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"Les recherches menées sur le bien-être en contexte scolaire connaissent un véritable essor depuis les années 2000. Ces travaux, anglophones et francophones, s’ils mesurent le bonheur à l’école, révèlent également la relativité des critères de définition du concept de « bien-être ». Les enfants passant une grande partie de leur vie à l’école, la qualité de l’expérience scolaire est essentielle pour le développement de leurs compétences sociales et de leur capacité d’apprentissage. En tant que milieu où surviennent nombre de situations et où gravitent nombre de personnes, l’école doit donc s’efforcer de fournir un environnement sain aux élèves qu’elle accueille – quel que soit leur niveau de scolarisation –, et ce, peu importe les moyens matériels et humains dont elle dispose.
Parmi les disciplines étudiant le bien-être à l’école, la psychopédagogie, qui s’intéresse particulièrement à l’utilisation de théories et de recherches issues du domaine de la psychologie dans la résolution de problèmes en éducation, permet de miser sur le mieux-être des enfants et des adolescents en milieu scolaire. Cet ouvrage, composé de 15 chapitres proposant des réflexions et des travaux belges, canadiens, français et suisses, présente, d’une part, les enjeux du bien-être de l’élève à l’école et, d’autre part, les stratégies gagnantes pour tendre vers cet état de satisfaction. Il s’adresse aux professeurs, aux enseignants, aux futurs enseignants ou aux professionnels des services éducatifs complémentaires, tant pour susciter leurs réflexions que pour les outiller en matière de bien-être à l’école."
Parmi les disciplines étudiant le bien-être à l’école, la psychopédagogie, qui s’intéresse particulièrement à l’utilisation de théories et de recherches issues du domaine de la psychologie dans la résolution de problèmes en éducation, permet de miser sur le mieux-être des enfants et des adolescents en milieu scolaire. Cet ouvrage, composé de 15 chapitres proposant des réflexions et des travaux belges, canadiens, français et suisses, présente, d’une part, les enjeux du bien-être de l’élève à l’école et, d’autre part, les stratégies gagnantes pour tendre vers cet état de satisfaction. Il s’adresse aux professeurs, aux enseignants, aux futurs enseignants ou aux professionnels des services éducatifs complémentaires, tant pour susciter leurs réflexions que pour les outiller en matière de bien-être à l’école."
"Cet ouvrage collectif s'intéresse aux acteurs qui font vivre l’éducation artistique et culturelle, ou eac – enseignants, artistes, familles, médiateurs culturels et professeurs relais – tout en donnant la parole à ses récepteurs, les enfants.
Politique publique d'éducation par l’art et à l’art, l’éducation artistique et culturelle, ou eac, est une mesure phare des politiques culturelles. Centrée principalement sur l’école, elle porte en elle autant d’enjeux démocratiques qu’elle pose de questions méthodologiques. Ses bénéfices sont-ils mesurables ? La fabrique de l’« homo aestheticus » relève-t-elle d’une utopie ?
Cet ouvrage collectif s’intéresse aux acteurs qui font vivre l’eac – enseignants, artistes, familles, médiateurs culturels et professeurs relais – tout en donnant la parole à ses récepteurs, les enfants. De la littérature de jeunesse à l’orchestre Démos en passant par le cinéma, la danse et l’art moderne et contemporain, tout l’éventail des arts et de la culture est mobilisé afin de dresser un état de l’art de l’eac."
Politique publique d'éducation par l’art et à l’art, l’éducation artistique et culturelle, ou eac, est une mesure phare des politiques culturelles. Centrée principalement sur l’école, elle porte en elle autant d’enjeux démocratiques qu’elle pose de questions méthodologiques. Ses bénéfices sont-ils mesurables ? La fabrique de l’« homo aestheticus » relève-t-elle d’une utopie ?
Cet ouvrage collectif s’intéresse aux acteurs qui font vivre l’eac – enseignants, artistes, familles, médiateurs culturels et professeurs relais – tout en donnant la parole à ses récepteurs, les enfants. De la littérature de jeunesse à l’orchestre Démos en passant par le cinéma, la danse et l’art moderne et contemporain, tout l’éventail des arts et de la culture est mobilisé afin de dresser un état de l’art de l’eac."
Citoyenneté, identité, altérité étudie les différentes façons dont ces trois principes sont envisagés et pris en compte dans le cadre scolaire, notamment l’histoire, la géographie et les sciences sociales. Considérées ensemble, la citoyenneté, l’identité et l’altérité font émerger des questions sensibles au sein de la société contemporaine où l’école est généralement envisagée comme la pierre angulaire de leur construction.
Ainsi, les modèles de citoyenneté sont divers, entre adhésion à la nation, à des principes démocratiques et républicains, à la question européenne, ou encore à des principes d’ouverture interculturels et d’engagement dans la société. La première partie traite de la citoyenneté d’adhésion, implicitement présente dans de nombreux curricula, en regroupant les analyses de plusieurs programmes et manuels scolaires provenant d’organisations politiques diverses. La seconde examine des formes encore émergentes de citoyenneté inclusive, où chacun se trouve alors en situation de devenir citoyen, quelle que soit l’échelle de cette citoyenneté.
Ainsi, les modèles de citoyenneté sont divers, entre adhésion à la nation, à des principes démocratiques et républicains, à la question européenne, ou encore à des principes d’ouverture interculturels et d’engagement dans la société. La première partie traite de la citoyenneté d’adhésion, implicitement présente dans de nombreux curricula, en regroupant les analyses de plusieurs programmes et manuels scolaires provenant d’organisations politiques diverses. La seconde examine des formes encore émergentes de citoyenneté inclusive, où chacun se trouve alors en situation de devenir citoyen, quelle que soit l’échelle de cette citoyenneté.
"Il est question d'autorité et de la place de l'Ecole dans la construction de la société. Il est question des exigences de l'éducation. Mais le livre aborde aussi la liberté pédagogique des enseignants face à l'idéologie des "preuves". L'ouvrage plaide pour une école "tisserande" qui puisse répondre aux enjeux de notre temps et aux besoins des petits hommes."
À quoi et comment éduquer nos enfants aujourd’hui ? Dans un monde déchiré et à l’avenir incertain, il est temps de nous redonner ensemble un grand projet éducatif et une vision pour l’école.
Les réformes qui se succèdent sans continuité, les initiatives individuelles qui restent ponctuelles, tout cela ne suffit plus. Il nous faut des finalités capables de mobiliser tous les acteurs de l’éducation. Il nous faut une perspective commune qui puisse, tout à la fois, libérer les initiatives et combler les inégalités, redonner aux éducateurs le goût de l’engagement et permettre à nos enfants et adolescents de retrouver le désir d’apprendre, de comprendre et de réparer le monde.
C’est ce cap clair pour l’école et l’éducation qu’ont cherché ici Abdennour Bidar et Philippe Meirieu. Dans un dialogue en liberté et sans complaisance, le philosophe et le pédagogue ont échangé longuement sur les enjeux auxquels nous avons à faire face et les possibles qui s’ouvrent à nous. Ils appellent à se recentrer autour de quelques principes forts et à transformer radicalement nos institutions éducatives. Ils nous disent que rien n’est perdu si nous savons allier la lucidité et l’imagination, si nous voulons aider les générations qui viennent à « grandir en humanité pour sauver le monde qui vient ».
Les réformes qui se succèdent sans continuité, les initiatives individuelles qui restent ponctuelles, tout cela ne suffit plus. Il nous faut des finalités capables de mobiliser tous les acteurs de l’éducation. Il nous faut une perspective commune qui puisse, tout à la fois, libérer les initiatives et combler les inégalités, redonner aux éducateurs le goût de l’engagement et permettre à nos enfants et adolescents de retrouver le désir d’apprendre, de comprendre et de réparer le monde.
C’est ce cap clair pour l’école et l’éducation qu’ont cherché ici Abdennour Bidar et Philippe Meirieu. Dans un dialogue en liberté et sans complaisance, le philosophe et le pédagogue ont échangé longuement sur les enjeux auxquels nous avons à faire face et les possibles qui s’ouvrent à nous. Ils appellent à se recentrer autour de quelques principes forts et à transformer radicalement nos institutions éducatives. Ils nous disent que rien n’est perdu si nous savons allier la lucidité et l’imagination, si nous voulons aider les générations qui viennent à « grandir en humanité pour sauver le monde qui vient ».
Un ouvrage pour mieux comprendre le système éducatif, son organisation, ses publics, ses enjeux. Distinguer ce qui relève du mythe et ce qui est fondé scientifiquement.
Décryptez les idées reçues qui alimentent les débats en matière d'éducation, avec ce nouveau titre sur les cultures à l'école, de la collection Mythes et réalités.
Apprendre l’ouverture et la tolérance constitue un objectif fondamental de l’école. À ce titre, aux politiques sociales et culturelles se sont vite ajoutées des dimensions inter-culturelles : voyages scolaires, correspondances, danses folkloriques, exposés sur des pays étrangers…Des ambitions louables dont la traduction pédagogique n’est pas facile. La formation des enseignants fait défaut et tout projet culturel fait aussi écho à la culture ou aux cultures des élèves en présence. En outre, dans un temps scolaire très limité, toute présentation synthétique porte le risque de véhiculer des stéréotypes.
D’où l’ambition de cet ouvrage : fournir le premier outil de réflexion et de formation pour tous les enseignants confrontés à la question des cultures à l’école.
Décryptez les idées reçues qui alimentent les débats en matière d'éducation, avec ce nouveau titre sur les cultures à l'école, de la collection Mythes et réalités.
Apprendre l’ouverture et la tolérance constitue un objectif fondamental de l’école. À ce titre, aux politiques sociales et culturelles se sont vite ajoutées des dimensions inter-culturelles : voyages scolaires, correspondances, danses folkloriques, exposés sur des pays étrangers…Des ambitions louables dont la traduction pédagogique n’est pas facile. La formation des enseignants fait défaut et tout projet culturel fait aussi écho à la culture ou aux cultures des élèves en présence. En outre, dans un temps scolaire très limité, toute présentation synthétique porte le risque de véhiculer des stéréotypes.
D’où l’ambition de cet ouvrage : fournir le premier outil de réflexion et de formation pour tous les enseignants confrontés à la question des cultures à l’école.
Dociles, les jeunesses populaires ? Prisca Kergoat apporte un démenti radical à cette assertion. Elle invite ainsi à découvrir un univers adolescent, celui de filles et de garçons de toutes origines qui préparent un métier relevant d’un travail d’exécution.
De la décision d’orientation, en passant par la recherche d’une place en entreprise et jusqu’à la confrontation aux situations de travail, ces apprenti·e·s et élèves de lycées professionnels, près d’un million en France, forgent – simultanément à un sentiment croissant d’injustice – des pratiques indociles.
L’insubordination de ces jeunes, loin d’être dupes ou de consentir, témoigne d’une relative autonomie. Sur des modes différents, filles et garçons transgressent les injonctions de l’école et de l’entreprise, introduisent de la subversion, rusent, jouent et jonglent avec les différents rapports sociaux.
Cet ouvrage, appuyé sur une enquête vivante et documentée, met en scène l’indocilité de cette jeunesse populaire. Il renouvelle la réflexion sur le sujet et est appelé à devenir un classique.
De la décision d’orientation, en passant par la recherche d’une place en entreprise et jusqu’à la confrontation aux situations de travail, ces apprenti·e·s et élèves de lycées professionnels, près d’un million en France, forgent – simultanément à un sentiment croissant d’injustice – des pratiques indociles.
L’insubordination de ces jeunes, loin d’être dupes ou de consentir, témoigne d’une relative autonomie. Sur des modes différents, filles et garçons transgressent les injonctions de l’école et de l’entreprise, introduisent de la subversion, rusent, jouent et jonglent avec les différents rapports sociaux.
Cet ouvrage, appuyé sur une enquête vivante et documentée, met en scène l’indocilité de cette jeunesse populaire. Il renouvelle la réflexion sur le sujet et est appelé à devenir un classique.
"Le culte de la performance conduit notre société à mettre en avant les valeurs de la réussite et de l’optimisation permanente dans tous les domaines. La lenteur, la redondance, l’aléatoire sont alors perçus négativement. Olivier Hamant, dans ce livre, tente de les réhabiliter en s’appuyant sur sa connaissance des processus du vivant.
Que nous apprennent les sciences de la vie ? S’il existe bien des mécanismes biologiques remarquablement efficaces, des progrès récents mettent surtout en avant le rôle fondamental des erreurs, des lenteurs, des incohérences dans la construction et la robustesse du monde naturel. Le vivant serait-il alors sous-optimal ? En quoi une sous-optimalité d’inspiration biologique peut-elle constituer un contre-modèle au credo de la performance et du contrôle dans l’Anthropocène ?
Face aux constats pessimistes et aux alarmes environnementales, l’auteur propose des pistes d’action pour éviter la catastrophe et esquisse des solutions pour un avenir viable et réconcilié avec la nature.
Olivier Hamant est chercheur à l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae) au sein de l’École normale supérieure de Lyon. Biologiste interdisciplinaire, il a publié une centaine d’articles scientifiques, notamment sur les mécanismes cellulaires guidant la forme des plantes. Il dirige également l’Institut Michel-Serres et assure des formations sur la nouvelle relation de l’humanité à la nature. "
Que nous apprennent les sciences de la vie ? S’il existe bien des mécanismes biologiques remarquablement efficaces, des progrès récents mettent surtout en avant le rôle fondamental des erreurs, des lenteurs, des incohérences dans la construction et la robustesse du monde naturel. Le vivant serait-il alors sous-optimal ? En quoi une sous-optimalité d’inspiration biologique peut-elle constituer un contre-modèle au credo de la performance et du contrôle dans l’Anthropocène ?
Face aux constats pessimistes et aux alarmes environnementales, l’auteur propose des pistes d’action pour éviter la catastrophe et esquisse des solutions pour un avenir viable et réconcilié avec la nature.
Olivier Hamant est chercheur à l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae) au sein de l’École normale supérieure de Lyon. Biologiste interdisciplinaire, il a publié une centaine d’articles scientifiques, notamment sur les mécanismes cellulaires guidant la forme des plantes. Il dirige également l’Institut Michel-Serres et assure des formations sur la nouvelle relation de l’humanité à la nature. "
"Le temps est venu pour l’agroécologie de changer d’échelle : une production intégralement agroécologique, exempte de pesticides et d ’engrais de synthèse, est aujourd’hui envisageable à travers toute l’Europe. Au cœur de ce modèle porté par une nouvelle génération d’agriculteurs et d’agronomes : la disparition de l’élevage industriel qui rend possible l’autonomie fourragère et améliore la contribution de l’Europe aux équilibres alimentaires mondiaux. Loin d’être réservée à quelques fermes pionnières, l’agroécologie peut transformer en profondeur nos paysages pour le plus grand bénéfice du climat, de notre santé ainsi que celle de la faune et de la flore. Appuyant son propos sur une modélisation quantifiée, cet ouvrage explore également les modes d’organisation sociale et économique et les choix politiques qui peuvent rendre ce scénario plausible et désirable.
On a dix ans pour lancer l’Europe sur les rails de l’agroécologie afin qu’en 2050 l’hypothèse devienne réalité."
On a dix ans pour lancer l’Europe sur les rails de l’agroécologie afin qu’en 2050 l’hypothèse devienne réalité."
"Dossier
Le dossier de ce numéro s’est donné pour but de présenter cette pratique-recherche à l’œuvre de l’école à l’université. Une démarche critique et réflexive au plus proche des productions des classes, visant à accumuler des savoirs utiles au Mouvement Freinet.
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Le dossier de ce numéro s’est donné pour but de présenter cette pratique-recherche à l’œuvre de l’école à l’université. Une démarche critique et réflexive au plus proche des productions des classes, visant à accumuler des savoirs utiles au Mouvement Freinet.
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Le projet DESIR, « Développement d'un Enseignement Supérieur Innovant à Rennes », a été désigné, en décembre 2016, lauréat de l'appel à projets national DUNE, « Développement d'Universités Numériques Expérimentales ». Un objectif : étudier les transformations des pratiques pédagogiques universitaires pour renforcer la réussite des étudiants, en incluant l'ensemble des acteurs de la communauté de l'enseignement supérieur dans une démarche participative. À travers une cinquantaine de projets pédagogiques, les acteurs du projet DESIR ont eu quatre années pour expérimenter des pratiques innovantes et tenter d'initier le changement. Explorant les enjeux de la transformation pédagogique et numérique dans l'enseignement supérieur, les réflexions échangées par les auteurs de cet ouvrage, issus d'horizons divers et acteurs du projet (chercheurs, enseignants, ingénieurs pédagogiques ou encore Data Scientists), mettent au jour la place centrale occupée par l'action commune dans le changement."
"Travailler ensemble devient presque un mot d’ordre aujourd’hui. Cet ouvrage propose de porter un regard scientifique sur cette quasi doxa.
Les auteurs, chercheurs en sciences de l’éducation, observent, décortiquent, analysent des situations dans lesquelles travail collectif et travail individuel sont pris ensemble. Ces situations s’actualisent dans l’espace de l’École, de la formation, et de la recherche, et permettent d’analyser des enjeux, des processus, des fonctionnements mais aussi des difficultés dans l’articulation entre travail collectif et travail individuel."
Les auteurs, chercheurs en sciences de l’éducation, observent, décortiquent, analysent des situations dans lesquelles travail collectif et travail individuel sont pris ensemble. Ces situations s’actualisent dans l’espace de l’École, de la formation, et de la recherche, et permettent d’analyser des enjeux, des processus, des fonctionnements mais aussi des difficultés dans l’articulation entre travail collectif et travail individuel."
"À la lumière des recherches les plus récentes, ce livre propose un voyage dans le temps plein de péripéties : choc de bolides interplanétaires, chimie des éléments, glaciations soudaines, tectonique des plaques… tandis que l’océan se peuple des premiers micro-organismes et, pour finir, la vie qui se diversifie et se lance à l’assaut des continents.
Il permet de connaître le passé de la Terre pour mieux comprendre l’évolution du monde vivant et notre environnement actuel. Sa lecture est agrémenté par une abondante illustration, ce qui facilite également la compréhension des phénomènes géologiques, qui ne sont pas toujours simples en soi. Un bien bel ouvrage."
Il permet de connaître le passé de la Terre pour mieux comprendre l’évolution du monde vivant et notre environnement actuel. Sa lecture est agrémenté par une abondante illustration, ce qui facilite également la compréhension des phénomènes géologiques, qui ne sont pas toujours simples en soi. Un bien bel ouvrage."
"Saviez-vous que les objectifs de « neutralité carbone » reposent largement sur des technologies qui n’existent pas ? Que la destruction d’une zone naturelle peut être « compensée » par l’investissement dans un produit financier ? Que l’on ne produira jamais assez d’hydrogène « vert » pour remplacer le pétrole ? Alors que l’enjeu écologique est décisif, nous avons un besoin urgent de clarifier les débats sur le sujet. Le greenwashing est ce qui nous en empêche. Évoquant tour à tour un verdissement de façade, la récupération d’un discours environnementaliste vidé de sa substance, la mise en place d’innovations aux effets « écologiques » douteux, il biaise le débat public et empêche des choix démocratiques éclairés.
Fort de ses vingt-quatre entrées : croissance verte, économie circulaire, énergies décarbonées, dématérialisation, politiques publiques, nucléaire, transition, véhicule propre, ville durable… ce manuel d’autodéfense intellectuelle permet d’appréhender le greenwashing dans toute son ampleur. Trente-cinq scientifiques et spécialistes de ces questions révèlent les fausses promesses, les illusions rassurantes et les formes d’enfumage qui nous enferment dans des trajectoires insoutenables. Un outil essentiel pour ouvrir la voie aux bifurcations nécessaires."
Fort de ses vingt-quatre entrées : croissance verte, économie circulaire, énergies décarbonées, dématérialisation, politiques publiques, nucléaire, transition, véhicule propre, ville durable… ce manuel d’autodéfense intellectuelle permet d’appréhender le greenwashing dans toute son ampleur. Trente-cinq scientifiques et spécialistes de ces questions révèlent les fausses promesses, les illusions rassurantes et les formes d’enfumage qui nous enferment dans des trajectoires insoutenables. Un outil essentiel pour ouvrir la voie aux bifurcations nécessaires."
"Il est des paradoxes qui ont la peau dure. Parmi eux, ce sont les publics les plus « précarisés » à qui l'on demande avec le plus d'insistance de construire un projet professionnel. Lorsqu'un jeune, en particulier, s'engage dans un parcours d'insertion, ce n'est pas seulement de sa propre initiative, mais aussi parce que son entourage (sa famille, ses conseillers...) l'incite à emprunter telle ou telle voie. Cet ouvrage invite à réexaminer la notion d'engagement en situation de contrainte. Comment les jeunes vivent-ils l'épreuve de devoir construire un projet dans le cadre d'un parcours d'insertion ? Comment comprendre les enjeux de l'engagement professionnel et citoyen dans un parcours d'insertion ? Comment leurs accompagnateurs peuvent-ils proposer des pistes pour leur permettre de s'en sortir ? Ce travail de recherche, mené sur le terrain des écoles de la deuxième chance, a pour ambition d'aborder ces questions en s'appuyant sur le regard aiguisé que portent les jeunes sur leur traversée des dispositifs de formation et d'insertion."
"Et si, en classe comme ailleurs, « comprendre » n’allait pas de soi ? Et si ce n’était ni une attitude spontanée, ni une attitude automatique ? Et si les injonctions, aussi bienveillantes soient-elles, n’étaient guère efficaces dans ce domaine ?
Bernard Gouze a découvert que des élèves, traditionnellement considérés comme travailleurs, pouvaient se satisfaire de comportements d’imitation qui permettaient une réussite immédiate mais compromettaient leur développement intellectuel à long terme. Il a constaté aussi que d’autres élèves comprenaient trop vite et se satisfaisaient d’approximations… tandis que d’autres, encore, s’enferraient dans une attitude de refus, proclamant qu’ils ne comprennent pas et ne comprendront jamais.
L’auteur a donc mis en place des « ateliers réflexifs » dont il nous livre ici la genèse, le mode d’emploi et l’évaluation. En mobilisant des approches diverses, il montre que l’accompagnement de la compréhension peut s’avérer particulièrement efficace, et cela dans toutes les disciplines. En aidant l’élève à mettre à jour « ce qui se passe dans sa tête », l’enseignant peut l’amener à effectuer les opérations mentales nécessaires à une compréhension authentique : associer, comparer, opposer, relier, analyser et faire des synthèses, dépasser ses représentations spontanées et surmonter ses préjugés.
Au-delà de techniques particulièrement précieuses, c’est de la construction d’un nouveau rapport au savoir, exigeant, et d’un rapport au monde, curieux et attentif, précis et rigoureux, qu’il s’agit. "
Bernard Gouze a découvert que des élèves, traditionnellement considérés comme travailleurs, pouvaient se satisfaire de comportements d’imitation qui permettaient une réussite immédiate mais compromettaient leur développement intellectuel à long terme. Il a constaté aussi que d’autres élèves comprenaient trop vite et se satisfaisaient d’approximations… tandis que d’autres, encore, s’enferraient dans une attitude de refus, proclamant qu’ils ne comprennent pas et ne comprendront jamais.
L’auteur a donc mis en place des « ateliers réflexifs » dont il nous livre ici la genèse, le mode d’emploi et l’évaluation. En mobilisant des approches diverses, il montre que l’accompagnement de la compréhension peut s’avérer particulièrement efficace, et cela dans toutes les disciplines. En aidant l’élève à mettre à jour « ce qui se passe dans sa tête », l’enseignant peut l’amener à effectuer les opérations mentales nécessaires à une compréhension authentique : associer, comparer, opposer, relier, analyser et faire des synthèses, dépasser ses représentations spontanées et surmonter ses préjugés.
Au-delà de techniques particulièrement précieuses, c’est de la construction d’un nouveau rapport au savoir, exigeant, et d’un rapport au monde, curieux et attentif, précis et rigoureux, qu’il s’agit. "
"Depuis des siècles, nous nous racontons sur les origines des sociétés humaines et des inégalités sociales une histoire très simple. Pendant l’essentiel de leur existence sur terre, les êtres humains auraient vécu au sein de petits clans de chasseurs-cueilleurs. Puis l’agriculture aurait fait son entrée, et avec elle la propriété privée. Enfin seraient nées les villes, marquant l’apparition non seulement de la civilisation, mais aussi des guerres, de la bureaucratie, du patriarcat et de l’esclavage.
Ce récit pose un gros problème : il est faux.
David Graeber et David Wengrow se sont donné pour objectif de « jeter les bases d’une nouvelle histoire du monde ». Le temps d’un voyage fascinant, ils nous invitent à nous débarrasser de notre carcan conceptuel et à tenter de comprendre quelles sociétés nos ancêtres cherchaient à créer.
Foisonnant d’érudition, s’appuyant sur des recherches novatrices, leur ouvrage dévoile un passé humain infiniment plus intéressant que ne le suggèrent les lectures conventionnelles. Il élargit surtout nos horizons dans le présent, en montrant qu’il est toujours possible de réinventer nos libertés et nos modes d’organisation sociale.
Un livre monumental d’une extraordinaire portée intellectuelle dont vous ne sortirez pas indemne et qui bouleversera à jamais votre perception de l’histoire humaine."
Ce récit pose un gros problème : il est faux.
David Graeber et David Wengrow se sont donné pour objectif de « jeter les bases d’une nouvelle histoire du monde ». Le temps d’un voyage fascinant, ils nous invitent à nous débarrasser de notre carcan conceptuel et à tenter de comprendre quelles sociétés nos ancêtres cherchaient à créer.
Foisonnant d’érudition, s’appuyant sur des recherches novatrices, leur ouvrage dévoile un passé humain infiniment plus intéressant que ne le suggèrent les lectures conventionnelles. Il élargit surtout nos horizons dans le présent, en montrant qu’il est toujours possible de réinventer nos libertés et nos modes d’organisation sociale.
Un livre monumental d’une extraordinaire portée intellectuelle dont vous ne sortirez pas indemne et qui bouleversera à jamais votre perception de l’histoire humaine."
"Les oiseaux disparaissent en même temps que la diversité florale, les populations d’abeilles s’effondrent sous l’effet des néonicotinoïdes, 80 % des carabes ont disparu en trente ans… Ces constats scientifiques malheureux ont suscité des controverses retentissantes sur l’avenir de l’agriculture mondiale. Qui sait pourtant que ces données ont été obtenues en plein cœur de la campagne poitevine, dans la Zone Atelier Plaine & Val de Sèvre ?
Ce grand laboratoire à ciel ouvert, créé en 1994 par Vincent Bretagnolle, couvre aujourd’hui plus de 45 000 hectares de cultures intensives exploités par 450 agriculteurs. C’est sur ce terrain qu’une équipe atypique d’écologues, en collaboration avec les agriculteurs, a produit les études scientifiques parmi les plus significatives sur l’écologie des milieux agricoles au cours des dix dernières années.
Vincent Bretagnolle, avec le journaliste Vincent Tardieu, revient sur la genèse de cette « zone atelier », les hasards qui ont conduit à son développement jusqu’à l’élaboration des plus robustes protocoles scientifiques existants sur les oiseaux, la rémanence des néonicotinoïdes dans le sol ou les rapports de la flore spontanée avec les cultures.
Il rappelle les données et les faits, en particulier sur les pesticides et leur utilité, tout en esquissant des stratégies d’action acceptables, profitant des services rendus par la biodiversité et les régulations naturelles. Des questions qui souvent trouvent des réponses inattendues, loin d’être techniques ou caricaturales, capables de réconcilier l’environnement et les agriculteurs.
Un livre qui donne la parole aux scientifiques de terrain sur les futurs agricoles."
Ce grand laboratoire à ciel ouvert, créé en 1994 par Vincent Bretagnolle, couvre aujourd’hui plus de 45 000 hectares de cultures intensives exploités par 450 agriculteurs. C’est sur ce terrain qu’une équipe atypique d’écologues, en collaboration avec les agriculteurs, a produit les études scientifiques parmi les plus significatives sur l’écologie des milieux agricoles au cours des dix dernières années.
Vincent Bretagnolle, avec le journaliste Vincent Tardieu, revient sur la genèse de cette « zone atelier », les hasards qui ont conduit à son développement jusqu’à l’élaboration des plus robustes protocoles scientifiques existants sur les oiseaux, la rémanence des néonicotinoïdes dans le sol ou les rapports de la flore spontanée avec les cultures.
Il rappelle les données et les faits, en particulier sur les pesticides et leur utilité, tout en esquissant des stratégies d’action acceptables, profitant des services rendus par la biodiversité et les régulations naturelles. Des questions qui souvent trouvent des réponses inattendues, loin d’être techniques ou caricaturales, capables de réconcilier l’environnement et les agriculteurs.
Un livre qui donne la parole aux scientifiques de terrain sur les futurs agricoles."