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psychologie
"Préjugés et stéréotypes ont évidemment des fonctions sociales, largement rappelées par les travaux de la psychologie sociale. Ils permettraient d’apporter de la cohésion à une communauté donnée et renforceraient les identités de groupe en facilitant l’adhésion à un imaginaire collectif d’autant plus efficace que simplifié.
Mais sous leurs abords naïfs et caricaturaux, préjugés et stéréotypes méritent d’être pris au sérieux. Derrière le gitan « voleur de poule » ou le rom « voleur d’enfants », le juif « âpre au gain » ou l’étranger « consommateur d’allocations », combien de tragédies passées ou actuelles… Marqueurs de l’ignorance, les préjugés constituent d’abord un obstacle à la pensée scientifique et au-delà ils participent de rapports sociaux fondamentaux que le scientifique se doit de dévoiler."
Mais sous leurs abords naïfs et caricaturaux, préjugés et stéréotypes méritent d’être pris au sérieux. Derrière le gitan « voleur de poule » ou le rom « voleur d’enfants », le juif « âpre au gain » ou l’étranger « consommateur d’allocations », combien de tragédies passées ou actuelles… Marqueurs de l’ignorance, les préjugés constituent d’abord un obstacle à la pensée scientifique et au-delà ils participent de rapports sociaux fondamentaux que le scientifique se doit de dévoiler."
"Écologue et naturaliste, Lisa Garnier confronte donc ici deux disciplines apparemment contradictoires, la psychologie positive et l’écologie, et explore une voie constructive dans son enquête sur nos relations émotionnelles à la nature avec une belle érudition. En s’appuyant sur des études scientifiques et des registres variés, de la psychologie environnementale à la résilience, de la biophilie aux bains de forêt, de la résistance à l’intérêt de la diversité en passant par la coopération ou « l’effet waouh » (l’awe anglais), l’autrice rappelle au travers de ce festival de références le pouvoir de la nature sur nos émotions, et comment celle-ci favorise notre épanouissement. Cultivons nos émotions positives, et mettons le nez dehors !"
exercice pour le milieu scolaire
Pour changer les comportements individuels (par exemple pour une meilleure nutrition ou un moindre impact sur l’environnement), il faut sensibiliser, informer, éduquer les individus. Pour comprendre leurs comportements, il faut comprendre ce qui se passe dans la tête des individus. Ce sont ces idées courantes que Saadi Lahlou,, remet fondamentalement en cause. Dans son récent ouvrage « Installation Theory », il défend, de nombreux exemples à l’appui, qu’il vaut mieux changer le monde que changer les gens. Il nous a fait l’honneur de venir à Montpellier nous présenter, en français, son ouvrage dans le cadre du Mastère Spécialisé « Innovations et Politique pour une Alimentation Durable » de SupAgro et du Cirad.
Voir ce qui concerne le psychosocial et les questions du corps et de l'extérieur
"Cet ouvrage apporte une réflexion sur la manière dont les sciences humaines et sociales entrent en compte dans le changement de comportement. Dans une première partie, il est expliqué comment la personne seule peut à son échelle agir en fonction de son environnement proche, mais aussi en étant en groupe, ce qui amène à avoir un regard plus large et à penser par rapport à l'échelle du groupe lui-même ; les actions collectives jouent un rôle plus important dans le changement de comportement, en les abordant d'un point de vue anthropologique et sociologique. Ces actions doivent être pensées en fonction de toutes les contraintes aux dimensions économiques, techniques, sociales et culturelles."
"Dans les années 1950-1960, le professeur de psychologie Clare Graves a tenté de classer et comparer les valeurs de base des humains. Il a découvert huit groupes dans lesquels ont peut réunir les humains qui ont des valeurs communes"