15411 shaares
1427 liens privés
1427 liens privés
5051 résultats
taggé
bultice
Motivés pour promouvoir l’écocitoyenneté dans votre entourage,
vous partez à la découverte d’un univers numérique respectueux des
droits humains et environnementaux.
vous partez à la découverte d’un univers numérique respectueux des
droits humains et environnementaux.
"L’intelligence artificielle est aujourd’hui partout dans notre quotidien et bouleverse le monde de l’éducation et de la formation. Au niveau individuel, l’IA générative nous permet d’externaliser une part grandissante des facultés de notre cerveau. Moins sollicités pour produire des calculs, nous pouvons gagner en liberté et en créativité. Mais les usages répétés de l’IA vont-ils atrophier les capacités réflexives de l’espèce humaine ?
Cet ouvrage se veut un « contrepoint » au panégyrique ambiant sur l’intelligence artificielle, dont il brosse les enjeux et les limites. Denis Cristol s’intéresse au croisement de « l’Intelligence Artificielle » et de « l’Apprenance », ce pouvoir, savoir et vouloir apprendre. Il nous explique comment les intelligences artificielles « apprennent » et évoluent, ainsi que leur impact sur notre économie et nos vies. Il nous invite à réfléchir aux implications éthiques de ces avancées technologiques sur la pédagogie, nous plonge dans les prévisions des auteurs de science-fiction et révèle les questions philosophiques qui en découlent.
L’auteur pose plus de 150 questions sans prétendre répondre à toutes : l’IA a-t-elle une conscience et laquelle ? Quelle influence sur nos emplois et sur nos rapports au monde et aux savoirs ? Quels seront les changements pour les formateurs ?
Un livre qui nous invite à cultiver le discernement, à demeurer émotionnels, aléatoires et pourquoi pas aussi critiques et désobéissants !"
Cet ouvrage se veut un « contrepoint » au panégyrique ambiant sur l’intelligence artificielle, dont il brosse les enjeux et les limites. Denis Cristol s’intéresse au croisement de « l’Intelligence Artificielle » et de « l’Apprenance », ce pouvoir, savoir et vouloir apprendre. Il nous explique comment les intelligences artificielles « apprennent » et évoluent, ainsi que leur impact sur notre économie et nos vies. Il nous invite à réfléchir aux implications éthiques de ces avancées technologiques sur la pédagogie, nous plonge dans les prévisions des auteurs de science-fiction et révèle les questions philosophiques qui en découlent.
L’auteur pose plus de 150 questions sans prétendre répondre à toutes : l’IA a-t-elle une conscience et laquelle ? Quelle influence sur nos emplois et sur nos rapports au monde et aux savoirs ? Quels seront les changements pour les formateurs ?
Un livre qui nous invite à cultiver le discernement, à demeurer émotionnels, aléatoires et pourquoi pas aussi critiques et désobéissants !"
Avec le déploiement grand public de ChatGPT, l’intelligence artificielle devient à la mode dans la recherche d’information. Et pourtant, un certain nombre d’outils n’ont pas attendu pour mettre à disposition de la communauté académique des fonctionnalités IA, notamment sémantiques. Quelle est cependant la valeur de ces « systèmes académiques » qui proposent d’« augmenter » les capacités de recherche et de compréhension de la littérature scientifique, voire de devenir de véritables assistants du chercheur ? Et en quoi peuvent-ils compléter des recherches académiques plus classiques ?
1- Sciences, techniques et agricultures. Gouverner pour transformer
L’idée générale part du constat global, et désormais à peu près partagé (ce n’était pas encore le cas il y a une décennie), que la recherche agronomique a été conçue pour moderniser les agricultures mondiales en étant exclusivement basée sur un référentiel techno-industriel productiviste responsable de la crise globale de l’anthropocène. Le défi contemporain est donc de « changer de logiciel », et ce malgré sa formidable efficacité pour répondre aux missions qui étaient les siennes (voire sur ce point la préface de Bertrand Hervieu). Changer la science pour changer le monde qu’elle a largement participé à édifier constitue en somme la problématique de l’ouvrage.
2-Agroécologie(s) : entre survivance du réductionnisme technique et promotion de l’interdisciplinarité et du participatif
L’agroécologie (qui figure parmi les buzzwords bousculés par B. Bensaude-Vicent) est mentionnée dans de nombreuses communications comme un champ de recherche tout à fait essentiel aux transitions. Ces communications permettent de montrer qu’il ne s’agit pas seulement d’un mot d’ordre des gouvernances s’imposant top-down aux chercheurs, mais bien d’un ensemble de recherches et de pratiques plurielles investi par les chercheurs. Voir la partie sur AgroTIC
Voir la description des autres chapitres et notamment celui-ci : le rapprochement que l’auteur opère entre agroécologie et sortie du naturalisme pour refonder les liens de l’agriculture aux non-humains va bien dans le sens de la nécessité de refonder les imaginaires techniques évoquée par R. Larrère. Il s’agit bien de retisser les liens entre l’homme et la nature que la modernité a en partie défaits pour construire l’agroécologie de compagnonnage, sans doute bien plus incompatible avec l’agroécologie du contrôle techniciste que ne le pensent C. Compagnone, J.-C. Glaszmann et ses coauteurs.
3- Histoire des modernisations agricoles au XXe siècle
La conclusion permet aux coordinateurs de dégager plusieurs caractéristiques générales du processus de la modernisation agricole qui, après la fin de la Seconde Guerre mondiale, insère assez diversement les sociétés rurales dans le capitalisme industriel, provoque des transformations profondes non seulement des modes de coordination, des manières de gouverner ou encore d’appréhender les qualités mais produit aussi des altérations biophysiques significatives.
Voir aussi :
Manifeste pour l’écologie humaine
Sortir des crises. One Health en pratiques
Écologie territoriale et transition socio-écologique. Méthodes et enjeux
L’idée générale part du constat global, et désormais à peu près partagé (ce n’était pas encore le cas il y a une décennie), que la recherche agronomique a été conçue pour moderniser les agricultures mondiales en étant exclusivement basée sur un référentiel techno-industriel productiviste responsable de la crise globale de l’anthropocène. Le défi contemporain est donc de « changer de logiciel », et ce malgré sa formidable efficacité pour répondre aux missions qui étaient les siennes (voire sur ce point la préface de Bertrand Hervieu). Changer la science pour changer le monde qu’elle a largement participé à édifier constitue en somme la problématique de l’ouvrage.
2-Agroécologie(s) : entre survivance du réductionnisme technique et promotion de l’interdisciplinarité et du participatif
L’agroécologie (qui figure parmi les buzzwords bousculés par B. Bensaude-Vicent) est mentionnée dans de nombreuses communications comme un champ de recherche tout à fait essentiel aux transitions. Ces communications permettent de montrer qu’il ne s’agit pas seulement d’un mot d’ordre des gouvernances s’imposant top-down aux chercheurs, mais bien d’un ensemble de recherches et de pratiques plurielles investi par les chercheurs. Voir la partie sur AgroTIC
Voir la description des autres chapitres et notamment celui-ci : le rapprochement que l’auteur opère entre agroécologie et sortie du naturalisme pour refonder les liens de l’agriculture aux non-humains va bien dans le sens de la nécessité de refonder les imaginaires techniques évoquée par R. Larrère. Il s’agit bien de retisser les liens entre l’homme et la nature que la modernité a en partie défaits pour construire l’agroécologie de compagnonnage, sans doute bien plus incompatible avec l’agroécologie du contrôle techniciste que ne le pensent C. Compagnone, J.-C. Glaszmann et ses coauteurs.
3- Histoire des modernisations agricoles au XXe siècle
La conclusion permet aux coordinateurs de dégager plusieurs caractéristiques générales du processus de la modernisation agricole qui, après la fin de la Seconde Guerre mondiale, insère assez diversement les sociétés rurales dans le capitalisme industriel, provoque des transformations profondes non seulement des modes de coordination, des manières de gouverner ou encore d’appréhender les qualités mais produit aussi des altérations biophysiques significatives.
Voir aussi :
Manifeste pour l’écologie humaine
Sortir des crises. One Health en pratiques
Écologie territoriale et transition socio-écologique. Méthodes et enjeux
"L’IA d’Instagraph lit un document texte ou une page web, et utilise des techniques de traitement du langage naturel pour en extraire les concepts clés ainsi que les relations entre ces concepts. Il produit ensuite une carte conceptuelle résumant visuellement ces éléments, avec des bulles représentant les idées clés et des liens symbolisant leurs connexions."
Voici quelques-unes des questions qui pourront nourrir notre
réflexion tout au long de la lecture de ce numéro :
→ quels étudiants pour demain et quel bagage auront-ils ? Quelles
seront leurs attentes ?
→ l’IA va-t-elle révolutionner l’orientation ? La formater ?
→ la nécessité de former les enseignants à l’IA et aux données, avoir des IA libres, pour continuer à assurer la liberté académique
réflexion tout au long de la lecture de ce numéro :
→ quels étudiants pour demain et quel bagage auront-ils ? Quelles
seront leurs attentes ?
→ l’IA va-t-elle révolutionner l’orientation ? La formater ?
→ la nécessité de former les enseignants à l’IA et aux données, avoir des IA libres, pour continuer à assurer la liberté académique
podcast
"À l’heure des métamorphoses et des déconstructions, voici une réflexion sur ce que l’on garde, ce que l’on enlève et ce que l’on repose comme fondations solides sur lesquelles nos enfants pourront construire le monde dans lequel ils aimeraient vivre.
Une conversation exceptionnelle en direct du théâtre des Bouffes du Nord entre Alain Damasio, écrivain de science-fiction et Mathieu Baudin, historien et prospectiviste, directeur de l’Institut des Futurs souhaitables et animateur de ce podcast."
Une conversation exceptionnelle en direct du théâtre des Bouffes du Nord entre Alain Damasio, écrivain de science-fiction et Mathieu Baudin, historien et prospectiviste, directeur de l’Institut des Futurs souhaitables et animateur de ce podcast."
" on parle bien d’un partage de géolocalisation sans l’activation de la géolocalisation. On n’est pas du tout lié à un fonctionnement appli, mais quand le téléphone ne fonctionne pas, n’est pas en activité au sens où vous n’êtes pas en train de faire quelque chose dessus, il continue à donner ces informations."
explications et tuto en anglais