academia
168 p., 17€
Année d'édition : 2021 (paru en mai 2021)
Ce livre aborde le management de l'innovation au sein d'une institution publique de formation. Soutenu par une démarche de recherche, il donne un exemple concret sur comment refonder une stratégie institutionnelle en se basant sur un management orienté humain et créatif. À partir de techniques de design thinking, il s'agit non seulement d'avoir des pistes concrètes pour élaborer des axes stratégiques, mais aussi de pouvoir être prospectif en créant le monde de demain.
Editeur(s) : Editions Academia
168 p., 17€
Année d'édition : 2021 (paru en mai 2021)
Ce livre aborde le management de l'innovation au sein d'une institution publique de formation. Soutenu par une démarche de recherche, il donne un exemple concret sur comment refonder une stratégie institutionnelle en se basant sur un management orienté humain et créatif. À partir de techniques de design thinking, il s'agit non seulement d'avoir des pistes concrètes pour élaborer des axes stratégiques, mais aussi de pouvoir être prospectif en créant le monde de demain.
Auteur(s) : GALLAND Benoît
Editeur(s) : Éditions Retz
Mythes et réalités, 160 p., 9€
Année d'édition : 2021 (paru en septembre 2021)
Décryptez les idées reçues qui alimentent les débats en matière d'éducation, avec ce nouveau titre sur le harcèlement scolaire, de la collection Mythes et réalités.
Longtemps occultée, la réalité du harcèlement à l’école et de ses prolongements digitaux (le cyberharcèlement) est désormais mieux identifiée par l’ensemble de la communauté éducative.
Les chiffres restent glaçants : plus d’un élève sur dix y serait confronté, parfois un sur cinq.
Désormais, la parole se libère peu à peu. Victimes et parents livrent des témoignages souvent poignants, parfois tragiques. Ces situations, très chargées émotionnellement, viennent heurter notre imaginaire collectif, ainsi qu’une certaine vision de l’enfance et de l’école.
Pour lutter contre ce fléau, il est essentiel de bien comprendre les tenants et les aboutissants du harcèlement à l'école. Mais, face à un phénomène si protéiforme, encore faut-il accepter de réinterroger ses propres idées reçues.
C’est ce que propose Benoît Galand dans cet ouvrage, en s’appuyant sur les nombreux travaux de recherche consacrés au harcèlement.
Editeur(s) : Éditions Retz
Mythes et réalités, 160 p., 9€
Année d'édition : 2021 (paru en septembre 2021)
Décryptez les idées reçues qui alimentent les débats en matière d'éducation, avec ce nouveau titre sur le harcèlement scolaire, de la collection Mythes et réalités.
Longtemps occultée, la réalité du harcèlement à l’école et de ses prolongements digitaux (le cyberharcèlement) est désormais mieux identifiée par l’ensemble de la communauté éducative.
Les chiffres restent glaçants : plus d’un élève sur dix y serait confronté, parfois un sur cinq.
Désormais, la parole se libère peu à peu. Victimes et parents livrent des témoignages souvent poignants, parfois tragiques. Ces situations, très chargées émotionnellement, viennent heurter notre imaginaire collectif, ainsi qu’une certaine vision de l’enfance et de l’école.
Pour lutter contre ce fléau, il est essentiel de bien comprendre les tenants et les aboutissants du harcèlement à l'école. Mais, face à un phénomène si protéiforme, encore faut-il accepter de réinterroger ses propres idées reçues.
C’est ce que propose Benoît Galand dans cet ouvrage, en s’appuyant sur les nombreux travaux de recherche consacrés au harcèlement.
"Attentive aux statistiques, absorbée par les problèmes de gestion de flux, notre École oublie parfois ce qui la fonde : la transmission des savoirs. Certes, les polémiques font rage sur la baisse du niveau ou l'effondrement de l'autorité des maîtres, mais, paradoxalement, les questions essentielles restent largement absentes :
« Qu'est-ce qui fait qu'un élève, à un moment donné, peut se mobiliser sur des savoirs ?
Qu'est-ce qui l'aide à se détourner des satisfactions immédiates et des sollicitations marchandes pour se consacrer à des questions savantes et complexes ?
Quelles satisfactions peut-il y trouver ? »
L'ouvrage de Jean-Pierre Astolfi apporte, sur ces problèmes cruciaux, des éclairages décisifs. Il montre que, loin de devoir édulcorer les savoirs ou dissoudre les disciplines scolaires, l'École doit ouvrir chaque enfant à une vision experte du monde. Ainsi, en faisant découvrir la jouissance du comprendre, l'enseignant contribue tout autant à la construction des connaissances qu'à celle du sujet et de la socialité.
Illustré de nombreux exemples concrets dans toutes les disciplines, mobilisant les recherches les plus récentes, ce livre constitue tout à la fois un outil précieux pour tous les enseignants et un magnifique éloge du métier d'enseigner."
« Qu'est-ce qui fait qu'un élève, à un moment donné, peut se mobiliser sur des savoirs ?
Qu'est-ce qui l'aide à se détourner des satisfactions immédiates et des sollicitations marchandes pour se consacrer à des questions savantes et complexes ?
Quelles satisfactions peut-il y trouver ? »
L'ouvrage de Jean-Pierre Astolfi apporte, sur ces problèmes cruciaux, des éclairages décisifs. Il montre que, loin de devoir édulcorer les savoirs ou dissoudre les disciplines scolaires, l'École doit ouvrir chaque enfant à une vision experte du monde. Ainsi, en faisant découvrir la jouissance du comprendre, l'enseignant contribue tout autant à la construction des connaissances qu'à celle du sujet et de la socialité.
Illustré de nombreux exemples concrets dans toutes les disciplines, mobilisant les recherches les plus récentes, ce livre constitue tout à la fois un outil précieux pour tous les enseignants et un magnifique éloge du métier d'enseigner."
"Comment notre corps, notre environnement et nos relations sociales agissent sur nos capacités cognitives? Voilà à quoi tente de répondre la journaliste scientifique Annie Murphy Paul dans ce livre plus que recommandable.
J'y ai trouvé des pistes très intéressantes, toujours basées sur de récentes études scientifiques, pour mieux mémoriser, communiquer, s'organiser dans son travail mais aussi pour mieux travailler en équipe."
J'y ai trouvé des pistes très intéressantes, toujours basées sur de récentes études scientifiques, pour mieux mémoriser, communiquer, s'organiser dans son travail mais aussi pour mieux travailler en équipe."
"La crise sanitaire qui nous a conduit à un confinement total est tombée sur l'école comme une chape de plomb, venant bouleverser le quotidien des élèves, des enseignants et de tous les autres personnels qui participent à l'éducation. Comment pouvaient-ils travailler dans cette parenthèse ? L'école, avec une capitale, représente l'institution, le projet et ses structures administratives et humaines. L'école, avec la simple minuscule des lieux habituels, c'est le creuset au sein duquel les missions de l'école prennent forme. Que se passe-t-il quand on se retrouve avec une école sans école ? Qu'est-ce qui se dévoile, rebondit dans toute la société et produit des désirs nouveaux pour les enfants comme pour les enseignants et les parents ?
Ce livre réunit les contributions de professionnels et d'élèves autour de ces questions à travers trois thématiques : participer, accompagner et connecter."
Ce livre réunit les contributions de professionnels et d'élèves autour de ces questions à travers trois thématiques : participer, accompagner et connecter."
"À la fois sorte de récit épistolaire, longue conversation écrite entre six amoureux de l’école, d’âges, d’origines et de statuts différents, et ouvrage militant qui, racontant les trois premières années d’un ministre de l’Éducation nationale, part d’un constat pour poser des questions et leur apporter des éléments de réponse concrète. Le constat est que, depuis qu’elle est républicaine, l’école en France et la démocratie se cherchent, se tournent autour, se rapprochent parfois l’une de l’autre, d’assez près à certains moments, pour se trouver finalement séparées, chaque fois, par des événements divers. Questions : comment une école républicaine peut-elle n’être pas démocratique ? Pourquoi faut-il qu’elle le soit ? Comment s’y prendre pour qu’elle le devienne ? Le lecteur trouvera des réponses précises aux deux premières, et pour la troisième, des pistes concrètes, inspirées de tentatives réelles, ayant eu des réussites intéressantes et parfois durables. Les auteurs de l’aventure : Un inspecteur de l’Éducation nationale en retraite, Simon, souhaitant garder l’anonymat. Deux anciens instituteurs, Jean-Louis Briand et Alain Miossec. Un psychologue scolaire, retraité lui aussi, Laurent Carle. Un professeur des écoles en activité, David Sire. Une femme, professeure honoraire d’école normale, puis d’Institut universitaire de formation d’enseignants, Éveline Charmeux, qui a coordonné l’ouvrage."
"Véritable panorama des concepts et méthodes fondamentales en didactique.
Ce Traité est un véritable outil pour s’initier aux didactiques. Il en présente les notions et concepts les plus importants. Chacun d’entre eux fait l’objet d’une présentation synthétique accompagnée des questions qu’il éclaire, des débats qu’il génère et d’une brève bibliographie de travail
Trois outils complètent cet ouvrage :
un index de notions complémentaires;
une liste de revues, associations et sites didactiques
et une bibliographie générale, comprenant plus de huit cents titres dans les différentes didactiques, permettant ainsi à chacun d’aller plus loin, en fonction de ses besoins et de ses intérêts."
Ce Traité est un véritable outil pour s’initier aux didactiques. Il en présente les notions et concepts les plus importants. Chacun d’entre eux fait l’objet d’une présentation synthétique accompagnée des questions qu’il éclaire, des débats qu’il génère et d’une brève bibliographie de travail
Trois outils complètent cet ouvrage :
un index de notions complémentaires;
une liste de revues, associations et sites didactiques
et une bibliographie générale, comprenant plus de huit cents titres dans les différentes didactiques, permettant ainsi à chacun d’aller plus loin, en fonction de ses besoins et de ses intérêts."