15376 shaares
1427 liens privés
1427 liens privés
1525 résultats
taggé
bulagri
"Réalisé à partir des travaux des animateurs Réso’them et de leur expérience de terrain, ce mémento a pour objectif d’accompagner le processus de reconception dans l’enseignement agricole pour accompagner l’agroécologie et les transitions. Il fournit des repères, des outils et des références pour enseigner et pratiquer des stratégies de reconception. "
"il a été décidé d’étudier la cohabitation du loup et de l’élevage en France avec un regard « One Welfare » : Quels sont les impacts de la cohabitation du loup et de l’élevage sur le One Welfare aujourd’hui ? Et si on se projette dans 30 ans ?"
"Dans le cadre d’un partenariat entre la DGER et l’OFB nous avons travaillé sur la thématique du retour du loup en France et donc de sa cohabitation avec l’élevage, thématique grandissante. Nous avons abordé cette thématique au travers d’une séance où les apprenants ont pu construire le schéma de la controverse de ce retour du loup. Ils ont donc pu appréhender la multitude d’acteurs mis en jeu ainsi que la complexité de ce sujet."
"Dans un monde chahuté, quelle place allons-nous accorder aux forêts, s’interroge cette série. Après un premier épisode sur l’état des espaces forestiers en France, on se penche sur le rôle clé que peuvent jouer les arbres dans les champs."
"L’objectif de cette boite à outil est de fournir des supports, des outils et des animations sur le sujet de l’élevage et de son impact environnemental pour construire ou compléter des interventions existantes. Elle a été construite à la fin du projet Life Carbon dairy par IDELE et ses partenaires techniques (ECEL) avec la collaboration du CEZ de Rambouillet, et d’enseignants."
"Le culte de la performance conduit notre société à mettre en avant les valeurs de la réussite et de l’optimisation permanente dans tous les domaines. La lenteur, la redondance, l’aléatoire sont alors perçus négativement. Olivier Hamant, dans ce livre, tente de les réhabiliter en s’appuyant sur sa connaissance des processus du vivant.
Que nous apprennent les sciences de la vie ? S’il existe bien des mécanismes biologiques remarquablement efficaces, des progrès récents mettent surtout en avant le rôle fondamental des erreurs, des lenteurs, des incohérences dans la construction et la robustesse du monde naturel. Le vivant serait-il alors sous-optimal ? En quoi une sous-optimalité d’inspiration biologique peut-elle constituer un contre-modèle au credo de la performance et du contrôle dans l’Anthropocène ?
Face aux constats pessimistes et aux alarmes environnementales, l’auteur propose des pistes d’action pour éviter la catastrophe et esquisse des solutions pour un avenir viable et réconcilié avec la nature.
Olivier Hamant est chercheur à l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae) au sein de l’École normale supérieure de Lyon. Biologiste interdisciplinaire, il a publié une centaine d’articles scientifiques, notamment sur les mécanismes cellulaires guidant la forme des plantes. Il dirige également l’Institut Michel-Serres et assure des formations sur la nouvelle relation de l’humanité à la nature. "
Que nous apprennent les sciences de la vie ? S’il existe bien des mécanismes biologiques remarquablement efficaces, des progrès récents mettent surtout en avant le rôle fondamental des erreurs, des lenteurs, des incohérences dans la construction et la robustesse du monde naturel. Le vivant serait-il alors sous-optimal ? En quoi une sous-optimalité d’inspiration biologique peut-elle constituer un contre-modèle au credo de la performance et du contrôle dans l’Anthropocène ?
Face aux constats pessimistes et aux alarmes environnementales, l’auteur propose des pistes d’action pour éviter la catastrophe et esquisse des solutions pour un avenir viable et réconcilié avec la nature.
Olivier Hamant est chercheur à l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae) au sein de l’École normale supérieure de Lyon. Biologiste interdisciplinaire, il a publié une centaine d’articles scientifiques, notamment sur les mécanismes cellulaires guidant la forme des plantes. Il dirige également l’Institut Michel-Serres et assure des formations sur la nouvelle relation de l’humanité à la nature. "
"Le temps est venu pour l’agroécologie de changer d’échelle : une production intégralement agroécologique, exempte de pesticides et d ’engrais de synthèse, est aujourd’hui envisageable à travers toute l’Europe. Au cœur de ce modèle porté par une nouvelle génération d’agriculteurs et d’agronomes : la disparition de l’élevage industriel qui rend possible l’autonomie fourragère et améliore la contribution de l’Europe aux équilibres alimentaires mondiaux. Loin d’être réservée à quelques fermes pionnières, l’agroécologie peut transformer en profondeur nos paysages pour le plus grand bénéfice du climat, de notre santé ainsi que celle de la faune et de la flore. Appuyant son propos sur une modélisation quantifiée, cet ouvrage explore également les modes d’organisation sociale et économique et les choix politiques qui peuvent rendre ce scénario plausible et désirable.
On a dix ans pour lancer l’Europe sur les rails de l’agroécologie afin qu’en 2050 l’hypothèse devienne réalité."
On a dix ans pour lancer l’Europe sur les rails de l’agroécologie afin qu’en 2050 l’hypothèse devienne réalité."
"L’objet “pesticides” en sciences humaines et sociales. Quels savoirs pour quelle transition écologique ? ». Les communications ont permis d’aborder la question plus spécifique des significations et des usages sociaux de la notion de « transition écologique » et des possibles retombées de ces savoirs sur la « transition"
podcast
"Il présente un article collectif écrit sur les différents modèles de l’agriculture durable en Occident, leurs valeurs et leurs fonctionnements. Mais comment les identifier et qu’est-ce qui peut pousser un agriculteur à effectuer cette transition ?"
"Il présente un article collectif écrit sur les différents modèles de l’agriculture durable en Occident, leurs valeurs et leurs fonctionnements. Mais comment les identifier et qu’est-ce qui peut pousser un agriculteur à effectuer cette transition ?"
"Malgré un foisonnement de solutions numériques dédiées à l’agriculture (logiciels spécialisés, objets connectés, services Web) et les promesses dont elles sont porteuses, peu d’entre elles ont été largement adoptées par les agriculteurs. Le RMT NAEXUS propose, dans un dossier, la synthèse d’une conférence organisée sur ce thème. Les étapes du processus d’adoption y sont décrites ainsi que les différents facteurs identifiés comme freins ou leviers. Le manque d’adéquation entre les outils proposés et les besoins réels du terrain est mis en exergue et des pistes sont suggérées pour y remédier : formation des conseillers agricoles, co-construction, plateforme d’échanges entre utilisateurs, démonstration des outils, etc. Ce dossier se conclut par des fiches de présentation de plusieurs réseaux d’évaluation existants."
"Le projet consiste en la réalisation d’une séquence d’enseignement sur la thématique des mycorhizes, avec un groupe de BP REA maraichage en formation continue.
L’originalité réside dans l’utilisation du dispositif de jeu sérieux MYMYX, qui permet aux apprenants de s’interroger sur les rôles des mycorhizes et sur les pratiques agricoles qui favorisent leur développement, dans une perspective agroécologique. Le jeu comporte un temps d’échange sur ces thèmes puis un temps plus ludique qui permet de visualiser le réseau de champignons."
L’originalité réside dans l’utilisation du dispositif de jeu sérieux MYMYX, qui permet aux apprenants de s’interroger sur les rôles des mycorhizes et sur les pratiques agricoles qui favorisent leur développement, dans une perspective agroécologique. Le jeu comporte un temps d’échange sur ces thèmes puis un temps plus ludique qui permet de visualiser le réseau de champignons."
"Carte Adonis d'utilisation des pesticides en France
Indice de fréquence de traitement phytosanitaire des surfaces agricoles"
Indice de fréquence de traitement phytosanitaire des surfaces agricoles"
"Thésaurus ouvert et partagé couvrant les domaines de recherche d’INRAE. Il sert de référentiel au sein de l’institut pour indexer et annoter des documents, pages web, descriptions d’activités, jeux de données, à des fins de recherche ou d’analyse de l’information."
"Mener la transition vers une économie et une société décarbonée et résiliente est un défi qui concerne tous les secteurs de la société. Cela suppose de former tous les étudiants et étudiantes aux enjeux socio-écologiques, bien que de manière différenciée, dans toutes les disciplines. L’ingénieur, parce qu’il se situe historiquement la croisée d’objectifs sociétaux et de contingences matérielles, est déterminant dans la transition socio-écologique. Damien Amichaud pilote le projet de transformation des écoles d’ingénieurs au Shift Project. Ingénieur diplômé de l’Ecole des Mines de Douai et titulaire d’un Master à l’Université Lyon 3 en Éthique, Écologie et Développement Durable, il est convaincu que la génération de jeunes ingénieur.e.s jouera un rôle fondamental dans la transition écologique, il interroge le rôle de l’ingénieur pour la société dans ce projet. Alors je lui ai demandé ce qu’il entendait par l’ingénieur comme pilier de la transition écologique et énergétique"
"Dans les pays anglo-saxons, la définition de l’agroécologie inclut le système alimentaire. C’est à mon avis beaucoup plus porteur car si on inclut l’alimentation dans l’agriculture, si on considère que l’agriculture sert d’abord à nourrir les gens, on ne peut pas faire n’importe quoi. En nourrissant les gens, on prend la responsabilité de s’occuper de leur santé, de leur bien-être, de leur qualité de vie. Quand on reste sur la définition agronomique, on trouve toujours des solutions techniques aux défis environnementaux, mais on ne se pose pas la question de la finalité. Faire entrer l’alimentation dans la définition de l’agriculture, c’est un moyen de la transformer. La question centrale est : quelle est la fonction de l'agriculture ? "