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L’État n’ayant jamais mis en oeuvre une politique d’aide à la transmission des terres, aucune formation ne prépare à la reprise d’une exploitation ni aux lourdeurs administratives qui accompagnent celle-ci.
Les éleveurs et les éleveuses n’ont pas attendu les philosophes de la cause animale pour faire l’expérience de l’intelligence au travail de leurs bêtes ni pour les considérer comme des êtres respectables. Mais ce rapport à l’animal est malmené par le système agroindustriel.
Les femmes ont toujours travaillé sur les fermes, mais ont toujours été maintenues à l’écart des machines. Cette adversité ne les a pas empêchées d’entreprendre. Souvent critiques des méthodes intensives, elles sont motrices pour les pratiques innovantes et respectueuses du vivant.
Après avoir promu l’intensification, la mécanisation et l’usage d’intrants chimiques, les lycées agricoles apprennent désormais à produire autrement. Mais quelles réalités recouvrent l'agro-écologie dans ces établissements ? Et quelles résistances rencontre-t-elle ?
voir la diapo 40 sur les compétences à évaluer
Ce mémoire explore comment mettre en place une veille scientifique efficace, en prenant comme cas d’étude la revue Études de communication. Cette revue, fondée en 1982, est un acteur majeur dans le domaine des sciences de l’information et de la communication (SIC). Le mémoire souligne l’importance de la veille scientifique pour anticiper les tendances et orienter la politique éditoriale de la revue.
ajout de moteur de recherche type gschoolar ou unpaywall
Au fil du rapport sont documentés successivement l'augmentation de la sédentarité des enfants au risque de leur santé et de leur équilibre, l'impact des inégalités sociales, genrées et territoriales sur l'accès au dehors, les dangers du dehors, les pollutions atmosphériques et sonores qui dégradent l'environnement dans lequel les enfants grandissent. Il propose aussi les chemins d'une éducation hors les murs, et l'aménagement des espaces, pour ouvrir la ville et la nature aux enfants et aux adolescents.
Cet ouvrage se distingue par l’application de l’approche par les capabilités, concept fondamental dans les sciences sociales, à la conception de dispositifs éducatifs, particulièrement développé dans les territoires anglo-saxons. En tant que tel, il ouvre une réflexion sur la manière dont les technologies éducatives peuvent être utilisées non seulement pour transmettre des connaissances, mais aussi pour renforcer la liberté et l’autonomie des apprenants. Cet angle d’analyse permet de recentrer le débat sur les finalités de l’éducation, au-delà des simples performances académiques, en soulignant l’importance du développement personnel et de l’émancipation sociale. L’ouvrage répond à certaines attentes dans le domaine éducatif : celles de repenser les pratiques pédagogiques pour les aligner sur les valeurs d’équité, d’inclusion, et de justice sociale.
Cet article fait état d’un courant pédagogique en émergence au regard de la nécessité de penser l’éducation à l’époque de l’Anthropocène, en contexte de crise du vivant, que nous appelons écoconstructivisme. Il s’agira d’en définir les principes directeurs et de le situer au regard des courants dominants qui sont le constructivisme et le socioconstructivisme, mais aussi des autres courants tels que le courant humaniste, le courant critique et citoyen, et le connectivisme.
Dans ce numéro, on explore les croisements entre numérique, écologie et féminisme.
On peut y avoir des conversations en privé, des groupes de discussion et des espaces contenant plusieurs “rooms” ou salons de discussion. L’interface s’approche de celles de Discord et Slack.
Comment le harcèlement en milieu scolaire est-il passé de la sphère privée – considérée comme une forme de conflit entre élèves qui ne concerne pas les adultes – à une problématique relevant de la sphère publique, donc sujet à débats et objet de politiques éducatives ? L’Édubref n° 23 « Harcèlement en milieu scolaire : construction d’un problème public » vise à analyser l’évolution de cette prise en compte, de la conceptualisation du phénomène aux dispositifs contemporains de prévention et de lutte contre cette forme de violence entre pairs.
Dans le domaine de l’agriculture, ils sont notamment identifiés comme outils d’aide à la décision et/ou participant à l’innovation et transformation des systèmes. Alors que de nombreux travaux alertent sur le besoin de transformer les systèmes agricoles et alimentaires (Campbell et al., 2017), les jeux pourraient être un atout majeur pour accompagner ces transformations et travailler sur des systèmes durables. Or, peu de travaux portent sur la mobilisation des jeux dans le domaine de l’agriculture, et moins encore sur leur prise en compte des dimensions associées à la durabilité des systèmes. Ce résumé présente les principaux résultats de la revue de littérature que nous avons conduite sur l’utilisation de jeux sérieux sur l’agriculture et sur la manière dont ces jeux traitent des questions de durabilité des systèmes agricoles.
Bruno Robbes : Le projet se décompose en 3 grandes parties. Dans le premier axe, nous allons observer comment la notion de coopération apparait dans les textes qui régissent la formation et le métier d’enseignant, de la maternelle à l’université. Les questions que nous nous posons à cette étape sont : Comment la notion de coopération est-elle définie dans les référentiels de compétences ? Est-elle traitée dans les référentiels de formation ? L’objectif est d’essayer de produire une sociohistoire de cette représentation de la coopération à travers les textes institutionnels.
Le deuxième axe du projet analysera plus précisément les dispositifs de formation d’enseignants eux-mêmes, pour identifier comment la coopération s’y déploie, quels sont les contenus d’enseignement relatifs à la coopération, comment ils se sont développés et comment ils évoluent. Nous irons observer les pratiques afin de comprendre comment elles sont perçues et investies par les étudiants, les enseignants, les formateurs. Pour ce faire, nous allons avoir des phases d’observation dans notre académie, mais également dans les académies de Lille et de Rennes, puis au-delà si possible.
Le troisième et dernier axe du projet vise à étudier les effets que ces formations à et par la coopération produisent sur les pratiques concrètes des étudiants, mais aussi des enseignants une fois qu’ils ont été formés. Nous allons donc nous rendre dans des établissements et des classes, afin d’observer les enseignants en activité professionnelle quelques années après leur formation et d’évaluer l’impact sur leurs pratiques au quotidien. Nous allons pouvoir commencer ces observations avec la Haute École Libre Mosane à Liège et son projet Tenter+, qui a près de 20 années d’expérience dans la mise en place des enseignements en pédagogie coopérative. Des recherches sont aussi déjà engagées directement à partir de la formation que nous proposons dans la licence de sciences de l’éducation et de la formation à CY Cergy Paris Université, sur les sites de Cergy Hirsch et Antony. D’autres terrains d’observation sont à l’étude.
Le deuxième axe du projet analysera plus précisément les dispositifs de formation d’enseignants eux-mêmes, pour identifier comment la coopération s’y déploie, quels sont les contenus d’enseignement relatifs à la coopération, comment ils se sont développés et comment ils évoluent. Nous irons observer les pratiques afin de comprendre comment elles sont perçues et investies par les étudiants, les enseignants, les formateurs. Pour ce faire, nous allons avoir des phases d’observation dans notre académie, mais également dans les académies de Lille et de Rennes, puis au-delà si possible.
Le troisième et dernier axe du projet vise à étudier les effets que ces formations à et par la coopération produisent sur les pratiques concrètes des étudiants, mais aussi des enseignants une fois qu’ils ont été formés. Nous allons donc nous rendre dans des établissements et des classes, afin d’observer les enseignants en activité professionnelle quelques années après leur formation et d’évaluer l’impact sur leurs pratiques au quotidien. Nous allons pouvoir commencer ces observations avec la Haute École Libre Mosane à Liège et son projet Tenter+, qui a près de 20 années d’expérience dans la mise en place des enseignements en pédagogie coopérative. Des recherches sont aussi déjà engagées directement à partir de la formation que nous proposons dans la licence de sciences de l’éducation et de la formation à CY Cergy Paris Université, sur les sites de Cergy Hirsch et Antony. D’autres terrains d’observation sont à l’étude.